01/01/2021
En 2020, j'ai beaucoup voyagé

Sur l'eau sacrée d'un fleuve indien
Voyage voyage
Et jamais ne revient
Dans ton studio pourri à Paris.
N'oublie pas de monter là haut
Dans un petit village
Caché sous les fleurs sauvages
Sur le versant d'un coteau.
Je me souviens de l'effroi général début mars, des rumeurs qui couraient : "il paraît qu'on va nous confiner ! Vite, enfuis-toi avant, va te réfugier à la campagne dans la famille !"
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
- Oui mais me ruer sur les trains, comme les Italiens l'ont fait, propager l'épidémie dans tout le pays et me faire contaminer ? Quelqu'un pour venir me chercher ?
- J'ai pensé qu'il valait mieux nous quitter sans un adieu. Et j'entends siffler le train...
A storm is threatening my very life today
Une tempête menace ma vie
If I don't get some shelter, I'm gonna fade away
Si je ne trouve pas d'abri, je vais disparaître.
Gimme shelter
- Je veux bien t'héberger, mais...
- C'est une maison bleue adossée à la colline, on y vient à pied, on ne frappe pas, ceux qui vivent là ont jeté la clé. On se retrouve ensemble...
- Je veux bien t'héberger, mais que pour quelques jours...
- Le confinement en durerait 45 !
- Voilà c'est fini, trouve un autre rocher petite huître perlée.
- Je veux bien t'héberger, mais je suis à risque.
- moi aussi ! Risquons nos vies ensemble ! L'amour du risque, Jonathan et Jennifer, c'est vraiment leur grande affaire !
- Ah, bon Dieu que c'est embêtant d'être toujours patraque, ah bon Dieu que c'est embêtant, je ne suis pas bien portant.
Dans mon studio à Paris.
Il mio rifugio, sei tu.
Rédiger longuement les quiz Joe Dassin, avec toutes ses chansons évoquant des voyages, m'a aussi beaucoup aidé à affronter 2020, comme vous pouvez le relire ici.
"Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né"
La montagne avec les marmottes.
Quiz On connaît la chanson à retrouver dans le texte.
20:28 Publié dans A vous de jouer ! Les quiz, Con finement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : confinement, chanson française | |
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03/10/2020
Résultats du 2e quiz Joe dassin
Les titres à retrouver sont en rose, avec les liens vers les chansons.
12. Un air qui me faisait rêver de voyage depuis ma chambre d'enfant. Aujourd'hui, toujours en confinement, je n'ai toujours pas réalisé ses désirs ni quitté mon logement :
"Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né"
La montagne avec les marmottes
L'Amérique
Seule l'Amérique sauvage me fait rêver : monument valley, lieu de tournage des westerns, des Planète des singes... la nature. Les buildings de New-york ou les casinos de Las vegas ne m'ont jamais fait envie.
13. La famille Dassin a dû quitter l’Amérique, son pays natal, à cause du maccarthysme. Le voyage et l'exil sont des thèmes chers au chanteur. Il a entrepris par la suite des études d'anthropologie, avec un mémoire sur les indiens, autre sujet récurrent dans son œuvre.
"C'était un homme en déroute
C'était un frère sans doute
Il n'avait ni lien, ni place
Et sur les routes de l'exil
Sur les sentiers, sur les places
Il me parlait de sa ville
Guantanamera, ma ville Guantanamera"
14. Encore une chanson de voyage, plus désabusée que nostalgique. Comme Joe Dassin estime qu'au final rien ne vaut son chez soi, ça me réconforte dans mon confinement forcé :
"Le vent s'engouffre dans ma valise
Et sur ma route il y a des trous
J'ai vu tant de rues, j'ai vu tant d'églises
Mais les plus belles étaient chez nous
Mon village est loin, à l'autre bout du monde
Et ma maison n'est plus qu'une chanson"
Mon village au bout du monde, paroles de Pierre Delanoë.
15. Un air que j'ai du mal à supporter depuis que je suis coincée dans cette ville avec un voisin qui joue de la guitare et une voisine qui passe l'aspirateur à toute heure :
"Tu m'as dit "J'ai rendez-vous dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare et l'aspirateur à la main, du soir au matin
Alors je t'ai accompagnée, on a chanté, on a dansé
Et l'on n'a même pas pensé à s'embrasser
Aux Champs-Élysées"
16. Cette fois-ci en place de l'éloge à Paris, plutôt une diatribe. Un air guilleret que j'appréciais beaucoup enfant et qui désormais me fait regretter le silence du confinement généralisé.
