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27/10/2011

A la télé ce soir : les Gremlins (pires que mes chats ?)

gizmo.jpgGizmo ! je voulais et veux toujours le même... Qu'il chante comme dans la fameuse scène, en lien ici...

Petite, j'aurais adoré avoir Gizmo comme compagnon de jeu, mais "mon chat adoré de la photo de profil", très possessif, n'aurait pas apprécié (elle s'est laissée mourir en voyant mon cochon d'inde, pensant qu'il la remplaçait après 14 d'exclusivité) (du coup mon frère a toujours nommé le cobaye" le tueur de chat") (un chat vaincu par une sorte de rat, quelle ironie, je devrais écrire une fable).

Autre inconvénient, il ne faut pas nourrir Gizmo après minuit. S'il gueule comme le font les chats pour obtenir à bouffer, je ne résisterais pas. Vous savez que Papillote, la chatte, fait 8 kilos car elle quémande de la nourriture à chaque personne qui passe, avec l'air du chat Potté, ou alors en brayant pendant des heures en nous collant les basques : on est obligé de céder. (voir la vidéo en lien : les chatons que mon frère a trouvés miaulent exactement ainsi (ça va, il a réussi à en donner deux, il ne lui en reste "plus que" quatre à nourrir...)

Il est également interdit de laver Gizmo, mais cette restriction est plus facile à suivre. Je ne me suis jamais risquée à laver mes chats, vu la tête  dégoutée qu'ils font quand leurs pattes touchent involontairement une flaque d'eau (à peu près celle que j'ai faite en m'apercevant que j'avais mis du sucre à la place du sel sur mon oeuf au plat tout à l'heure)(Si vous voulez savoir "qu'est ce que c'est dégueulasse" comme dirait Jean Seberg vous pouvez essayer, mais je vous le déconseille).

Les mogwaï ne doivent pas non plus être exposés à la lumière, mais les chats dormant 18 heures par jour n'ont pas ce problème : ils préfèrent rester sous la couette.

 Finalement, je ne sais pas ce qui est le plus contraignant : les chats ou des Gremlins ?

Et vous, aimez-vous les Gremlins ? Avez-vous un chat qui hurle comme un fou pour avoir à manger ?

10/10/2011

A la télé cette semaine : 100 000 dollars au soleil, I robot, Sin city, Duel, Hiroshima et Jack l'éventreur

cent_mille_dollars_au_soleil,1.jpgCe soir, Arte diffuse le classique 100 000 dollars au soleil d’Henri Verneuil, avec Jean-paul Belmondo, Lino Ventura et Bernard Blier. Je le connais par cœur, mais je le regarde toujours sans déplaisir, pour la bonne humeur qu’il déclenche et les dialogues archi connus d’Audiard, que j’ai cités pour un quiz on connaît le film :
« - Quand les types de cent trente kilos disent certaines choses, ceux de soixante kilos les écoutent ... »
 « Dans la vie, on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon »
« Ici, c’est une grande famille. Quand un chauffeur veut un congé ou une augmentation, il vient me voir, je l’écoute et je le vire ».

Dans le Sahara des années 60, des camionneurs se poursuivent pour récupérer un magot volé par l’un d’eux. La veille, ils se cuitaient ensemble. La scène de beuverie reste un grand classique des films d’Audiard : Les tontons flingueurs, Un singe en hiver… Pour votre santé, consommez de l’alcool avec modération, mais regardez à volonté les films d’Audiard.

Ces snobs de Télérama ne mettent carrément aucun T. Cette attitude est très problématique, car elle me fait rater de nombreux films, pourtant parfaitement regardables. Je me repère sur le programme télé avec la couleur rouge de la notation, sans ça, mon regard ne se fixe pas, imaginant une émission télé -jamais notée- à la place d’un long métrage.
A l’inverse, le magazine donne parfois deux T à des films ennuyeux ou qui ne cassent pas trois pattes à un canard (souvent français bien entendu). Des scénarii sans actions où les acteurs ne font que se poser des questions existentielles sur leur quotidien affreusement banal et déprimant. C’est sûr, c’est plus intéressant qu’une bonne comédie inventive aux dialogues percutants, avec de l’action, des beaux décors, des acteurs connus, bref, un peu de rêve quoi. Il est manifestement interdit d’apprécier comme moi à la fois les documentaires (pour intellos, bien) et les comédies populaires françaises (pour les beaufs, pâ bien -prendre la voix du Pari des Inconnus-).

i_robot,3.jpgA la même heure, TMC diffuse I, robot d’Alex Proyas (Dark City, The crow), avec Will Smith. Dans le futur, les robots se révoltent contre les humains… Là encore, Télérama ne donne aucune note au film. Celui-ci est certes bien moins complexe que l’œuvre d’Asimov dont il est adapté, mais tout de même, il se laisse voir, l’histoire est intéressante, les décors sont grandioses… Je vous rappelle les principes du maître de la science fiction.
Première Loi : « Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger. »
Deuxième Loi : « Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi. » ;
Troisième Loi : « Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi. »

