23/10/2011
La couleur des sentiments (10 places à gagner)
Mercredi sort en salles l’adaptation du best-seller La couleur des sentiments, de Tate Taylor (voir bande annonce en lien). Ne vous fiez pas à ce titre que je juge gnan-gnan, le film est bien. En version originale, il s’intitule The Help, qu’on aurait pu traduire par « les bonnes » mais il était déjà pris par Jean Genet. (Ce n’était pas une raison pour choisir un nom pareil).
Dans le Mississippi des années 60, une jeune fille de bonne famille, voulant devenir journaliste, décide d’écrire un livre donnant enfin la parole aux domestiques Noires. La ségrégation étant d’actualité, elle doit le faire clandestinement. Ce livre chamboulera le quotidien de cette petite ville tranquille, où les apparences sont reines.
La couleur des sentiments offre un formidable témoignage sur cette époque et sur la ségrégation, rarement décrite au cinéma (sauf dans La couleur pourpre, Le secret de Lily Owens, Loin du paradis…) Les années 60 nous paraissent proches et familières, mais les Américains occultent souvent qu’à cette période, comme ici, les domestiques Noirs étaient payés une misère, se faisaient lyncher pour rien ou ne pouvaient partager les toilettes de leurs employeurs.
L’émotion est de mise avec le récit tragique de ces domestiques. Pourtant le film évite avec finesse l’écueil du mélo ou de la dénonciation rageuse, en privilégiant l’humour et le recul : l’astuce pour se venger de la loi sur les wc séparés que tente d’imposer une pimbêche « bien sous tout rapport » ne manque pas de piquant. La pimbêche manipulatrice est incarnée avec délectation par Bryce Dallas Howard (-cliquez sur le personnage en présentation-)
Le film mise beaucoup sur l’aspect visuel. L'atmosphère et la mode des années 60 sont parfaitement restituées. Par ce souci du détail, ses robes colorées à frous-frous et ses choucroutes, le film rappelle la série audacieuse Mad Men, qui décrit à merveille les années 50.
De plus, la jeune héroïne interprétée par Emma Stone, refuse une vie classique de mère au foyer passant ses journées à jouer au bridge et à colporter les cancans. Elle ne pense pas au mariage, veut travailler, réfléchir par elle-même et se rebeller contre l’ordre établi, ce qui déplait fortement à son prétendant…
Par son goût de l’esthétique, son côté féministe et sa description parfaite d’un univers féminin remplie de langues de vipères, le film plaira aussi beaucoup aux femmes, surtout les fans de Desperate Housewives. J’ai vraiment apprécié et passé un bon moment en compagnie de ces héroïnes très attachantes. J'ai un faible pour Célia, interprétée par Jessica Chastain, jeune femme issue d'un milieu modeste, naïve et spontanée, inadaptée à ce monde d'apparence et qui en est rejetée. Je compte lire le roman dont le scénario est adapté pour prolonger cette expérience.
Si vous voulez juger par vous-mêmes, Way to blue vous fait gagner 5X2 places pour voir le film. Pour ceux qui possèderaient une carte de cinéma par exemple, deux tabliers (rappelant l'afifche du film) sont également à gagner. Pour cela, il suffit de répondre à mon prochain quiz on connaît le film, en ligne demain matin à 7 heures. Je compte sur vous !
21:11 Publié dans On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : télé, cinéma, la couleur des sentiments, blake edwards | | Facebook
16/10/2011
La rubrique nécrologique et les films de la semaine : Steve Jobs, Woody Allen, Thelma et Louise, Boisset
Dans la rubrique nécrologique de la semaine… dernière, la mort de Steve jobs, le fondateur d’Apple (inc) a suscité l’émoi.
Pour mémé nulle en nouvelle technologie, Apple (corp) désigne plutôt l’entreprise crée par les Beatles, dont le logo s’inspire de la toile Le fils de l’homme (voir image). Cette œuvre surréaliste est signée Magritte, le peintre préféré de McCartney.
