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26/05/2014

Mémé a testé pour vous la grande culture : l'opéra

capulet et montaigu.jpgLes Capulet et les Montaigu, opéra Bastille

Partie sur ma lancée de culture élitiste, après Le lac des cygnes, je tente l'opéra. J'en avais vu deux lorsque j'étais étudiante. A Lyon, on pouvait accéder à la représentation 15 minutes avant s'il restait des places, pour 10 euros (au lieu de parfois 150, ça vaut le coup !) On avait adoré le premier opéra, très connu, musique splendide, et trouvé le deuxième sans intérêt. I Capuleti e i Montecchi fait partie de la seconde catégorie. Un scénario brodé autour de l'histoire archi connue de Roméo et Juliette, sauf qu'ici on ne parle pas d'amour, mais de guerre. (Je suis une fille moi, la guerre, je m’en tape, All we are saying, is give peace a chance !)

Je vous résume l'intrigue du premier acte en une phrase (pourtant je suis bavarde) : Roméo Montaigu a tué le fils Capulet, celui qui tuera Roméo épousera Juliette. Une phrase. Dans cet opéra, il leur faut 45 minutes de radotage pour exprimer la même chose. Et tout ça en beuglant en italien (je me suis cassé le cou en regardant la traduction pendue au plafond comme trois petits cochons) :
(Père de Juliette) « Oh ce salaud de Roméo a tué mon petiot »
(L’armée des Capulet en chœur) « Oh, ce salaud de Roméo a tué ton petiot
(Père) « Roméo a tué mon petiot »
(Truc, pas retenu son nom) « Roméo a tué ton petiot, je lui ferai la peau 
(Père) « Oh, tu lui feras la peau ?
(Truc) « Oui, je lui ferai la peau !
(L’armée en chœur) « Bravo ! Il lui fera la peau à ce salaud ! »
(Père) «  Et en échange t'épouseras Juliette, ce sera chouette ! »
(Truc) « Oh oui j'épouserai Juliette, ce sera chouette »
(L’armée) « Oh oui il épousera Juliette, ce sera chouette ! »

capulet romeo et juliette.jpgEt moi au moins, je fais des rimes. Dans le deuxième acte, Roméo (joué par une femme ?!) demande à Juliette de s'enfuir avec lui (euh, elle) puisqu'ils s'aiment comme des enfants, avant les menaces et les grands tourments. Sinon Roméo sera tué et Juliette épousera l'assassin qu'elle déteste. Mais non, la cruche préfère compliquer les choses pendant encore 40 minutes « Oui mais c'est l'honneur tu vois, on peut pas faire ça, si on se suicidait plutôt, c'est tellement plus rigolo, hohoho ? »

Après on a eu la libération, l'entracte, et la moitié de la salle s'est enfuie. Le personnel nous donnait comme des suppliques des tickets retour « Vous revenez hein ? » mais on s'est barré en courant. En plus il faisait beau dehors sur les quais, et c'était l'heure du dîner pour l’estomac sur pattes.

Voilà, après le lac des cygnes, c'était mon incroyable excursion chez les culturés. Je vous laisse, ya Kick-Ass qui commence sur W9.

Petit quiz "On connaît la chanson", avec trois titres à retrouver dans le texte. 

 

23/05/2014

Mémé a testé pour vous la grande culture : Le lac des cygnes

lac des cygnes.jpgLe lac des cygnes, avec le ballet et l'orchestre du Bolchoï de Minsk

En avril, je décide que la culture n'appartient pas qu'à l'élite bourgeoise, et que moi aussi, je peux voir des ballets et des opéras sans que ça me coûte un bras. Il faut juste avoir de bons yeux pour voir de loin, et ne pas être trop gros pour s'asseoir sur les minuscules places du poulailler. Au théâtre de la porte saint Martin où nous avons vus (enfin, le sommet du crâne) Muriel Robin, les sièges en bois du poulailler sont encadrés de barres de fer et si petits que les types de plus de 80 kilos ne passaient pas. Celui qui a conçu ces planches fauteuils a dû penser que les pauvres sont maigres car ils n'ont pas de quoi se payer à bouffer (ils préfèrent vivre de spectacles et d'eau fraîche). Je fais 50 kilos, mon frère 10 de plus, et on était serrés comme des sardines. On a fini assis sur l'escalier, accoudés au balcon : on voyait mieux !