"A cette heure-ci c'est toujours la même chose
On n'avance plus, les gens se bousculent
Tiens, encore un rendez-vous de raté
Enfin, c'est pas grave, il fait beau
Et puis le principal, c'est de ne jamais s'énerver
Du calme, du calme
Il est sept heures et demie sur la place de la Concorde
Le chauffeur de taxi montre les dents pour se mordre
Le bras sur la portière je regarde les jets d'eau
Y a du soleil, bip bip
Oh n'effrayez pas les p'tits oiseaux"
17. Une composition qui marie goût du voyage, nostalgie de l’Amérique, mais aussi, d'une ancienne histoire d'amour :
"Aujourd'hui je suis très loin de ce matin d'automne
Mais c'est comme si j'y étais
Je pense à toi : où es-tu, que fais-tu
Est-ce que j'existe encore pour toi?
Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune
Tu vois, comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable et je me souviens
Je me souviens des marées hautes
Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
Il y a une éternité, un siècle, il y a un an
Et on s'aimera encore, lorsque l'amour sera mort
Toute la vie, sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien"
18. Une chanson d'amour qui a trouvé écho en beaucoup, et des plus illustres : l'ancien président de la république ! J'ai honte mais j'admets avoir lu le bouquin de Valérie Trierweiler (je ne l'ai pas acheté ! on me l'a envoyé en pdf!) la vraie honte est surtout pour elle, de dévoiler des détails impudiques à tous, d'autant plus qu'ils concernent le chef de l'état... Gênée, j'ai préféré oublier ce torchon cette lecture indécente mais j'en ai retenu ce détail : "Le jeudi a toujours été notre jour, celui du début de notre relation amoureuse, celui des rendez-vous entre 2005 et 2007. Et celui de la fameuse chanson de Joe Dassin, que nous avons écoutée en boucle tant de fois dans ma voiture en chantant : "Souviens-toi, c'était un jeudi, c'était le grand jour, le grand pas vers le grand amour." Pas vraiment non.
"Un motel sur la route du port, un soir banal
Deux clients, un veilleur qui s'endort, sur son journal
Il nous tend à chacun une clé, nous dit: "bonsoir"
Le matin on avait réservé des chambres à part
On n'ose pas montrer qu'on s'aime
Car je suis un homme politique marié à une autre
Si si c'est les vraies paroles
Souviens-toi, c'était un jeudi
Souviens-toi, on avait suivi
Le chemin des amoureux
C'était il était une fois nous deux"
19. Une histoire d'amour qui s'est bien terminée elle, et ravissait mon âme d'enfant qui croyait au prince charmant :
"Il ne voyait pas qu'elle était belle
Ne savait pas qu'elle était celle
Que le destin lui envoyait à l'aveuglette
Pour faire son bonheur
Et la fille qui n'était pas bête
Acheta des lunettes à l'élu de son cœur"
Tous les matins il achetait son petit pain au chocolat
et pas sa chocolatine !
Le petit pain au chocolat. Hier j'en ai acheté un pour mon goûter, et que vois-je affiché sous ma viennoiserie préférée ? "Pain au chocolat ou chocolatine". J'ai sermonné le boulanger : "je voudrais un pain au chocolat ! pas une chocolatine ! on est à Paris ici, pas dans le sud." Il m'a répondu qu'il avait inscrit les deux appellations car un couple s'était disputé quand il les servait sur le vrai nom à donner. Joe Dassin a tranché : on dit pain au chocolat. (je rigole évidemment, je me fiche éperdument du nom à donner au... pain au chocolat.)
20. Des paroles qui au contraire choquaient mon innocence : comment ? On ne reste pas avec le même prince toute sa vie ?
"Un jour ici, l'autre là, un jour riche et l'autre pas
J'avais faim de tout voir, de tout savoir, j'avais tellement à faire
A me tromper de chemin tant de fois
J'ai quand même fini par trouver celui qui mène à toi
Il y a des filles dont on rêve
Et celles avec qui l'on dort
J'ai dépensé ma jeunesse comme une poignée de monnaie
J'ai fait un peu de tout, un peu partout, sans savoir rien faire
La fleur aux dents, c'était tout ce que j'avais
Mais je savais bien que toutes les femmes du monde m'attendaient"
Quand on s'aime c'est le septième ciel
Et tant pis si quelques fois
Les fleurs que tu reçois sont d'un autre que moi
Pourtant on y fait de beaux rêves
O Cécilia, ton vin est trop doux
Mais j'aime son goût sur tes lèvres"
D'un décembre qui va bien durer six mois
Quand les jours ressemblent aux nuits
Sans éclaircie à espérer
Qui peut croire que l'été nous reviendra
19:45 Publié dans A vous de jouer ! Les quiz, On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson française, musique, joe dassin, quiz | |
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26/09/2020
Les résultats du 1er quiz on connait la chanson de Joe Dassin
Relire le début ici, où grâce au documentaire, Joe Dassin, le roman de sa vie, j'ai redécouvert ce chanteur que j'écoutais enfant.