A la cité des sciences, qui organisait une expo sur la science fiction, un test nous présentait des situations posant ces questions de conscience. Eh bien les réponses étaient très difficiles à trouver…

sin_city.jpgMardi, Direct 8 programme Sin City. Le film reprend à merveille l’esthétique du comics de Franck Miller dont il est adapté : du noir, du blanc, et du rouge pour le sang… Il respecte aussi les codes du film noir : une ville décadente, des femmes fatales causant la perte des policiers déprimés… Un film profondément original par son esthétique et son atmosphère.

Jeudi, Arte diffuse le premier film de Spielberg, Duel. Je me souviens l’avoir vu pour la première fois avant les vacances de noël, avec ma classe de français, en 4ème. Mes camarades n’avaient pas compris l’intérêt de l’histoire : pendant 1h30, une voiture est poursuivie par un camion, sans raison. Moi, j’avais été subjuguée par la tension qui se dégage du film et cet éternel questionnement : pourquoi cet acharnement ? Qui est cet homme ?

duel.jpgComme quoi, Spielberg est un grand, avec trois fois rien, aucun effet, un seul personnage, il sait créer l’angoisse. On ne voit jamais le poursuivant, ce qui renforce le sentiment de terreur, comme dans Les dents de la mer, du même réalisateur, où l’on voit peu la bête mangeuse d’hommes.
L’imagination est toujours plus forte que les images : le remake de l’excellent La maison du diable, Hantise, est un navet. Dans le film en noir et blanc de Robert Wise, en 1963, le vieux manoir hanté nous terrifie avec de simples bruits de portes qui grincent, des ombres inquiétantes… Mais dans le remake de 1999, les effets spéciaux à gogo trop démonstratifs sont parfaitement ridicules et ôtent toute angoisse.

Dans les documentaires de la semaine, France 3 traite mercredi de la catastrophe d’Hiroshima, avec cette interrogation : était-elle un mal nécessaire, puisqu’elle a enfin marqué la fin de la seconde guerre mondiale ?

Autre sujet qui me passionne, comme tout fan de Faites entrer l’accusé (la nouvelle présentatrice qui remplace mon chouchou, Hondelatte le rebelle au blouson noir, débarque le 30 octobre, j’ai hâte de juger sa performance) : à la suite du documentaire sur Hiroshima, France 3 parle de Jack l‘éventreur, « son vrai visage ». J’espère que le film n’étaye pas la thèse de Patricia Cornwell. J’ai lu son livre et malheureusement son hypothèse n’est pas vraisemblable, pas plus apparemment que celle de l’excellent From Hell

Si vous captez canal +, je vous conseille les séries Borgia qui commence ce soir et The event. En film, Harvey milk mercredi soir, The american jeudi, Potiche vendredi.

Et vous, connaissez vous ces oeuvres ?

02/10/2011

La rubrique nécrologique et les films de la semaine : Paulette Dubost, Munich, Basic, Crazy kung-fu, la malbouffe et la gueule de l'emploi

Paulette_Dubost.jpgDans la rubrique nécrologique de la semaine…dernière (j’ai raté l’annonce) Paulette Dubost s’est éteinte le 21 septembre. Elle était la doyenne des actrices françaises, puisqu’elle allait fêter ses 101 ans. Elle interprétait de petits rôles, mais vous la connaissez sûrement. Elle a tourné dans pas moins de 160 films, avec les acteurs les plus célèbres (Michel Simon, Gabin, Bourvil, Noiret, Serrault…) et pour les plus illustres films des grands cinéastes : Renoir (La règle du jeu, où elle incarnait Lisette la femme de chambre) Marcel Carné (Hôtel du nord : la femme de Bernard Blier) Louis Malle (Milou en mai : la mère de « Milou » Piccoli)… Alors, vous voyez qui c’était ?

munich.jpgDans les films de la semaine, ce soir France 2 diffuse Munich de Steven Spielberg. Lors des jeux olympiques de 1972, le commando palestinien « septembre noir » prend en otage et exécute onze athlètes israéliens. Une équipe du Mossad part alors à la recherche des responsables dans le but de les éliminer… Comme tous les films de Spielberg, celui-ci joue plus sur l’action et l’émotion que la réflexion politique. Il s’intéresse plus aux destinées et états d’âme des protagonistes : la violence et la vengeance sont-elles des solutions ? Comment concilier une vie de famille normale et heureuse, avec du sang sur les mains et le danger permanent ?

crazy kung fu.jpgLundi, France 4 programme Crazy kung-fu de Stephen Chow. Le réalisateur est l’auteur de l’improbable Shaolin soccer, où des moines montent une équipe de football. Cette fois-ci, les maîtres de kung-fu affrontent des gangsters. Le film est toujours aussi loufoque et imaginatif. Stephen Chow est capable de mélanger arts martiaux, Tex Avery et comédie musicale… Dé-li-rant.