Pour le lac des cygnes, par chance, l'immense salle du palais des Congrès n'est pas complète, une ouvreuse nous propose donc de passer du dernier rang des gueux pour nous installer directement à la moitié de la salle ! Les enfants du paradis, des jeunes probablement étudiants fauchés ou chômeurs comme moi, rejoignent donc les vieilles trop maquillées, aux colliers de perles, boucles d'oreilles en or et parfum qui pue (ce n'est pas un cliché, dès que je suis bien placée dans une salle, ce type de vieille est là. Elle me poursuit.) J'ai envie de faire un grand sourire à ma nouvelle vieille voisine botoxée : "Salut ! je suis assise à côté de toi et pourtant j'ai payé ma place deux fois moins chère ! Niark niark !"

wallace collection.jpgLa culture appartient à l'élite, mais le lac des cygnes, même si mémé écoute surtout radio nostalgie, je connais les chansons principales : Daydream de Wallace Collection ! (Ce groupe des années 70 s'est inspiré du thème principal du ballet) Et on entend les mélodies de Tchaïkovski dans des films et des pubs ! Puis l'histoire, je connais aussi, j'ai vu le film Black Swan !
Évidemment, le ballet n'est pas tout à fait identique... Mémé ne comprend pas trop pourquoi on se trouve dans un château au début (c'est qui tous ces gens ? Ils sont où les cygnes ?)

lac des cygnes couple.jpgJuste avant la représentation, on consulte un site qui indique une durée de spectacle de 4 heures. J'appréhende donc et essaie de m'installer confortablement sur mon siège (bien moelleux, pas comme au poulailler), dans l'intention de pioncer en douce pour que le temps passe plus vite (« tu me réveilleras quand les cygnes arriveront »).  Mémé pique du nez lors du premier acte (j'y peux rien, à un moment le personnage est seul sur scène, la musique devient douce, avec de simples violons... ça endort). Le premier acte dure une heure ("c'est bien ça alors, 4 heures de spectacle, qu'est ce qu'il m'a pris de venir, quand je pense qu'il y avait Weeds sur Canal+") le second acte dure 30 minutes, et le dernier 15. Sont pas matheux. Finalement le ballet n'est long « que » de 2h30 avec les entractes.

J'ai toujours pas capté qui était qui (ils étaient au moins 60 là-dedans, avec les costumes et décors qui changent tout le temps, plus l'orchestre, je comprends que ça coûte si cher). J'ai pas trop compris ce qu'ils exprimaient en gigotant tout le temps (c'est un peu répétitif non ? Pourquoi ils ne se parlent pas tout simplement ? On comprendrait mieux ce qu'ils veulent dire. Un type m'exprime son intéret en gesticulant comme ça, désolée, je comprends pas. Et quand je m’adresse à quelqu'un je ne lève pas la patte, qu'est-ce que c'est que cette manie de faire des pointes ?)

Pourtant au final, j'ai bien aimé. J'avais même des frissons en écoutant le thème principal. Mais je vibrais plus pour le concert du nouvel an de l'opéra de Lyon, car l'orchestre n'était pas dans son trou, on l'entendait mieux. Comme quoi, même mémé peut apprécier la grande culture.

La prochaine fois, mémé vous racontera comment elle a testé l'opéra (je fais des rimes, c'est la frime).

