24/12/2013
Eternels 25 ans
Je recycle et commente un article du 24 décembre 2009, en observant le chemin parcouru (3 mètres à cloche pied)... :
Aujourd’hui, c’est mon anniversaire. J’ai 25 ans… depuis plusieurs années.
On m’a dit : « fais gaffe, hein, quand tu emploies le terme "vieux" ou "mémé" sur ton blog, c’est pas cool… »
Je vous rassure tout de suite, il ne faut pas se sentir visé. Un vieux ne désigne pas pour moi une personne de 80 ans. Non. Juste quelqu’un qui a six mois de plus que moi. Inversement, un « gamin » a 6 mois de moins. Ma définition de « vieux » ou de « jeune » change donc continuellement.
Observations 4 ans après : j'ai élargi mes critères : les "vieux" et les "gamins" ont désormais deux ans de différence avec moi.
Je me souviens très bien de la réflexion désespérée qui m’a traversé le jour de mes 17 ans : « ça y est, c’est la limite. Rimbaud disait : "on est pas sérieux quand on a 17 ans " L’année prochaine, c’est foutu, la majorité, le bac, le droit de vote, le permis… je suis censée être adulte. »
J’ai donc décidé entre autres de ne jamais passer le permis pour rester une gamine.
A 20 ans, même déprime : « ça y est, c’est la limite. J’entame une nouvelle décennie, c’est foutu. »
21 ans : « ça y est, c’est la limite. J’ai le droit de boire en Amérique. »
25 ans a été la limite absolue. J’ai arrêté de compter.
4 ans après : J'ai avancé ma limite à 27. A 27 ans, on pouvait encore finir ses études si on avait changé 36 fois d'orientation, on pouvait ne pas encore avoir trouvé de vrai boulot à cause de la crise, on pouvait encore être un jeune. 28, là, on était plus censé avoir un vrai travail à responsabilité, comme un grand. Certains même pensent à fonder une famille, acheter une maison... Je pensais avec horreur aux deux prochaines années... Puis j'ai accepté 28, 29... Mais le nombre horrible, non. Jamais. Et là, 4 ans après l'écriture de ce billet, j'ai passé la barre fatidique... Vous savez là, le truc au-dessus, la déce.. décennie... la tren, la trente... Non je ne peux pas prononcer ce mot affreux.
De toute façon, quand je donne mon vrai âge, personne ne me croit. Je suis conciliante, je ne vais pas les contredire. Au fil des années, je suis obligée de mentir pour ne pas passer pour une attardée. Je parviens même à me tromper moi-même. Je sais que j’ai plus, mais je n’arrive pas à imaginer au-delà de 26. 4 ans après, j'ai enfin accepté mes... 27 ans.
La semaine dernière, je vais chez le médecin (pour changer). Il me pose les questions habituelles pour remplir le dossier : « adresse, téléphone, âge… » Je réponds « 26 » comme d’habitude. A la fin de la consultation, le docteur me demande ma carte vitale et l’observe :
Docteur : « MAIS ! Vous n’avez pas 26 ans !
Moi (sincère) - Ah bon ? Ah oui, c’est vrai ! »
4 ans après, quand on me demande mon âge, je marque un temps d'arrêt car je suis obligée de... calculer. La dernière fois, à la mi-décembre, on m'a quand même donné "la vingtaine". Moi qui ai pourtant pris un gros coup de vieux, mais seuls ceux qui me connaissaient avant peuvent le voir et me le souligner si délicatement "Nan, mais tu pouvais pas non plus faire gamine toute ta vie... Puis c'est les soucis comme ci puis ce puis ça" etc. 20 années d'insomnies commencent à se voir. Et comme le dit Florence Foresti : "à 20 ans tu es fraîche comme la rosée du matin. A 35, tu es fraîche comme la bouteille de rosée de la veille".
Ce qui compte, ce n’est pas l’âge réel, mais l’âge mental. Et j’ai 10 ans, je sais que c’est pas vrai mais j’ai 10 ans, si tu me crois pas tartagueule à la récré.