Pour Steve Jobs, les nombreux reportages télés montraient la foule pleurant devant les Apple store, déposant des cierges et des affiches « God is dead ». Comme l’a dit un journaliste, « voir qu’il y a une telle dévotion, à la limite du culte, pour un téléphone et son fondateur, je n’ai pas l’impression que ce soit le signe d’une société qui va très bien ».
Vous savez ce que je pense de l’ultra consommation et de la mode. J’ai dû me résoudre à acheter un téléphone portable en 2007 pour le travail (les agences d’intérim prenaient quelqu’un d’autre si je ne décrochais pas dans la minute). Beaucoup se moquent de mon « vieil » appareil démodé (il n’a que 4 ans !!! dans quel monde vit-on ?)
Il fonctionne toujours, je ne vois pas pourquoi je m’en séparerais. Un téléphone, comme son nom l’indique, sert à téléphoner, je n’ai donc pas besoin des 100 000 applications payantes d’un i-phone. Je passe déjà des heures chez moi sur Internet, si je dois également être connectée partout, ma vie serait impossible, je vivrais dans le virtuel. De plus, avec les 22 000 points cumulés avec mon opérateur, le jour où mon portable ne fonctionnera plus, je n’aurai logiquement rien à débourser pour le remplacer. La panne ne saurait tarder puisque aujourd’hui, avec l’obsolescence programmée, les appareils ont une durée de vie limitée ou ne sont pas réparables, pour forcer à la consommation (mais les gens en sont ravis et se ruent dans les apple store pour acquérir la toute dernière nouveauté, qui sera pourtant remplacée deux mois plus tard).
Comme disent les Guignols : « Steve Jobs, il rend indispensable ce dont vous n’avez pas besoin ».
Cette semaine à la télé, pas grand-chose à se mettre sous la dent.
Ce soir sur France 2, je regarderai comme toujours le Woody Allen, Vicky Cristina Barcelona. Le cinéaste sort un film par an depuis 1970. Ses oeuvres sont parfois trop bavardes, redondantes, avec les mêmes histoires, les mêmes personnages : on a l’impression que les riches artistes représentent 90 % de la population. Je vous avoue que je n’ai pas encore vu celui-ci, je l’ai raté au ciné et espérais me rattraper sur canal, mais la chaîne ne l’a pas diffusé. Je ne peux donc pas dire ce que j’en pense, mais visiblement la presse a apprécié ce marivaudage très sensuel. On y voit les trois bombes Scarlett Johansson, Pénélope Cruz et Rebecca Hall, se disputant les faveurs de…Javier Bardem... (dans la vraie vie, Pénélope Cruz a remporté la bataille)
« Cherchez l’erreur ». Je sais que beaucoup trouve cet acteur sexy, très « mâle, animal », mais justement, selon moi il a le physique grossier d’un taureau et je ne suis pas zoophile (voir la photo pas biutiful du tout). J’aurais certainement du mal à être envoûtée par les scènes de passion avec la bête l’acteur. Dans la même famille des bovidés, encore pire, un autre acteur affreux porte bien son nom : Benicio del toro (il est vraiment pas beau). (Il a son équivalent français : Benjamin Biolay)
Pour incarner un personnage qui déchaîne les passions, Allen aurait pu choisir Sawyer♥♥♥ de Lost, Michael Fassbender,♥♥♥ James Franco♥♥♥!
Jeudi, France 3 propose à 23 heures Thelma et Louise de Ridley Scott (Alien, Gladiator, Blade runner…). Deux copines s’ennuyant dans leur couple décident de partir ensemble en weekend. Leur soif de liberté sera vite contrariée par l’agression d’un homme… Ce film « féministe » offre la reconnaissance à Brad Pitt, dans un rôle d’auto-stoppeur sexy (tiens, je l’ai oublié dans ma liste ci-dessus).