 

19/05/2014

Toute ascension vers un endroit merveilleux se fait par un escalier en spirale

coup_de_tete_dewaere.jpgJ'étais dans mon trou perdu sans Internet, mais les gagnants ont pu être prévenus dès le lendemain de la fin du jeu « libre et assoupi ». En effet, miracle ! Mémé nulle en nouvelles technologies possède un téléphone portable avec Internet ! Pas un aïe phone ni un strawberry bien sûr, faut pas trop m'en demander. Juste un appareil compris dans le forfait et avec encore un clavier à touches. 
On capte mal dans le trou perdu, j'ai mis 13 minutes à me connecter à ma messagerie, et deux heures pour envoyer les mails aux gagnants... Qui sont donc Laura, Betty, Grégory, Moussa et Sandrine.
Merci aux nombreux participants. Une grande majorité a trouvé les bonnes réponses au quiz, même la deuxième question très difficile, vous êtes vraiment forts. Je rappelle le Quiz On connaît le film :
- Dans quel film Félix Moati a-t-il joué et a-t-il été nommé comme césar du meilleur espoir masculin ?
Il s'agit de Télé gaucho ; la réponse était dans le texte.

- La nouvelle bannière de mon blog est tirée d’une de mes comédies préférées, avec Patrick Dewaere évidemment, j’en ai souvent parlé ici. Quel est ce film ?

Coup de tête ! Certains ont proposé Série Noire. C'est en effet un des films avec Dewaere que je préfère, mais pas franchement une comédie... A l'époque de sa sortie, les critiques de cinéma conseillaient : « si vous êtes sous Prozac, mieux vaut s'abstenir » Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir. Si j'adore ce film, il laissait un message négatif sur une bannière de blog : « vous qui entrez ici, perdez tout espoir ».

D'accord, j'aime bien écrire des rubriques nécrologiques. Je conseille parfois des documentaires « qui donnent envie de se réfugier dans une grotte » (on est empoisonnés par les pesticides dans nos aliments, le lobby des médicaments, les documentaires sur la crise, le chômage, les guerres, le nucléaire, on va tous crever !) J'aime parfois des films tristes avec des musiques mélancoliques. J'ai longuement parlé de faits énervants, le chômage, les lettres de motivation laissées sans réponse, les offres de travail révoltantes, pôle emploi qui laisse les chômeurs sans ressources (six mois sans indemnités pour moi) mon conseiller que je n'ai vu qu'une seule fois en... 7 ans. Il suit 256 chômeurs, qu'il est censé rencontrer tous les mois... Comment peut-il le faire ? On m'a attribué un nouveau conseiller l'année dernière pour ma dernière période de chômage. Je ne l'ai jamais vu, il n'a jamais pris contact avec moi. J'ai juste constaté que le nom avait changé en consultant mon dossier, pas un courrier pour le signaler, rien.

coup de tete voiture.jpgOui, j'aurais pu proposer Série noire en nouvelle bannière de blog. Mais dans la vie faut pas s'en faire, ces petites misères seront passagères, tout cela s'arrangera. J'ai préféré mettre Coup de tête, mon film culte de Jean-Jacques Annaud. Une autre série noire, mais prise sur le ton de la comédie. Patrick Dewaere y incarne un sympathique perdant (François Perrin, comme souvent avec le scénariste Fancis Veber). Il décide de quitter son village pour tenter sa chance dans une grande ville « Je me suis dit : j’ai réussi à être le dernier à Trincamp, avec un peu d'ambition, je réussirai bien à être le dernier à Paris ». Mais il est accusé à tort d'agression... 

Le héros rejoint la femme riche qu'il est censée avoir agressée. Elle ne le reconnaît pas. Pourtant il a travaillé pour elle, lors de l'un de ses énièmes petits boulots : il était serveur pour sa fête d'anniversaire. Dans l'extrait que j'ai choisi comme photo pour ma nouvelle bannière, il explique (regardez, à 38 min 50 du film !) : «  J'étais beau pourtant, dans mon costume blanc. Un peu le style agent secret, James Bond (…) Si j'avais été une femme, je serais immédiatement tombée amoureuse de moi ». Il fanfaronne devant la glace. Il emprunte ensuite le grand escalier de la demeure, tel un lord. "on s’est croisés comme dans les films. Je descendais l’escalier, et vous montiez à ma rencontre." Il regarde la jeune femme, fier comme un paon, mais elle le redescend brutalement sur terre en lui lançant un condescendant : « vous pouvez commencer à dresser le buffet... »
Il en conclut : « J’étais certainement plus beau que James bond, mais personne ne m'a remarqué, et je sais pourquoi : parce que j'étais du mauvais côté du buffet. » 