On dit aussi qu’on a l’âge de ses artères. Dans ce cas je suis mal barrée, nourrie à la cuisine au beurre toute mon enfance, et vas-y que je te rajoute 3 louches de gras pour donner plus de goût. C’est peut-être pour ça aussi que j’ai toujours aimé les légumes : je ne mangeais pas des épinards avec un peu de crème fraîche, mais de la crème aux épinards…
J’ai trouvé la solution miracle pour ne pas vieillir (subitement le nombre de connexion au blog quadruple). Il ne faut pas travailler et ne pas avoir d’enfants. Pour le premier point, c’est râpé, ce qui explique mes 5 ans dans la gueule. Se lever tôt, dormir moins, ça creuse les traits et les cernes. (4 ans après : j'y remédie en restant au chômage). Le pire, ce sont les gosses. Avec mes neveux mon frère a vu ses premiers cheveux blancs. Avant d’être père il était obligé de sortir sa carte d’identité pour prouver son âge… Il fait toujours 5 ans de moins, mais il déprime toujours à son anniversaire.
Moi, je suis toujours contente de fêter le mien. Je ne vous empêche donc pas de m’offrir plein de cadeaux aujourd’hui, pour l’éternel retour de mes 25 ans.
27.
Pas plus.
07:39 Publié dans J'ai bobo là, Si si, je suis une fille | Lien permanent | Commentaires (7) | | Facebook
21/12/2013
Philomena de Stephen Frears : places de ciné à gagner
Irlande, 1952. Philomena Lee, encore adolescente, tombe enceinte. Rejetée par sa famille, elle est envoyée au couvent de Roscrea. En compensation des soins prodigués par les religieuses avant et pendant la naissance, elle travaille à la blanchisserie, et n’est autorisée à voir son fils, Anthony, qu’une heure par jour. À l’âge de trois ans, il lui est arraché pour être adopté par des Américains. Pendant des années, Philomena essaiera de le retrouver.
Quand, cinquante ans plus tard, elle rencontre Martin Sixmith, journaliste désabusé, elle lui raconte son histoire, et ce dernier la persuade de l’accompagner aux Etats-Unis à la recherche d’Anthony.
Ce film est un gros coup de cœur, le meilleur que j'ai vu parmi ceux qui sortiront en début d’année (le 8 janvier). Déjà, il est tiré d’une histoire vraie, le genre que je préfère, car comme je le pense toujours : la réalité dépasse la fiction. Et là, on est servi.
Ensuite, vu le sujet, Philomena pourrait être larmoyant, mais pas du tout. Ce qui frappe avant tout, c’est que le film reste pudique, subtil et drôle. Typiquement anglais quoi. Philomena fait confiance à l’intelligence du spectateur et ne souligne pas tous les effets. Pas de violons ni gros plans sur des visages pleins de larmes, ce film anglais reste dans la sobriété et l’intelligence. Il mêle habilement le tragique et le comique, on traverse tout naturellement la palette des émotions. On est constamment sous le charme, transporté.
Ce road movie explore le choc des cultures entre deux personnages, aux caractères, éducations et milieux sociaux opposés. Le thème pourrait rappeler l’excellent et éprouvant Magdalene Sisters de Peter Mullan, le journaliste fait d’ailleurs une allusion humoristique sur ce film. Pourtant, d’un sujet particulier, le scénariste en tire une histoire universelle, qui touche chacun d’entre nous.
En plus, j’adore apprendre de nouvelles choses, et dénoncer les injustices telle une passionaria. Philomena m’a permis de découvrir des faits de société que j’ai envie de révéler au monde entier ! Mais comme je ne peux pas raconter tout le film, je vous incite grandement à aller le voir pour découvrir par vous même. Voici déjà la bande annonce.