Côté documentaire, je ne raterai pas lundi sur France 3 « 12 balles dans la peau pour Pierre Laval » car il est réalisé par Yves Boisset. Le réalisateur acerbe des excellents films Dupont Lajoie, et Le juge fayard dit le shériff (avec Patriiick Dewaere♥♥♥) a livré également de remarquables documentaires : je me souviens encore très bien du Pantalon (en 1997) sur les fusillés pour l’exemple pendant la guerre de 14, des Mystères sanglants de l’OTS, de la bataille d’Alger, des affaires Seznec, Dreyfus et Salengro …
Si vous captez canal, je vous conseille lundi la série sulfureuse Borgia.
Et vous, appréciez-vous ces films ? Que pensez-vous de l’émotion autour de la mort de Steve Jobs ? Trouvez -vous Javier Bardem séduisant ?
21:08 Publié dans La rubrique nécrologique, Mémé et la technologie | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : télé, cinéma, films, mort de steve jobs, apple beatles, sawyer de lost, yann barthès, woody allen, yves boisset | | Facebook
10/10/2011
A la télé cette semaine : 100 000 dollars au soleil, I robot, Sin city, Duel, Hiroshima et Jack l'éventreur
Ce soir, Arte diffuse le classique 100 000 dollars au soleil d’Henri Verneuil, avec Jean-paul Belmondo, Lino Ventura et Bernard Blier. Je le connais par cœur, mais je le regarde toujours sans déplaisir, pour la bonne humeur qu’il déclenche et les dialogues archi connus d’Audiard, que j’ai cités pour un quiz on connaît le film :
« - Quand les types de cent trente kilos disent certaines choses, ceux de soixante kilos les écoutent ... »
« Dans la vie, on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon »
« Ici, c’est une grande famille. Quand un chauffeur veut un congé ou une augmentation, il vient me voir, je l’écoute et je le vire ».
Dans le Sahara des années 60, des camionneurs se poursuivent pour récupérer un magot volé par l’un d’eux. La veille, ils se cuitaient ensemble. La scène de beuverie reste un grand classique des films d’Audiard : Les tontons flingueurs, Un singe en hiver… Pour votre santé, consommez de l’alcool avec modération, mais regardez à volonté les films d’Audiard.
Ces snobs de Télérama ne mettent carrément aucun T. Cette attitude est très problématique, car elle me fait rater de nombreux films, pourtant parfaitement regardables. Je me repère sur le programme télé avec la couleur rouge de la notation, sans ça, mon regard ne se fixe pas, imaginant une émission télé -jamais notée- à la place d’un long métrage.
A l’inverse, le magazine donne parfois deux T à des films ennuyeux ou qui ne cassent pas trois pattes à un canard (souvent français bien entendu). Des scénarii sans actions où les acteurs ne font que se poser des questions existentielles sur leur quotidien affreusement banal et déprimant. C’est sûr, c’est plus intéressant qu’une bonne comédie inventive aux dialogues percutants, avec de l’action, des beaux décors, des acteurs connus, bref, un peu de rêve quoi. Il est manifestement interdit d’apprécier comme moi à la fois les documentaires (pour intellos, bien) et les comédies populaires françaises (pour les beaufs, pâ bien -prendre la voix du Pari des Inconnus-).
A la même heure, TMC diffuse I, robot d’Alex Proyas (Dark City, The crow), avec Will Smith. Dans le futur, les robots se révoltent contre les humains… Là encore, Télérama ne donne aucune note au film. Celui-ci est certes bien moins complexe que l’œuvre d’Asimov dont il est adapté, mais tout de même, il se laisse voir, l’histoire est intéressante, les décors sont grandioses… Je vous rappelle les principes du maître de la science fiction.
