01/12/2013
A la télé cette semaine : Starship Troopers, Arrête-moi si tu peux, Adieu Poulet...
Un film qui met la patate ce soir, en laissant penser que tout est possible, que le monde s’offre à nous, avec un peu de culot. Je veux parler d’Arrête-moi si tu peux de Steven Spielberg, avec Léo di Caprio et Tom Hanks. Le film est d’autant plus fascinant qu’il est tiré d’une histoire vraie : Dans les années 60, un gamin surdoué, Franck Abagnale, délaissé par sa famille, réussit à se faire passer pour un pilote de ligne, un avocat, un médecin… dès l’âge de 16 ans. Il détourne plus de 2 millions de dollars en faux chèques. Il devient l’une des personnes les plus recherchées des Etats-Unis et un agent du FBI (ici Tom Hanks) se lance à ses trousses. "Ce qui était, au départ, un simple expédient devint vite un jeu. J'étais toujours à l'affût de nouvelles opportunités, et grisé par le danger. Plus je prenais de risques, plus la partie devenait excitante, alors même que je me savais condamné à la perdre à plus ou moins court terme." Un film bourré de charme et d’humour, qui restitue à merveille les années 60.
Sur RTL9, à ne pas rater, un film de science-fiction parmi mes préférés, signé par un de mes réalisateurs favoris : Starship Troopers de Paul Verhoeven. Au 24è siècle, la Terre est gouvernée par la fédération, qui enseigne une doctrine stricte, d’ordre et de vertu. La société glorifie le sacrifice. Seuls les citoyens qui ont effectué leur service militaire ont le droit de voter, de se présenter à des postes publics, et même d’avoir des enfants en priorité. On suit le parcours de cinq lycéens, dont le très beau Casper van Dien et Denise Richards (et son sourire faux-cul). Pleins d’ambition et d’avenir, les jeunes gens intègrent la fédération pour obtenir une meilleure vie. Or, une guerre contre des arachnides éclate…
Un film qui prend aux tripes, grâce à ses effets spéciaux, sa violence physique et morale. Lorsque j’avais précisé que j’adorais Starship Troopers à un de mes camarades de fac, fan de films d’action décérébrés, il m’avait rétorqué « bah pourtant c’est que de l’action, ils dégomment des araignées géantes ! » Il ne voyait pas la portée morale, la critique virulente de l’impérialisme américain, comme souvent chez Verhoeven… Lors de sa sortie, même les critiques de cinéma spécialistes ont pris le film au premier degré, et l’accusaient d’être une apologie du fascisme !
A la même heure sur D8, je ne peux évidemment faire l’impasse sur un film avec mon chouchou Patrick Dewaere : Adieu poulet, de Pierre Granier-Deferre (Le chat, La veuve Couderc). Ce film est encore inspiré d’un faits-divers : le meurtre d’un colleur d’affiches lors d’une campagne électorale. Dans Adieu poulet, l’enquête révèle une affaire complexe de corruption. Un film passionné comme je les aime, plein de rebondissements, et drôle (le scénario est signé Francis Veber). Il repose comme toujours chez le scénariste sur les tempéraments opposés des acteurs : Lino Ventura le bourru, toujours statique, et le jeune fougueux et idéaliste Patrick Dewaere. Le sujet rappelle les films du rebelle Yves Boisset, qui tournera le juge Fayard avec Dewaere deux ans plus tard, en 1977.