L’acteur et co-scénariste Steve Coogan joue traditionnellement des rôles comiques (les cultes Tonnerre sous les tropiques, Very bad cops). Il apporte un souffle de légèreté et de drôlerie à cette histoire dramatique. Il est irrésistible avec son œil qui frise et son air malicieux. Quant à « dame» Judi Dench, on a l’habitude de la voir dans des rôles prestigieux (M dans James Bond, Lady Catherine de Bourg dans Orgueil et préjugés). Cette femme d’apparence glaciale et autoritaire est étonnante dans ce rôle à contre emploi, où elle joue une petite vieille simple et modeste, sympathique et émouvante, mais avec un sacré tempérament... Un rôle magnifique pour un personnage entier.
Le réalisateur de The Queen, Stephen Frears, revient donc ici à son meilleur (après un calamiteux Lady Vegas). On retrouve l’humour et l’intelligence de High fidelity, l’émotion de My beautiful Laundrette, l’aspect social de Dirty pretty things…
Philomena sort en salles le 8 janvier. Je vous propose de gagner des places pour ce film. Pour cela, il vous suffit de m’envoyer un mail en cliquant sur « me contacter » en haut de la colonne de gauche, entre mon avatar et l’affiche de Philoména. Les cinq gagnants seront tirés au sort. Les billets sont valables dans tous les cinémas de France, à toutes les séances, le jeu se limite à la France métropolitaine. Vous avez jusqu’au 8 janvier pour participer. Vous pouvez toujours par ailleurs laisser un commentaire sous cet article, ça fait toujours plaisir.
Pour en apprendre plus sur Philomena, vous pouvez également regarder la page facebook du film en lien ici.
A vous de jouer, bonne chance !
8 janvier : le concours est fini ! Les gagnants ont été prévenus par mail. Il s'agit d'Elise, Lola42, Didier, Mélanie H. et Laurence. Merci à tous pour vos participations !
16:25 Publié dans On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : cinéma, philoména, places de cinéma à gagner, stephen frears, steve coogan | | Facebook
17/12/2013
Mandela, un long chemin vers la liberté
Je n'écris pas de synopsis de ce biopic, vous n’aurez qu’à le voir… en attendant, regardez la bande annonce. Mandela est un film essentiel pour mieux connaître cet homme qui vient juste de décéder. Non, les jeunes qui ont mis des photos sur Twitter : Morgan Freeman n’est pas mort, il est l’acteur qui a incarné Nelson Mandela dans le film Invictus de Clint Eastwood. Non, « I have I dream », n’est pas de Mandela, mais de Martin Luther King.
Enfin, on se moque, on se moque, mais j’étais bien contente d’en apprendre plus sur le personnage, car je ne connaissais que les bases : premier avocat noir de Johannesburg, militant au sein de L’ANC, Congrès National Africain, lutte contre l’apartheid, enfermé pendant 27 ans suite à des attentats, puis pacifisme alors que sa femme Winnie prône la lutte armée, premier président noir à être élu en Afrique du Sud… (je ne spoile pas trop quand même, vous le saviez ?)
La sortie du film était sans doute calculée (« les gars, il est malade et en fin de vie depuis des mois, avec un peu de chance il va crever pour la sortie du film, ça nous fera de la pub, diffusons-le en décembre »). Je ne blâme pas ce calcul, au contraire : Les jeunes (qui ont mis les photos sur twitter) auront peut-être vu le reportage au JT de TF1 la chaîne de la culture (« C’est qui lui ? Ah oui l’acteur d’invictus !) Comme toutes les télés ont parlé du décès de Mandela, l’info leur donnera peut-être envie de découvrir cet homme politique. Et quoi de mieux qu’un film grand public pour toucher le plus grand nombre ? (Je conclus qu’un livre ou un documentaire ne plaira pas aux jeunes, puisque je suis la seule à live-tweeter les documentaires d’Arte pendant que les autres réagissent sur la téléréalité).