magnifique ecrivain.jpgVous conviendrez que l'image de ma nouvelle bannière me correspond bien...  La personne et son reflet (personnage ?) dans le miroir (le blog ?). J'aurais aussi pu choisir comme bannière François Merlin devant sa machine à écrire, qui réinvente sa vie. Une image issue d'une autre de mes comédies préférées : Le magnifique. François Merlin s'imagine sous les traits du magnifique Bob Saint Clar dans les romans d'espionnage qu'il écrit. Son éditeur qui l'exploite est transposé en espion « l'immonde Karpov ». Sa charmante voisine dont il est secrètement amoureux mais qui ne le remarque pas est folle de lui dans ses romans...
magnifique bob saint clar.jpgÇa ne signifie pourtant pas que je réinvente ma vie sur le blog ! Tout ce que je raconte est vrai...

La nouvelle bannière montre bien sûr toujours des papillotes, (mon nom de chat) des chocolats (l'alimentation de base de l'estomac sur pattes) de Lyon (ma ville d'origine) de noël (ma date de naissance) qui comportent des citations. J'en ai toujours dans ma poche et cette année j'ai réussi l'exploit de les faire tenir jusqu'à Pâques, jusqu’à ma poule en chocolat cachée dans le jardin. Voici les deux phrases extraites de ma dernière papillote de l'année :
"Apprends à vivre comme si tu devais vivre pour toujours et vis comme si tu devais mourir ce soir" (proverbe tibétain)
"Toute ascension vers un endroit merveilleux se fait par un escalier en spirale" (Francis Bacon)
Parlant, non ?

Un grand Merci à Mélanie pour la réalisation de la bannière (vous vous doutez bien que mémé Papillote nulle en nouvelles technologies n'a pas su faire : quand j'ai allumé Photoshop pour effacer un mot, j'ai carrément gommé toute l'image)

Petit quiz On connaît la chanson : quelles sont les deux chansons citées dans le texte ?

 

 

04/05/2014

A la télé cette semaine : Nelly et M.Arnaud, J'me sens pas belle, Fenêtre sur cour

nelly et monsieur arnaud.jpgCe soir sur Arte, Nelly et Monsieur Arnaud de Claude Sautet. Un vieux monsieur fatigué ne se retrouve pas dans l’époque actuelle. Ancien juge, il est devenu amer et misanthrope. Il souhaite écrire ses mémoires avant de mourir, mais ne sait pas se servir d’un ordinateur. Il rencontre Nelly, une jeune femme désargentée, et lui propose de recopier son texte. L’employée n’hésite pas à corriger les propos, bousculer les certitudes du vieil homme. Comme dans Un cœur en hiver, l’avant-dernier film de Sautet, on assiste à un face à face bouleversant et une histoire d’amour impossible. Emmanuelle Béart est encore sublime, passionnée et entière. Michel Serrault est impressionnant, tout en émotions retenues. Il porte un postiche qui le fait ressembler étrangement à Claude Sautet. Nelly et Monsieur Arnaud reste le dernier film du réalisateur et peut être vu comme son film testament. 