Le quiz me semble simple, le plus difficile était de trouver les titres exacts. Les réponses sont en rose, avec les liens qui mènent vers les chansons :
1. Je crois que ma chanson préférée reste celle-ci. Je sors la phrase telle qu'elle, sans la chanter, avec l'air le plus sérieux possible, dès que je peux la placer dans une conversation. Je n'ai pas encore osé la dire au dirlo pour une augmentation :
"J'ai attendu attendu, elle n'est jamais venue. Zaï zaï zaï zaï.
Je l'ai vue près d'un laurier, elle gardait ses blanches brebis
Quand j'ai demandé d'où venait sa peau fraîche elle m'a dit
"C'est de rouler dans la rosée qui rend les bergères jolies "
Mais quand j'ai dit qu'avec elle je voudrais y rouler aussi
Elle m'a dit ...
Elle m'a dit d'aller siffler là-haut sur la colline
De l'attendre avec un petit bouquet d'églantines
J'ai cueilli des fleurs et j'ai sifflé tant que j'ai pu
J'ai attendu, attendu, elle n'est jamais venue
Zaï zaï zaï zai
2. Des propos et une voix qui m'effrayaient à l'époque, pour dire comme j'étais petite (la salsa du démon, je partais carrément me cacher.)
"Tout petits à l'école
A la place de crayons ils avaient des limes
En guise de cravates, des cordes de lin.
Ne vous étonnez pas, si leur tout premier crime
Fut d'avoir fait mourir leur maman de chagrin.
Tagada Tagada, voilà les Daltoniens
Tagada Tagada, voilà les Dalton"
3. Des paroles très belles, justes et touchantes, qui sentent le vécu. Et pour cause, comme l'explique le parolier Claude Lemesle dans le documentaire : "tout le monde pensait que Joe racontait ses chagrins d'amour dans ses chansons, en fait, c'était les miens :
"Roméo, Juliette et tous les autres
Au fond de vos bouquins dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celle qu'on n'écrira jamais
Allons petite, il faut partir, laisser ici nos souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va nous voir passer, la patronne du café
Va encore nous dire : "salut les amoureux!""
Belle ironie car vu le succès de la chanson, plus de gens connaissent les mots de Claude Lemesle que ceux de Shakespeare !
4. Une mélodie rythmée qui me mettait d'entrain quand j'étais enfant. Je ne pensais pas qu'un jour je la vivrai et donc qu'elle me ferait beaucoup moins rire :
"Dans Paris à vélo, on dépasse les autos
à vélo dans Paris, on dépasse les taxis
Place des fêtes on roule au pas
Place Clichy on ne roule pas
La Bastille est assiégée
Et la République est en danger"
La complainte de l'heure de pointe, une chanson sponsorisée par vélib.
5. J'adorais tellement cette chanson quand j'étais petite que la réentendre dans le documentaire m'a émue :
"Il était un peu poète et un peu vagabond
Il n'avait jamais connu ni patrie, ni patron
Il venait de n'importe où, allait aux quatre vents
Mais dedans sa roulotte nous étions dix enfants
Et le soir, autour d'un feu de camp
On rêvait d'une maison blanche en chantant
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
C'est vraiment fatigant d'aller où tu vas
Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
Tu devrais t'arrêter dans ce coin"
Le chemin de papa, en hommage au père de Joe Dassin, un peu poète un peu vagabond, cinéaste avec lequel la famille a dû quitter son Amérique natale à cause du maccarthysme.
6. J'étais petite quand j'écoutais Joe Dassin, mais je ressentais la nostalgie d'une vie que je n'avais pas encore vécue. J'adore le rythme endiablé du piano sur cette chanson :
"Tourne, tourne, le temps passe
Dans tes yeux, devant ta glace
Mais toi, tu ne le vois pas passer
C'est la vie, Lily
Quand tu vas dans les rues de la ville
Tout le monde t'admire et tes sourires
Et ta jeunesse font rêver les soldats"
7. Ou pire, que je n'ai même pas vécue :
" On allumait une cigarette et tout s'allumait
Et c'était la fête, le quatorze juillet
Il n'y avait jamais un copain de trop
Dans l'équipe à Jojo
Y avait moins de nuits sans guitare que de jours sans pain
On partageait tout et on n'avait rien
Qu'est-ce qu'on était fous, qu'est-ce qu'on s'en foutait
Qu'est-ce qu'on était bien"
8. Sans oublier les inévitables chansons d'amours qui faisait vibrer mon âme d'enfant lisant des contes de fées :
"Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va
Je me sentirais perdu, j'aurais besoin de toi
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pourquoi j'existerais?