Première Loi : « Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger. »
Deuxième Loi : « Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi. » ;
Troisième Loi : « Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi. »
A la cité des sciences, qui organisait une expo sur la science fiction, un test nous présentait des situations posant ces questions de conscience. Eh bien les réponses étaient très difficiles à trouver…
Mardi, Direct 8 programme Sin City. Le film reprend à merveille l’esthétique du comics de Franck Miller dont il est adapté : du noir, du blanc, et du rouge pour le sang… Il respecte aussi les codes du film noir : une ville décadente, des femmes fatales causant la perte des policiers déprimés… Un film profondément original par son esthétique et son atmosphère.
Jeudi, Arte diffuse le premier film de Spielberg, Duel. Je me souviens l’avoir vu pour la première fois avant les vacances de noël, avec ma classe de français, en 4ème. Mes camarades n’avaient pas compris l’intérêt de l’histoire : pendant 1h30, une voiture est poursuivie par un camion, sans raison. Moi, j’avais été subjuguée par la tension qui se dégage du film et cet éternel questionnement : pourquoi cet acharnement ? Qui est cet homme ?
Comme quoi, Spielberg est un grand, avec trois fois rien, aucun effet, un seul personnage, il sait créer l’angoisse. On ne voit jamais le poursuivant, ce qui renforce le sentiment de terreur, comme dans Les dents de la mer, du même réalisateur, où l’on voit peu la bête mangeuse d’hommes.
L’imagination est toujours plus forte que les images : le remake de l’excellent La maison du diable, Hantise, est un navet. Dans le film en noir et blanc de Robert Wise, en 1963, le vieux manoir hanté nous terrifie avec de simples bruits de portes qui grincent, des ombres inquiétantes… Mais dans le remake de 1999, les effets spéciaux à gogo trop démonstratifs sont parfaitement ridicules et ôtent toute angoisse.
Dans les documentaires de la semaine, France 3 traite mercredi de la catastrophe d’Hiroshima, avec cette interrogation : était-elle un mal nécessaire, puisqu’elle a enfin marqué la fin de la seconde guerre mondiale ?
Autre sujet qui me passionne, comme tout fan de Faites entrer l’accusé (la nouvelle présentatrice qui remplace mon chouchou, Hondelatte le rebelle au blouson noir, débarque le 30 octobre, j’ai hâte de juger sa performance) : à la suite du documentaire sur Hiroshima, France 3 parle de Jack l‘éventreur, « son vrai visage ». J’espère que le film n’étaye pas la thèse de Patricia Cornwell. J’ai lu son livre et malheureusement son hypothèse n’est pas vraisemblable, pas plus apparemment que celle de l’excellent From Hell…
Si vous captez canal +, je vous conseille les séries Borgia qui commence ce soir et The event. En film, Harvey milk mercredi soir, The american jeudi, Potiche vendredi.
Et vous, connaissez vous ces oeuvres ?
17:21 Publié dans A la télé cette semaine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : télé, cinéma, cinéma français, faites entrer l'acusé, canal + | | Facebook
02/10/2011
La rubrique nécrologique et les films de la semaine : Paulette Dubost, Munich, Basic, Crazy kung-fu, la malbouffe et la gueule de l'emploi
Dans la rubrique nécrologique de la semaine…dernière (j’ai raté l’annonce) Paulette Dubost s’est éteinte le 21 septembre. Elle était la doyenne des actrices françaises, puisqu’elle allait fêter ses 101 ans. Elle interprétait de petits rôles, mais vous la connaissez sûrement. Elle a tourné dans pas moins de 160 films, avec les acteurs les plus célèbres (Michel Simon, Gabin, Bourvil, Noiret, Serrault…) et pour les plus illustres films des grands cinéastes : Renoir (La règle du jeu, où elle incarnait Lisette la femme de chambre) Marcel Carné (Hôtel du nord : la femme de Bernard Blier) Louis Malle (Milou en mai : la mère de « Milou » Piccoli)… Alors, vous voyez qui c’était ?