Mardi sur Numéro 23, J’me sens pas belle de Bernard Jeanjean (nom parfait pour une comédie). Une jeune femme invite chez elle un collègue de bureau, dans l’espoir de rompre enfin son célibat. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’effrayée par l’enjeu, elle s’y prend très mal… Une comédie qui parlera certainement à de nombreux célibataires endurcis « je veux bien, non, je ne sais pas, j’ai peur, je fais tout foirer exprès, je m’en vais ! » Marina Foïs est parfaite dans le rôle de la foldingo, et Julien Boisselier est mignon et patient (s’il pouvait avoir une jolie voix plutôt que ce timbre nasillard et pincé, il serait très bien). Ecoutez cette chanson, qui devrait résonner chez de nombreux célibataires :

  • j-me-sens-pas-belle-marina-fois.jpgTrentenaire et célibataire
  • C’est le paradis ou bien l’enfer
  • On est nombreux à ne pas être deux
  • Et puis alors si c’était mieux
  • A 30 balais, tout est parfait
  • Tu nages dans le bonheur complet
  • Et ta maison est une prairie
  • Où tu coures tu gambades et tu ris 
  • Aucun besoin de vivre ça avec quelqu’un 
  • Seul on est bien, on est bien
  • Ah, ça y est, j'suis réveillée, j’avais rêvé…
  • A 30 balais, tout est foutu
  • Tu coules dans un malheur goulu
  • Et ta maison est un taudis
  • Ou tu pleures tu t’écroules et tu cries
  • Aucun besoin de vivre ça avec quelqu’un
  • Seul on est rien, on est rien
  • Ah, ça y est, j’ai sursauté, j’ai cauchemardé…
  • Mais où se trouve la vérité
  • Entre ces deux réalités ?
  • Moi tout ce que je sais, 
  • C’est qu’il y a de la joie dans le célibat
  • Si c’est un choix, un choix.

looking for eric.jpgMercredi, Arte diffuse Looking for Eric de Ken Loach. Un facteur déprimé a pour seule distraction le foot et son idole, Eric Cantona. Sans ami, il confie ses déboires à son poster représentant le footballeur. Jusqu’au jour où le vrai Eric Cantona, comme un génie sorti de la lanterne, apparaît réellement … Il devient le coach du supporter et reprend sa vie en main. Ken Loach apprécie toujours autant les mal aimés et la peinture sociale des quartiers populaires. Il délaisse cependant ici le misérabilisme (My name is Joe, bouleversant) les drames (Kes, pauvre faucon) pour se lancer dans une comédie légère. Idée qu’il reprendra avec La part des anges.

fenetre sur cour.jpgJeudi sur Chérie 25, un classique d’Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour. James Stewart incarne un photographe, jambe cassée et cloué dans son fauteuil, qui se distrait en observant ses voisins. Jusqu’à ce qu’il se persuade que l’un d’eux a tué sa femme. Sa fiancée (Grace Kelly) accepte de mener l’enquête. Un film fascinant sur le voyeurisme, l’imagination… et qui prouve qu’il faut toujours mettre des rideaux ! Pour vivre heureux, vivons cachés. Je ne comprends pas comment on peut vivre dans un appartement sans rideaux, où les autres peuvent voir notre intimité. Dans mon HLM au putain ce qu’il est blème de Lyon où j’ai habité toute mon enfance, les voisins d’en face, flasques et ventripotents, se baladaient entièrement nus chez eux, devant leurs enfants (et aussi moi qui avait le même âge : visions d’horreur). 

A la même heure sur TMC, un classique de la comédie cette fois-ci : Les grandes vacances avec Louis de Funès. Un lycéen a raté son bac à cause de l’anglais. Son père l’envoie en Angleterre pour réviser. Mais le fils a prévu de partir en vadrouille avec ses potes, et se fait remplacer par un benêt. Lorsque le père découvre la supercherie, il part sur les traces de son fils aux 4 coins de France… Un film que j’adorais lorsque j’étais enfant, pour le vent de liberté et de rébellion qu’il fait souffler. Et j’écoute toujours la musique très entraînante à l’approche des vacances (en lien rose).

Et vous, appréciez-vous ces films ? Qu’avez-vous regardé cette semaine ?

P.S : J'ai dû écrire la chanson en "notes" car depuis quelques temps, le blog me saute une ligne dès que je vais à la ligne ! Si quelqu'un a la solution...