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regrets"
9. Et les histoires d'amours déçues que je ne pouvais pas encore connaître mais dont Joe Dassin me donnait un avant-goût :
"C'est drôle, tu es partie
Et pourtant tu es encore ici
Puisque tout me parle de toi
Un parfum de femme, l'écho de ta voix
Ton adieu, je n'y crois pas du tout
C'est un au-revoir, presque un rendez-vous
Ça va pas changer le monde
Il a trop tourné sans nous"
10. ou bien encore :
"Seule devant ta glace
Tu te vois triste sans savoir pourquoi
Et tu ferais n'importe quoi
Pour ne pas être à ta place
Si tu t'appelles mélancolie
Si l'amour n'est plus qu'une habitude
Ne me raconte pas ta vie
Je la connais, ta solitude"
Une chanson sponsorisée par Prozac.
11. Des paroles encore plus sombres, travaillées comme une histoire naturaliste, qui ont désorienté le public. Pourtant elle est devenue "culte et a beaucoup fait fantasmer", comme on peut le lire dans l'analyse en lien. Je comprenais bien le sous texte et cette chanson me fascinait enfant. J'y retrouvais les expressions franc parler et l'attitude des vieux paysans autour de moi. Je collais sur les paroles les images de Signoret et Delon dans La veuve Couderc :
"C'était le quatre juin, le soleil tapait depuis le matin
Je m'occupais de la vigne et mon frère chargeait le foin
Et l'heure du déjeuner venue, on est retourné à la maison
Et notre mère a crié de la cuisine "essuyez vos pieds sur le paillasson"
Puis elle nous a dit qu'elle avait des nouvelles de Bourg-les-Essonnes
Ce matin, Marie-Jeanne Guillaume s'est jetée du pont de la Garonne"
15:31 Publié dans A vous de jouer ! Les quiz, On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson française, musique, joe dassin, quiz | |
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21/09/2020
Le deuxième quiz Joe Dassin
J'ai expliqué dans la première partie qu'en tombant par hasard sur un documentaire hommage au chanteur, j'ai redécouvert Joe Dassin que j'écoutais enfant, et les émotions que ses chansons me procuraient. En écrivant ce quiz, je remarque que des thèmes sont récurrents dans son œuvre et font écho à son vécu.
12. Une chanson qui me faisait rêver de voyage depuis ma chambre d'enfant. Aujourd'hui, toujours en confinement, je n'ai toujours pas réalisé ses désirs ni quitté mon logement :
"Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né"
La montagne avec les marmottes
13. Autre mélodie qui me permettait de m'évader de mon quotidien d'élève qui n'aimait pas l'école (je m'ennuyais à mourir). Le voyage et l'exil sont des thèmes chers à Joe Dassin, qui avec sa famille à dû quitter son pays natal, l’Amérique, à cause du maccarthysme. Il a entrepris par la suite des études d'anthropologie avec un mémoire sur les indiens, autre sujet récurrent dans son œuvre.
"C'était un homme en déroute
C'était un frère sans doute
Il n'avait ni lien, ni place
Et sur les routes de l'exil
Sur les sentiers, sur les places
Il me parlait de sa ville"
14. Encore une chanson de voyage, plus désabusée que nostalgique. Comme Joe Dassin estime qu'au final rien ne vaut son chez soi, il me réconforte dans mon confinement forcé.
"Le vent s'engouffre dans ma valise
Et sur ma route il y a des trous
J'ai vu tant de rues, j'ai vu tant d'églises
Mais les plus belles étaient chez nous"
15. Un air que j'ai du mal à supporter depuis que je suis coincée dans cette ville avec un voisin qui joue de la guitare et une voisine qui passe l'aspirateur à toute heure :
"Tu m'as dit "J'ai rendez-vous dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare et l'aspirateur à la main, du soir au matin"
16. Cette fois-ci en place de l'éloge à Paris, plutôt une diatribe. Un air guilleret que j'appréciais beaucoup enfant et qui désormais me fait regretter le silence du confinement généralisé.
"A cette heure-ci c'est toujours la même chose
On n'avance plus, les gens se bousculent
Tiens, encore un rendez-vous de raté
Enfin, c'est pas grave, il fait beau
Et puis le principal, c'est de ne jamais s'énerver
Du calme, du calme"
18. Une composition qui marie goût du voyage, nostalgie de l’Amérique, mais aussi, d'une ancienne histoire d'amour :
"Aujourd'hui je suis très loin de ce matin d'automne
Mais c'est comme si j'y étais
Je pense à toi : où es-tu, que fais-tu
Est-ce que j'existe encore pour toi?
Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune
Tu vois, comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable et je me souviens"
19. Une chanson d'amour qui a trouvé écho en beaucoup, et des plus illustres : l'ancien président de la république ! J'ai honte mais j'admets avoir lu le bouquin de Valérie Trierweiler (je ne l'ai pas acheté ! on me l'a envoyé en pdf!) le vrai malaise est surtout pour elle, de dévoiler des détails impudiques à tous, d'autant plus qu'ils concernent le chef de l'état... Gênée, j'ai préféré oublier ce torchon cette lecture indécente mais j'en ai retenu ce détail : "Le jeudi a toujours été notre jour, celui du début de notre relation amoureuse, celui des rendez-vous entre 2005 et 2007. Et celui de la fameuse chanson de Joe Dassin, que nous avons écoutée en boucle tant de fois dans ma voiture en chantant : "Souviens-toi, c'était un jeudi, c'était le grand jour, le grand pas vers le grand amour." Pas vraiment non.
"Un motel sur la route du port, un soir banal
Deux clients, un veilleur qui s'endort, sur son journal
Il nous tend à chacun une clé, nous dit: "bonsoir"
Le matin on avait réservé des chambres à part
On n'ose pas montrer qu'on s'aime
Car je suis déjà maqué à Ségolène Royal
Si si c'est les vraies paroles"
19. Une histoire d'amour qui s'est bien terminée elle, et ravissait mon âme d'enfant qui croyait au prince charmant :
"Il ne voyait pas qu'elle était belle
Ne savait pas qu'elle était celle
Que le destin lui envoyait à l'aveuglette
Pour faire son bonheur
Et la fille qui n'était pas bête
Acheta des lunettes à l'élu de son cœur"
20. Des paroles qui au contraire choquaient mon innocence : comment ? On ne reste pas avec le même prince toute sa vie ?
"Un jour ici, l'autre là, un jour riche et l'autre pas
J'avais faim de tout voir, de tout savoir, j'avais tellement à faire
A me tromper de chemin tant de fois
J'ai quand même fini par trouver celui qui mène à toi
Il y a les filles dont on rêve
Et celles avec qui l'on dort"
Quand on s'aime c'est le septième ciel
Et tant pis si quelques fois
Les fleurs que tu reçois sont d'un autre que moi"
D'un décembre qui va bien durer six mois
Quand les jours ressemblent aux nuits
Sans éclaircie à espérer
Qui peut croire que l'été nous reviendra
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17/09/2020
Le quiz on connait la chanson de Joe Dassin
Relire le début ici, où grâce au documentaire, Joe Dassin, le roman de sa vie, j'ai redécouvert ce chanteur que j'écoutais enfant.
Retrouvez les titres des paroles en gras :
1. Je crois que ma chanson préférée reste celle-ci. Le rythme, les paroles, l'humour, tout. Enfant, j'imaginais parfaitement la scène, et moi dont le surnom reste "la sauvage", je me réjouissais de la réaction de la fille héroïne de la chanson. Des années après, je sors la phrase telle qu'elle, sans la chanter, avec l'air le plus sérieux possible, dès que je peux la placer dans une conversation, que ce soit entre amis ou au travail. Je n'ai pas encore osé la dire au dirlo pour une augmentation :
"J'ai attendu attendu, elle n'est jamais venue. Zaï zaï zaï zaï."
2. Des propos et une voix qui m'effrayaient à l'époque, pour dire comme j'étais petite (la salsa du démon, je partais carrément me cacher.)
"Tout petits à l'école
A la place de crayons ils avaient des limes
En guise de cravates, des cordes de lin.
Ne vous étonnez pas, si leur tout premier crime
Fut d'avoir fait mourir leur maman de chagrin."
3. Des paroles très belles, justes et touchantes, qui sentent le vécu. Et pour cause, comme l'explique le parolier Claude Lemesle dans le documentaire : "tout le monde pensait que Joe racontait ses chagrins d'amour dans ses chansons, en fait, c'était les miens :
"Roméo, Juliette et tous les autres
Au fond de vos bouquins dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celle qu'on n'écrira jamais"
Belle ironie car vu le succès de la chanson, plus de gens connaissent les mots de Claude Lemesle que ceux de Shakespeare !
4. Une mélodie rythmée qui me mettait d'entrain quand j'étais enfant. Je ne pensais pas qu'un jour je la vivrai et donc qu'elle me ferait beaucoup moins rire :
"Dans Paris à vélo, on dépasse les autos
à vélo dans Paris, on dépasse les taxis
Place des fêtes on roule au pas
Place Clichy on ne roule pas
La Bastille est assiégée
Et la République est en danger"
Une chanson sponsorisée par vélib.