Dans les films de la semaine, ce soir France 2 diffuse Munich de Steven Spielberg. Lors des jeux olympiques de 1972, le commando palestinien « septembre noir » prend en otage et exécute onze athlètes israéliens. Une équipe du Mossad part alors à la recherche des responsables dans le but de les éliminer… Comme tous les films de Spielberg, celui-ci joue plus sur l’action et l’émotion que la réflexion politique. Il s’intéresse plus aux destinées et états d’âme des protagonistes : la violence et la vengeance sont-elles des solutions ? Comment concilier une vie de famille normale et heureuse, avec du sang sur les mains et le danger permanent ?
Lundi, France 4 programme Crazy kung-fu de Stephen Chow. Le réalisateur est l’auteur de l’improbable Shaolin soccer, où des moines montent une équipe de football. Cette fois-ci, les maîtres de kung-fu affrontent des gangsters. Le film est toujours aussi loufoque et imaginatif. Stephen Chow est capable de mélanger arts martiaux, Tex Avery et comédie musicale… Dé-li-rant.
M6 passe à 23h Basic de John Mc Tierman (Piège de cristal, Last action hero, Predator…) A Panama, six militaires disparaissent dans la jungle. Que leur est-il arrivé ? Les deux seuls rescapés sont interrogés, mais ils changent sans cesse de version… On suit avec plaisir ce jeu de piste rocambolesque. Les rebondissements se multiplient tellement, qu’après quatre visionnages mémé Papillote ne se souvient toujours pas de l’énième retournement final. C’est très pratique d’être amnésique quand on regarde des oeuvres à suspense et des policiers : je ne me rappelle jamais du nom du meurtrier.
Après les documentaires sur la guerre et les traumatismes (finalement je n’ai regardé que l’incroyable « Barbie », le très émouvant « l’âme en sang » et le téléfilm « occupation ») cette semaine Arte se consacre à un de mes sujets favoris : la bouffe, ou plutôt la malbouffe. Mardi, la chaîne diffuse « Dis-moi ce que tu manges » suivi de « La bataille de nos assiettes », jeudi « Poudres et potions de l’industrie alimentaire » et « La face cachée du chocolat ». Je vous conseille ces documents si vous souhaitez maigrir et « éviter de manger trop gras, trop sucré, trop salé » : les révélations vous couperont l’appétit. Par exemple, les « arômes naturels » sont en fait à base de moisissures... En Côte d’ivoire, les producteurs de chocolat emploient des enfants esclaves (j’achète du chocolat « équitable », à peine quelques centimes plus cher qu’une tablette classique, j’espère qu’il ne contribue pas à cette exploitation).
Mon autre sujet favori, comme vous commencez à le savoir, est le monde de plus en plus délétère du travail. Jeudi, France 2 programme un documentaire que je ne raterai sous aucun prétexte : « La gueule de l’emploi » sur les techniques humiliantes de recrutement… Le réalisateur Didier Cros filme dix candidats, s’affrontant pendant deux jours pour obtenir un poste de commercial. Les moins soumis, ne voulant pas se plier au système qu’on leur impose, ou les plus sensibles au stress de la compétition, seront éliminés… Le documentaire est disponible en ligne ce dimanche sur le site de Télérama, ici.
Ce film est très révélateur du monde du travail actuel, que ne comprennent pas nombre de retraités que mémé Papillote côtoie : à leur époque, la solidarité et le respect primaient sur la compétition, l’espionnage et la médisance.
Et vous, comment est l’ambiance dans votre travail, avez-vous subi ces impitoyables méthodes de recrutement ?
Voilà, vous pouvez allumer votre télévision et reprendre une activité normale. A ciao bon dimanche.
19:44 Publié dans A la télé cette semaine, La rubrique nécrologique | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : tlé, cinéma, travail, entretien d'embauche, chômage, la gueule de l'emploi, malbouffe, du poison dans nos assiettes | | Facebook