Basic-.jpgM6 passe à 23h Basic de John Mc Tierman (Piège de cristal, Last action hero, Predator…) A Panama, six militaires disparaissent dans la jungle. Que leur est-il arrivé ? Les deux seuls rescapés sont interrogés, mais ils changent sans cesse de version… On suit avec plaisir ce jeu de piste rocambolesque. Les rebondissements se multiplient tellement, qu’après quatre visionnages mémé Papillote ne se souvient toujours pas de l’énième retournement final. C’est très pratique d’être amnésique quand on regarde des oeuvres à suspense et des policiers : je ne me  rappelle jamais du nom du meurtrier.

Après les documentaires sur la guerre et les traumatismes (finalement je n’ai regardé que l’incroyable « Barbie »,  le très émouvant « l’âme en sang » et le téléfilm « occupation ») cette semaine Arte se consacre à un de mes sujets favoris : la bouffe, ou plutôt la malbouffe. Mardi, la chaîne diffuse « Dis-moi ce que tu manges » suivi de « La bataille de nos assiettes », jeudi « Poudres et potions de l’industrie alimentaire » et « La face cachée du chocolat ». Je vous conseille ces documents si vous souhaitez maigrir et « éviter de manger trop gras, trop sucré, trop salé » : les révélations vous couperont l’appétit. Par exemple, les « arômes naturels » sont en fait à base de moisissures... En Côte d’ivoire, les producteurs de chocolat emploient des enfants esclaves (j’achète du chocolat « équitable », à peine quelques centimes plus cher qu’une tablette classique, j’espère qu’il ne contribue pas à cette exploitation).

Mon autre sujet favori, comme vous commencez à le savoir, est le monde de plus en plus délétère du travail. Jeudi, France 2 programme un documentaire que je ne raterai sous aucun prétexte : « La gueule de l’emploi » sur les techniques humiliantes de recrutement… Le réalisateur Didier Cros filme dix candidats, s’affrontant pendant deux jours pour obtenir un poste de commercial. Les moins soumis, ne voulant pas se plier au système qu’on leur impose, ou les plus sensibles au stress de la compétition, seront éliminés… Le documentaire est disponible en ligne ce dimanche sur le site de Télérama, ici.
Ce film est très révélateur du monde du travail actuel, que ne comprennent pas nombre de retraités que mémé Papillote côtoie : à leur époque, la solidarité et le respect primaient sur la compétition, l’espionnage et la médisance.

Et vous, comment est l’ambiance dans votre travail, avez-vous subi ces impitoyables méthodes de recrutement ?

Voilà, vous pouvez allumer votre télévision et reprendre une activité normale. A ciao bon dimanche.

25/09/2011

A la télé cette semaine : Ascenseur pour l'échafaud, La science des rêves, Simone Lagrange et Klaus Barbie

ascenseur pour lechafaud.jpgCe soir, direct 8 rediffuse l’excellent Coup de tête avec Patrick Dewaere♥♥♥, j’en ai déjà parlé ici.
Lundi, France ô programme Ascenseur pour l’échafaud, le premier film de Louis Malle, en 1957, avec Jeanne Moreau et Maurice Ronet. Un homme commet un crime parfait, mais après le meurtre, il se trouve bêtement bloqué dans l’ascenseur… Sa complice l’attend toute la nuit en errant dans les rues. Le film est surtout connu pour la bande originale, composée par Miles Davis, qui a improvisé et crée la musique en 3 heures. Il est de bon goût et intellectuellement correct de dire qu’on adore le jazz, mais je vous avoue que les musiques improvisées me dépriment. Je trouve qu’elles n’ont pas de vraies mélodies, les notes se suivent sans vraiment s’accorder, l’air est souvent triste… Bref, quand j’écoute la BO d’ascenseur pour l’échafaud, j’ai envie de me mettre la tête sur le billot, en suppliant « achevez-moi ! ».
J’avais un kiné qui écoutait une radio de jazz en continu, qui ne passait que de la musique improvisée, molle, triste et discordante. Ca ne m’encourageait pas du tout à faire mes abdos et étirements, je soulevais faiblement mes haltères. Plus tard, pour un pseudo-reportage, j’ai fréquenté une salle de sport qui proposait des cours sur de la musique dance-techno. Ce style me donnait aussi envie de m’enfuir, mais au moins le rythme soutenu était plus compatible avec l’exercice physique. Maintenant je fréquente une salle qui ne passe pas de musique (beaucoup de clients s’en plaignent) et c’est un soulagement.