Lundi, un classique de Bebel sur HD1, Peur sur la ville d'Henri Verneuil. Minos, le tueur psychopathe avec son œil difforme, me terrifiait quand j’étais petite. Mais le film vaut surtout pour les cascades ahurissantes de Bebel : sur les toits de Paris, sur le métro, et même suspendu à un hélicoptère. Notre héros se blesse d’ailleurs à deux reprises : à la main en se suspendant à une gouttière, puis se coupe en tombant à travers une verrière. Trois fois rien ! Comme il le dit dans l’homme de Rio : « suspendu par la mâchoire, à 3000 mètres d’altitude, j’avais envie de rire ! »
Mercredi sur Arte, un bon cru de Woody Allen : Le rêve de Cassandre. Deux frères d’origine modeste (Ewan McGregor et Colin Farell), rêvent de luxe. Ils s’offrent un signe extérieur de richesse, un bateau. Ne pouvant le payer, ils demandent l’aide de leur oncle, qui leur propose en contrepartie de tuer son ennemi… Un film sur le désir d’ascension sociale, comme l'excellent Match Point, même s’il ne l’égale pas.
Jeudi sur NT1, un classique qu’il est inutile de présenter : Jurassic Park de Steven Spielberg. En deuxième partie de soirée sur M6, Gangs of New York de Martin Scorsese.
Et vous, appréciez-vous ces films ? Qu'avez-vous vu cette semaine ?
20:28 Publié dans A la télé cette semaine | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : patrick dewaere, adieu poulet, starphip troopers, verhoeven | | Facebook
La rubrique nécrologique de la semaine : Paul Walker
L’acteur Paul Walker est décédé hier dans un accident de voiture, à seulement 40 ans. Il revenait d’un gala de charité pour les victimes du typhon aux Philippines. Un ami conduisait la Porsche, qui a percuté un arbre et pris feu. La vitesse est sans doute la cause de l’accident…
Mourir dans un bolide quand on était le héros des films Fast and furious, où Paul Walker interprétait un pilote de course, quelle ironie… Et déjà ce nom, « Walker » à croire que l’acteur aurait mieux fait de marcher. Mémé Papillote a toujours refusé de conduire une voiture et je suis toujours en alerte dans ces engins de mort. J’ai connu plusieurs personnes décédées dans des accidents de la route…
Paul Walker a aussi joué dans... Une virée en enfer. Dans ce film, il achète une guimbarde afin de traverser les États-Unis et rejoindre sa copine, mais le parcours est semé d’embûches. L’acteur interprétait souvent des personnages sur la route toute la sainte journée, devant fuir ou poursuivre des méchants afin d’échapper à la mort, comme par exemple La peur au ventre (Running scared) où il est poursuivi par la Mafia. Dans Antartica, film d’aventure tiré d’une histoire vraie, que j’avais bien aimé, il est victime d’un accident de…traîneau. S’il est secouru, il retourne néanmoins sur place, sur la glace déserte et hostile, pour sauver ses chiens.
Paul Walker était en plein tournage de Fast and Furious 7 (je ne savais même pas qu’il y en avait eu autant). Le film devait sortir en juillet. Avec cette triste mort brutale, la fin de l’histoire devra être modifiée…
J’admets n’avoir vu aucun des Fast and furious (pas mon genre de films) mais j’avais apprécié le beau blond dans Mémoires de nos pères de Clint Eastwood, et le sensible Antartica. Une longue carrière attendait Paul Walker, fauché en pleine gloire, si jeune, quel dommage.
19:59 Publié dans La rubrique nécrologique | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : mort de paul walker, antartica, mémoires de nos pères | | Facebook
28/11/2013
On connaît la culture de Miss France 2014
Comme l’année dernière, passons le test de culture générale des Miss France. Pour le concours 2013, la gagnante Marine Lorphelin avait remporté un 17. Cette fois-ci, Miss Alsace la supplante avec un beau 18/20. (Précisons que le questionnaire comporte 40 questions). La moyenne des miss tourne autour de 12, et 15 filles sur 33 ont obtenu moins de ce score. Plus de 16 fautes donc, assez inquiétant vu la simplicité des questions… J’aime particulièrement "Comment s'appelle le fils de Kate et William ?" classé en rubrique… politique. Toutefois je n’atteins pas le résultat de la gagnante, car mémé est incapable de répondre aux questions concernant les miss, ou certaines sur la mode. Mais c’est plus important de connaître les cinq continents, la différence entre un CDD et un CDI ou le nom du ministre de l’intérieur…
A vous de jouer !