5. J'adorais tellement cette chanson quand j'étais petite que la réentendre dans le documentaire m'a émue :
"Il était un peu poète et un peu vagabond
Il n'avait jamais connu ni patrie, ni patron
Il venait de n'importe où, allait aux quatre vents
Mais dedans sa roulotte nous étions dix enfants
Et le soir, autour d'un feu de camp
On rêvait d'une maison blanche en chantant"
6. J'étais petite quand j'écoutais Joe Dassin, mais je ressentais la nostalgie d'une vie que je n'avais pas encore vécue. J'adore le rythme endiablé du piano sur cette chanson :
"Tourne, tourne, le temps passe
Dans tes yeux, devant ta glace
Mais toi, tu ne le vois pas passer"
7. Ou pire, que je n'ai même pas vécue :
"Y avait moins de nuits sans guitare que de jours sans pain
On partageait tout et on n'avait rien
Qu'est-ce qu'on était fous, qu'est-ce qu'on s'en foutait
Qu'est-ce qu'on était bien"
8. Sans oublier les inévitables chansons d'amours qui faisait vibrer mon âme d'enfant lisant des contes de fées :
"Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va
Je me sentirais perdu, j'aurais besoin de toi"
9. Et les histoires d'amours déçues que je ne pouvais pas encore connaître mais dont Joe Dassin me donnait un avant-goût :
"C'est drôle, tu es partie
Et pourtant tu es encore ici
Puisque tout me parle de toi
Un parfum de femme, l'écho de ta voix
Ton adieu, je n'y crois pas du tout
C'est un au-revoir, presque un rendez-vous"
10. ou bien encore :
"Seule devant ta glace
Tu te vois triste sans savoir pourquoi
Et tu ferais n'importe quoi
Pour ne pas être à ta place"
11. Des paroles beaucoup plus sombres, travaillées comme une histoire naturaliste, qui ont désorienté le public. Je comprenais bien le sous texte et cette chanson me fascinait enfant. J'y retrouvais les expressions franc parler et l'attitude des vieux paysans autour de moi. Je collais sur les paroles les images de Signoret et Delon dans La veuve Couderc :
"C'était le quatre juin, le soleil tapait depuis le matin
Je m'occupais de la vigne et mon frère chargeait le foin
Et l'heure du déjeuner venue, on est retourné à la maison
Et notre mère a crié de la cuisine "essuyez vos pieds sur le paillasson"
Puis elle nous a dit qu'elle avait des nouvelles de Bourg-les-Essonnes
Ce matin, Marie-Jeanne Guillaume s'est jetée du pont de la Garonne"
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08/04/2020
Le quiz du confinement, les résultats

c) Le pauv' guitariste
d) Joueurs de blues
A) Michel Delpech
B) Michel Polnareff
C) Michel Berger
D) Michel Jonasz
E) Michel Sardou
F) Michel fils de Jacques
G) Brigitte Fossey qui cherche Michel dans Jeux interdits
H) Oui ya des pièges

b) Dancer in the dark
c) Furyo
d) A star is born
B) Lady gaga
D) Bjork
E) Papillote, à la fois emmerdeuse, danseuse, prisonnière de guerre dans son travail et star des blogs.
Réponse en vidéo sur les liens.
Font plus que force ni que rage.
a) La cigale et la fourmi
b) Le lion et le rat
Réponse : b)
c) De Papillote, qui impressionne par ses multiples talents
- L'un est l'art de "la belle époque", entre la fin du 19è siècle et le début de la première guerre mondiale. Il s'inspire de la nature, des courbes des fleurs. Emile Gallé, Klimt, ou la Sagrada familia de Gaudi représentent cet art.
a) du futurisme et de l'expressionnisme
b) de l'art nouveau et l'art déco
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01/04/2020
Le quiz du confinement

c) Le pauv' guitariste
d) Joueurs de blues
A) Michel Delpech
B) Michel Polnareff
C) Michel Berger
D) Michel Jonasz
E) Michel Sardou
F) Michel fils de Jacques
G) Brigitte Fossey qui cherche Michel dans Jeux interdits
H) Oui ya des pièges
a) L'emmerdeur
b) Dancer in the dark
c) Furyo
d) A star is born
B) Lady gaga
D) Bjork
E) Papillote, à la fois emmerdeuse, danseuse, prisonnière de guerre dans son travail et star des blogs.