science des rêves.jpgMardi, Direct star diffuse La science des rêves de Michel Gondry. Pour ce film, le réalisateur français quitte l’Amérique et retrouve son pays natal. Un jeune homme timide et sans relief (Gaël Garcia Bernal♥♥) est embauché (par Alain Chabat) dans une entreprise de fabrication de calendriers. Ce créatif s’ennuie follement. Alors, rentré chez lui, il crée un nouveau monde, en imaginant une émission de télé dont il serait le personnage principal. Il fait la connaissance de sa voisine, interprétée par Charlotte Gainsbourg. Comment la faire entrer dans son univers ? Le monde du travail, du rêve, la lutte contre la banalité du quotidien, que des ingrédients pour me plaire. Si le film est aussi poétique et drolatique que les autres (comme Soyez sympas rembobinez), je trouve tout de même qu’il est moins poignant que le précédent opus de Gondry, Eternal sunshine of the spotless mind (avec Jim Carrey et Kate Winslet).

A la même heure, NRJ12 passe Fantômes contre fantômes de Peter Jackson, avec Michael J Fox, je l’ai déjà mentionné.

Pour les abonnés Canal +, je vous conseille cette semaine Crime d'amour d'Alain Corneau, The  american avec George Clooney ♥♥ et la suite des séries Platane, Mad men et The Event.

Cette semaine, peu de films à se mettre sous la dent, mais beaucoup de documentaires, tous sur le thème de la guerre. A ce propos, je me rends compte que j’ai oublié de vous proposer le bouleversant sujet la semaine dernière sur la vie de Simone Lagrange. Je n’ai pourtant pas la mémoire des noms, mais c’est une femme que je n’oublierai pas. Elle a été un des principaux témoins au procès Barbie qui s’est déroulé à Lyon en 1987. J’étais petite à l’époque, mais je me rappelle pourtant de l’effervescence autour du sujet, on en parlait à la maison (je suis Lyonnaise je vous rappelle).
J’ai découvert Simone Lagrange lorsque j’étais adolescente, au musée de la résistance de Lyon. Je me souviens encore dans les moindres détails de son témoignage au procès Barbie et des terrifiants extraits que propose le musée (j’en ai fait des cauchemars pendant des années).

La famille de Simone a été dénoncée, par l’enfant réfugiée qu’ils avaient accueillie et élevée comme leur propre fille pendant des années. Simone, à 13 ans, est torturée pendant une semaine par Barbie, au siège de la gestapo de Lyon, place Bellecour. Elle est envoyée à Auschwitz avec ses parents. Alors qu’elle se dirige comme les autres enfants vers les chambres à gaz, un homme la sauve en faisant croire qu’elle a 16 ans. Sa mère, qui s’occupe des choux (destinés aux cochons !) est dénoncée à son tour pour avoir piqué quelques feuilles. Avant son exécution, elle reste enfermée une semaine dans un cachot d’1 mètre carré. Mais l’épisode qui m’a le plus marqué il y a quinze ans, c’est lorsque les nazis déplacent les déportés d’un camp à l’autre, leur faisant subir de longues marches. Simone croise son père. Un soldat lui demande : « tu reconnais quelqu’un ? –oui, mon père là-bas. –va l’embrasser. » Le soldat laisse avancer le père devant sa fille, le fait mettre à genoux et lui tire deux balles dans la tête… J’ai toujours pensé que Simone avait certainement culpabilisé, se disant que si elle avait répondu par la négative, son père serait peut-être encore en vie…

Cette semaine, vous pouvez compléter le sujet avec un documentaire que j’ai déjà vu sur Klaus Barbie, lundi à 23 heures sur France 3. « Le boucher de Lyon » n’a pas arrêté ses méfaits à la fin de la guerre, mais a exporté ses techniques en Amérique Latine, où il a aidé les militaires à renverser les démocraties. On apprend entre autres dans ce documentaire de Kevin MacDonald (le dernier roi d’écosse) que Barbie travaillait dès 1947 en tant qu’espion anti communiste pour les Américains.

Autre conflit, France 2 propose jeudi soir « c’est pas le pied la guerre ? » un « journal filmé de soldats français en Afghanistan » suivi de « sans blessures apparentes » sur les traumatismes de guerre. Vendredi, Arte programme un téléfilm sur l’occupation en Irak, suivi cette fois encore d’un documentaire sur le stress post traumatique.

Voilà, le programme de la semaine est donc très joyeux. Nan, mais sinon, mercredi france 4 passe un documentaire sur des vétérinaires soignant des animaux sauvages, c'est mignon, ça... (en plus je compte le voir, j'ai déjà vu celui sur les NAC la semaine dernière) (je regarde toujours les documentaires sur les gentils n'animaux, ils compensent ceux qui donnent envie de se réfugier dans une grotte)

Et vous, avez-vous vu ces films et documentaires ?