1) Histoire-Géographie
1 - Que célèbre t-on le 11 novembre ?
2- Citez les 5 continents.
3 - A qui doit-on le code civil ?
4 - Quel pays vient d'être frappé par le typhon Haiyan ?
2) Economie et actualité
5 - Quel réseau social vient d'entrer en bourse ?
6 - Quelle est la différence entre un CDD et un CDI ?
7 - En France, le vote est-il obligatoire ou conseillé ?
8 - Qu'est ce que le RSA ?
9 - Comment appelle-t-on familièrement le travail non déclaré ?
3) Politique
10 - Qui est l'actuel ministre de l'Intérieur ?
11 - Quand auront lieu les prochaines municipales (mois/année) ?
12 - Comment s'appelle le fils de Kate et William ?
13 - De quel parti est issu l'actuel Président de la République ?
4) Cinéma et télévision
14 - Quel film a remporté la dernière Palme d'Or à Cannes ?
15 - Qui présente le Grand Journal de Canal + ?
16 - Citez les deux acteurs principaux du film Gravity.
17 - Sur quelle chaîne est diffusée l'émission "Touche pas à mon Poste" ?
5) Littérature
18 - Quel livre a remporté le Goncourt en 2013 ?
19 - Quel est le titre de la trilogie sulfureuse écrite par E.L. James ?
20 - Qu'est ce qu'un alexandrin ?
6) Musique
21 - Citez les deux villes où se tiennent les festivals : les Eurockéennes, les Francopholies ?
22 - En quelle année est morte Amy Winehouse ?
23 - Avec qui Rihanna signe t-elle son duo "Monster" ?
24 - Qui signe 8 titres de l'album "Love Songs" de Vanessa Paradis ?
7) Logique et mathématiques
25 - Complétez la suite de chiffres : 1 2 4…
26 - Vous partez à New York par le vol de 10h, heure française. Avec un temps de vol de cinq heures, à quelle heure atterrirez-vous à New York en heure locale, sachant qu'il y a un décalage horaire de - 6h ?
27 - Combien font 2% de 120 ?
28 - A combien environ équivaut le nombre PI ?
8) Sport
29 - A quel pays appartient le fond d'investissement ayant récemment racheté le PSG ?
30 - Quel pays accueille la prochaine coupe du monde de football ?
31 - Citez le nom d'un joueur français évoluant en NBA.
32 - Qui est Novak Djokovic ?
9) Mode et luxe
33 - Qui est Carine Roitfeld ?
34 - Citez le célèbre couturier de la Maison Chanel.
35 - Qu'est ce qu'un "Angel" chez Victoria's secret ?
36 - Qu'est ce qu'une paire de stilettos ?
10) Miss
37 - De quelle nationalité est Miss Univers 2013 ?
38 - Citez une ancienne Miss ayant participé à "Danse avec les Stars"
39 - De quelle région est originaire Mareva Galanter ?
40 - Quelle écharpe Marine Lorphelin a-t-elle remporté lors de la finale de Miss Monde 2013?
Alors, êtes-vous assez culturés pour être Miss France ? Résultat bientôt.
16:48 Publié dans Je suis culturée | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : miss france 2014, test de culture générale | | Facebook
25/11/2013
La rubrique nécrologique de la semaine : Georges Lautner
Vendredi, je décide de ne pas allumer l’ordi. Comme un jour de repos loin de l’écran. Je rate donc l’annonce sur Twitter, qui sait toujours tout en premier. Ce qui me permet en général de téléphoner à mon frère pour lui faire deviner le dernier décès de célébrité, comme je l’ai déjà raconté ici pour Claude Miller. Une sorte de jeu qui pourrait paraître d’humour noir, mais qui est en fait un hommage pudique. Au lieu de s’exclamer de but en blanc avec tristesse : « Georges Lautner est mort » on annonce d’abord « T’as vu qui est mort ? » L’autre se prépare à recevoir une mauvaise nouvelle. Puis on amène l’information avec douceur, en citant les œuvres les plus connues et appréciées de la personne décédée.