Font plus que force ni que rage.
a) La cigale et la fourmi
b) Le lion et le rat
c) De Papillote, qui impressionne par ses multiples talents
- L'un est l'art de "la belle époque", entre la fin du 19è siècle et le début de la première guerre mondiale. Il s'inspire de la nature, des courbes des fleurs. Emile Gallé, Klimt, ou la Sagrada familia de Gaudi représentent cet art.
a) du futurisme et de l'expressionnisme
b) de l'art nouveau et l'art déco
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17/12/2019
Le quiz de décembre

c) Le pauv' guitariste
d) Joueurs de blues
A) Michel Delpech
B) Michel Polnareff
C) Michel Berger
D) Michel Jonasz
E) Michel Sardou
F) Michel fils de Jacques
G) Brigitte Fossey qui cherche Michel dans Jeux interdits
H) Oui ya des pièges
a) L'emmerdeur
b) Dancer in the dark
c) Furyo
d) A star is born
B) Lady gaga
D) Bjork
E) Papillote, à la fois emmerdeuse, danseuse, prisonnière de guerre dans son travail et star des blogs.
Font plus que force ni que rage.
a) La cigale et la fourmi
b) Le lion et le rat
c) De Papillote, qui impressionne par ses multiples talents
- L'un est l'art de "la belle époque", entre la fin du 19è siècle et le début de la première guerre mondiale. Il s'inspire de la nature, des courbes des fleurs. Emile Gallé, Klimt, ou la Sagrada familia de Gaudi représentent cet art.
a) du futurisme et de l'expressionnisme
b) de l'art nouveau et l'art déco
20:52 Publié dans A vous de jouer ! Les quiz | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quiz, quiz culture générale, chanson française | |
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14/12/2019
Le quiz de novembre, les résultats

b) Son architecte l'a conçue ainsi
c) Elle a été endommagée par un séisme au 16è siècle
Réponse : a) La tour a continué de pencher jusqu'à 1990, date à laquelle son accès a dû être fermé. Des travaux de rénovation ont depuis redressé la tour de 50 cm, soit le niveau d'inclinaison qu'elle possédait à sa construction en 1173.
2) Associez ces premières phrases de romans à leurs auteurs :
a) "Un jour, j’étais âgée déjà, dans le hall d’un lieu public, un homme est venu vers moi. Il m’a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que je vous trouve plus belle maintenant, j’aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté." ("visage dévasté" ? C'est censé être un compliment ?)
b) "Longtemps, je me suis couché de bonne heure." Pas comme Papillote.
c) "Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé."
d) "Toutes les familles heureuses le sont de la même manière, les familles malheureuses le sont chacune à leur façon."

Réponse : a) B) / b)A) / c)D) d)C)
b) Robbie Williams
c) Bob Dylan
e) Papillote (je suis un homme, je suis un homme, quoi de plus naturel en somme)
Réponse : c)
a) Femme à l'ombrelle
b) La persistance de la mémoire
Réponse : a)B / b)C / c)A
a) Abraracourcix
b) Assurancetourix
c) Papillotix
Réponse : b)
16:56 Publié dans A vous de jouer ! Les quiz | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quiz culturé générale | |
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09/12/2019
J'ai dans la tête un transistor qui fredonne
La dernière manifestation de ma maladie incurable au travail (relire ici) me fait penser à ce billet initialement publié en 2012, concernant un autre job, mais toujours d'actualité :
"Dans mon boulot inintéressant, je dois enregistrer à la chaîne des données, et le nom des gens auxquels elles sont rattachées. (actualisation 2019 : contrairement à l'ancien taf où je trimais sans interruption, dans ce dernier je suis relativement libre. Le boulot en lui-même n'est pas passionnant mais il a l'immense mérite de me laisser du temps pour des activités intéressantes : lire, écrire, dormir).
Dans l’open space (m’a tuer), le bruit des ordinateurs est parfois interrompu par des soupirs de collègues désabusés, comptant les minutes passer. (2019 : certains collègues soufflent toujours d'ennui : ils ne profitent pas des temps morts, ils attendent les bras ballants qu'une mission leur tombe dessus.)
Très vite, ma maladie incurable se manifeste.
Atteinte au plus haut degré, je ne m’en rends pas compte immédiatement. Je ne comprends pas d’où proviennent les symptômes, pourquoi ils persistent au fil des heures.
Les signes empirent les jours suivants. Cette fois, ils sont visibles pour mes collègues. Ou plutôt audibles.
Mes compagnons de misère commencent à me jeter des regards fugaces et étonnés. Une fille pouffe.
Et je saisis enfin.
Il vaut mieux parler ouvertement de ses problèmes. Alors, comme aux alcooliques anonymes, je fais mon mea culpa. Ma collègue m’explique que ce n’est pas une tare, au contraire. (Actualisation 2019 : mes nouveaux collègues, esprits chagrins, n'apprécient pas.)