Mais cette fois-ci, j’apprends le décès brusquement. Samedi, tout en mangeant mon riz cantonnais, je regarde d’un œil distrait le journal de Victor Robert sur Canal+, à midi 45. Et là, en toute fin, il annonce, comme si ce n’était rien « Il était l’un des grands réalisateurs…
Ma fourchette pleine de riz suspend sa trajectoire (et vous heures propices, suspendez votre cours) : - Oh non ! Qui ?
Et là je vois des images des Tontons flingueurs. Je n’entends même plus le commentaire du journaliste, mon couvert retombe dans l’assiette, déversant des petits pois partout.
Faut reconnaître, c’est du brutal.
Devant partir soudainement, je n’ai ni le temps d’écrire ma rubrique nécrologique, ni de téléphoner à mon frère. J’envoie simplement un texto avec la phrase rituelle « T’as vu qui est mort ? » et je reçois en réponse un laconique « oui. » Inutile d’en dire plus. Aucune citation d’Audiard ne peut décrire notre sentiment. « On naît, on vit, on trépasse… C’est comme ça pour tout le monde. »
Mort d’un pourri ? Non. Comme Lautner ne peut « faire son panégyrique lui-même », je le fais à sa place. C’est parfois assez édifiant et souvent assez drôle, car il m'arrive de m'attribuer des mots qui sont en général d'Alphonse Allais et des aventures puisées dans La Vie des Hommes illustres.
Georges Lautner est décédé vendredi 22 novembre, à l’âge de 87 ans, des suites « d’une longue maladie » (en général, on nomme ainsi le cancer, comme s’il était honteux). Il était le fils d’une comédienne (qui apparaîtra dans plusieurs de ses films) et d’un aviateur. Son père meurt dans un accident lors d’un meeting aérien, en 1938, alors que Georges n’a que 12 ans : « Là, j'ai commencé à comprendre que la vie, ce n'était pas ce qu'on lisait dans les bouquins d'enfant. C'était vraiment le premier choc dégueulasse, la première épreuve qui m'a toujours marquée…»
Pourtant, comme beaucoup, Lautner se remet de ses blessures grâce à l’humour et l’art : le cinéma, en particulier les comédies policières populaires. Trop timide pour être acteur, il réalise son premier film en 1958, La môme aux boutons. Son plus grand succès, Les tontons flingueurs, sort en salles cinq ans plus tard.
Devenu culte au fil des années, il est vivement critiqué par la presse spécialisée lors de sa sortie : « Je n'ai jamais compris pourquoi ce film avait marché. La critique était contre nous. C'est sorti, à l'époque, dans quatre salles à Paris. Ça n'a pas été un triomphe ».
En effet, Les tontons flingueurs est réalisé en pleine période de la nouvelle vague. La comédie populaire franchouillarde, les gangsters miteux ne sont pas au goût de la presse intellectuelle élitiste. Lautner le réalisateur et son fidèle acolyte Audiard le dialoguiste souffrent beaucoup du manque de reconnaissance de leurs pairs. Mais « la bave du crapaud n’empêche pas la caravane de passer ». Et « l'idéal quand on veut être admiré, c'est d'être mort. »
D'accord, d'accord, je dis pas qu'à la fin de sa vie Jo Le Trembleur il avait pas un peu baissé. Mais n'empêche que pendant les années terribles, sous l'occup', il butait à tout va. Les tontons
Flingueurs quoi ! Aujourd’hui, 50 ans après la sortie de ce film culte, seuls Venantino Venantini (83 ans) et Claude Rich (84 ans) sont encore vivants… (le chat noir va encore porter la poisse…)
Malgré le rejet des critiques de cinéma, le public plébiscite les films de Lautner, mettant en scène les acteurs les plus illustres : Lino Ventura, Bernard Blier, Francis Blanche (Les tontons flingueurs) Gabin (Le pacha), Delon (Mort d’un pourri), Belmondo (Flic ou voyou), Jean Yanne (Laisse aller, c’est une valse), et comme actrice, le plus souvent Mireille Darc.