Me voyant encouragée, je ne cherche plus à cacher mon infirmité, je la laisse se développer, au plus grand plaisir de ma collègue compréhensive et bon public. (En 2019, mise au rebut par ma maladie, je m'isole.)
Tout a commencé par une pensée persistante : « oh, fini, fini pour moi ».
Ce boulot me déprime t-il tant ? Ou alors j’espère simplement la fin de la journée ?
Les symptômes se poursuivent avec : « Moi j’attendais la récré pour aller au café boire un chocolat »
Oui ça doit être ça, j’ai besoin d’une pause dans ce travail répétitif.
« Je voudrais partir avec vous tout au bout du ciel, sur vos ailes »
La récré est vraiment nécessaire, je ne vais pas bien.
« De vague à l’âme en terrain vague, tu divagues ! »
Oui, je divague complètement. Mais que m’arrive-t-il ?
Je laisse s’échapper des sons bizarres, incompréhensibles. Des marmonnements, des plaintes, des murmures de souffrance face à ce travail ingrat ?
Non : ma chansonnite aiguë atteint son apogée. Tous ces prénoms inscrits sur les dossiers me rappellent des mélodies, qui me restent en tête et que je sifflote pendant des heures. Une maladie incurable, mais pas bien grave. « Ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine, ça vaut mieux que d’avaler de la mort aux rats. »
Actualisation 2019 : Une cliente régulière répond au doux nom de Lisa, et chaque fois que je l'entends j'ai envie de chanter "saute moi au cou ! Cherche moi des poux !" Pire, un collègue se prénomme Étienne et j'ai toujours envie de lui gueuler "oh tiens le bien !"
Ma collègue se prend au jeu et tente de deviner les airs que je fredonne :
« Dis-moi, Bidule, les années ont passé, pourquoi n’as-tu jamais songé à te marier ? »
« La place rouge était vide, devant moi marchait bip-bip ! Elle avait des cheveux blonds mon guide, Bip-bip !! »
« machineuh, ma filleuuuuh »
« C’était bien, chez Machin chouette, quand on faisait la fête, elle venait vers nous, Machin-chouette ! »
« Ya qu'un cheveu sur la tête à neuneu, il n'y a qu'une dent, il n'y a qu'une dent ! »
« Mais Tartempion, il veut pas qu’on l’embête, tout ce qu’il a dans la tête, c’est qu’il veut rentrer chez lui… J’veux pas rester ici »
Ma collègue me pose des colles :
« Je te donne des noms et tu dois chercher des chansons !
- « Chercher le garçon ? Trouver son nom ? »
- Mais j’ai pas encore commencé !
- « Je cherchais des prénoms : « Matthieu, Cécile ? » en regardant courir vers 10 heures dans l’école des filles et des garçons »
-Tu me fais trop rire !
-« Rire et… chan-sons !!! »
- T’es vraiment dingue !
- Je suis MA LA DEUHHHHH, complètement MA LA DEUHHHHHHH ! »
-« Tu as une chanson avec le prénom Lucile ?
« Partout, au soleil, sous la pluie, quand ils voient s’avancer les grands yeux de Lucile, partout les garçons se bousculent et la rue un instant prend un air de folie ! »
- Sarah ?
- Princesse ! Princesse ! Tu es bien jolie !
-Ah là tu ne vas pas trouver ! Gilbert ! Pas un prénom pour une chanson !
- Gigi ! O Gigi, personne ne sait d’où tu viens, tu nous crées un monde angélique, où tout devient féerique…
-Tu ne vas pas nous sortir que des chansons de dessins animés !
-A-rri-va… Gigi l’amoroso !
Un collègue nous interrompt :
- Oh c’est fini Dalida !
-Laissez-moi chanter ! Laissez-moi… Laissez-moi danser, chanter en liberté… »
Je conclurai par :
« Ris-en si tu veux, il faudra bien y croire !
C’est comme dans un vieux rock n’roll
J’ai dans la tête un transistor qui fredonne
Comme dans un très vieux rock n’roll
Serre la main d’un fou, que rien ne raisonne ! »
Quiz On connaît la chanson : quelles sont les chansons citées et leurs interprètes ? Les prénoms cachés débutent avec « oh, fini, fini pour moi ». Il y a 22 chansons en tout… Vous pouvez m'envoyer vos réponses par mail, et un gagnant recevra le cadeau inestimable avant noël : un paquet de papillotes !
A vous de jouer !
17:48 Publié dans A vous de jouer ! Les quiz, On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson française, travail, comment supporter ses collègues | |
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