Les films de Lautner restent célèbres pour les personnages, aussi pittoresques du premier au dernier rôle, mais surtout grâce aux dialogues de Michel Audiard, dont chacun en connaît au moins une paire… Certaines bandes originales deviennent aussi célèbres, comme Chi mai d’Ennio Morricone dans Le professionnel. (Je l'avais sur une cassette et je prononçais le titre comme il s'écrit en français.) Je me souviens toujours de cette dernière scène, où Belmondo se dirige vers l’hélicoptère… Malheureusement je me rappelle aussi du chien qui court dans la pub qui reprend la chanson... Lautner fait appel aux plus grands compositeurs de musique de films, comme Philippe Sarde (Les choses de la vie, Le locataire) pour La valise par exemple. Même si les films du cinéaste ne font pas dans la dentelle, ils ont jalonné mon enfance, lorsque je regardais les films populaires de Ciné dimanche et son générique plein de promesses de cinéma…
Parmi mes préférés, je citerai le moins connu Il était une fois un flic, avec Mireille Darc et Michel Constantin, mais l'acteur le plus drôle est le gamin ! Les dialogues sont cette fois-ci de Francis Veber. J'aime beaucoup aussi La valise, avec mon chouchou la plus belle voix du monde Jean-Pierre Marielle. Sur la fin de sa carrière, Lautner a délaissé les comédies, avec par exemple en 1988 La maison assassinée avec Patriiick Bruel, qui avait beaucoup marqué l’enfant que j’étais. Son dernier film date de 1992, L’inconnu dans la maison, une adaptation de Simenon, avec Bébel dans le rôle titre.
La télévision rend hommage à George Lautner, en diffusant ce soir, Ne nous fâchons pas, puis Le guignolo sur HD1, et Laisse aller c’est une valse sur Paris première.
Georges Lautner sera enterré dans sa ville natale, Nice.
Oh, dans le fond, y'a pas de quoi pleurer ! Il revient tout simplement à Saint-Denis, Albert. Il revient après un grand tour inutile, c'est tout. Il va enfin pouvoir se reposer de toutes ses singeries, de toutes ses fatigues, chez lui, là, tout près de la Seine. Autrefois, avant que le béton vienne manger l'herbe, c'est là qu'on regardait passer les bateaux, tous les deux. On jouait à faire semblant de croire qu'elles allaient à Shanghai, les péniches, ou qu'elles passaient sous le pont de San Francisco. Et lui, Albert, il a dû continuer longtemps à faire semblant d’y croire. À croire des trucs, des machins. C'est peut-être bien à cause de ça qu'il est mort…
Et vous, quel est votre film de Lautner préféré, votre citation d’Audiard favorite ?
Quiz On connaît le film, avec des citations d'Audiard à retrouver dans le texte...
Une filmographie sélective de George Lautner, réalisateur de 42 films :
1961 : Le Septième Juré
1963 : Les Tontons flingueurs
1964 : Les Barbouzes
1966 : Ne nous fâchons pas
1968 : Le pacha
1970 : Laisse aller... c'est une valse
1971 : Il était une fois un flic
1972 : Quelques messieurs trop tranquilles
1973 : La valise
1974 : Les Seins de glace
1977 : Mort d’un pourri
1979 : Flic ou Voyou
1980 : Le Guignolo
1981 : Le Professionnel
1984 : Joyeuses Pâques
1985 : La Cage aux folles 3
1986 : La vie dissolue de Gérard Floque
1988 : La Maison assassinée
1992 : L'inconnu dans la maison
18:40 Publié dans La rubrique nécrologique, On connaît la chanson, On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : mort georges lautner, cinéma, télé, michel audiard, les tontons flingueurs, il était une fois un flic | | Facebook