Le film débute sur des ralentis et une musique grandiloquente, un enfant qui court dans la nature vers le soleil levant, une voix off... Aïe, j’ai peur. Mais dès la deuxième scène, il quitte ce lourd travers et le rythme s’accélère. On entre dans le vif du sujet, Mandela est déjà un avocat en pleine bataille. Surtout, le film ne verse pas dans l’hagiographie : on ne cache pas que Mandela trompait sa femme (au moins trois gonzesses en 10 minutes de film, bravo c’est du joli). J’ai particulièrement aimé le plan où il est à table avec ses camarades hommes de lutte. Il peste contre l’apartheid, l’inégalité infâme entre les Noirs et Les Blancs, mais ordonne à son épouse sans lui adresser un regard d’apporter à manger aux hommes. L’égalité, c’est bien, mais avec la femme, qui ne représente que 50 % de l’humanité et je déclare avec Aragon, est l’avenir de l’homme, faut pas pousser non plus.
L’épouse délaissée se barre très vite avec les gamins sous le bras. Elle est remplacée par une forte tête qui entend bien obtenir l’égalité avec les Blancs, mais aussi avec son mari, non mais. Winnie, pas franchement un ourson, torturée en prison, opte pour la lutte armée, son mari, après 27 ans derrière les barreaux, pardonne et se range vers le pacifisme.
Le discours solennel de Mandela à son procès m'a fait dresser mes poils de chat. La partie en prison me semble la plus intéressante, intense et émouvante. Le film pourrait basculer dans le misérabilisme et l’apitoiement, mais reste pudique et fort, à l’image de son charismatique héros. Impossible de ne pas être touché lorsque Mandela découvre enfin sa fille après interdiction de la voir avant ses 16 ans. Le générique de fin, sur la chanson de U2 Ordinary love, est superbe également.
Après un déroulement relativement sobre et nerveux, le film se clos sur le même travers que la scène initiale : Mandela en contre plongée qui s’avance au ralenti vers le balcon où la foule l’acclame, c’est un peu too much… Le film est un peu trop long, 2h30, pourtant il avait des choses à dire puisque la vie de Mandela est passionnante. Ces longueurs sont sans doute dues au manque d’explication.
Le film passe sous silence certains faits pour les plus pointilleux (au hasard, moi). Il est adapté de l’autobiographie de Nelson Mandela, et croyez-en ma longue expérience de lectrice de biographies, une autobiographie, même de Mandela, ne sera jamais aussi honnête et objective qu’une biographie écrite par un journaliste people et envieux. J’ai le souvenir de l’autobiographie en 950 pages de Chaplin lu à 15 ans, (qu’un futur réalisateur m’a empruntée pour tourner un film muet sans jamais me la rendre, voleur, jsuis sûre que je peux choper ton adresse par le festival de Clermont, je vais te retrouver saligaud) ben croyez-moi, la vie selon Chaplin lui-même n’est pas aussi idyllique (et marrante) que selon Kenneth Anger et son Hollywood babylone. Chaplin, vilain pédophile.
La chronologie dans Mandela n’est pas toujours très claire, et j’ai eu besoin d’étudier des essais à la bibliothèque de lire Wikipédia pour mieux comprendre. On ne saisit pas trop comment Winnie passe d’un taudis à une maison luxueuse, ni ce que devient l’un des gosses de Mandela, qui apparaît au début mais dont on entend plus parler ensuite… (après vérification à la bibliothèque, il est mort du sida) En voyant le film on a l’impression que Mandela a élevé trois enfants, et après recherche, on s’aperçoit qu’il en a eu six… Pourtant la vie privée des grands hommes intéresse beaucoup les pipelettes permet d’humaniser et de s’identifier à leur combat, dommage que ce versant n’ait pas été plus approfondi. Donc si vous voulez écrire une thèse sur Mandela, lisez plutôt une biographie. Sinon, pour la grande majorité d’entre nous, le film sera suffisant.
Le film est signé Justin Chadwick, déjà auteur de Deux sœurs pour un roi, où Natalie Portman et Scarlett Johansson incarnent les filles Boleyn se partageant le roi Henri VIII. Le film est plaisant et romanesque, mais pour la vérité historique, j’ai des doutes…Ainsi on ne peut pas attendre vraiment une grande précision historique de la part du réalisateur.
Le charismatique Idris Elba, Luther le justicier, est l’acteur parfait pour le rôle du leader politique.
Je cherche la petite bête, mais Mandela, un long chemin vers la liberté est un film que je vous conseille vraiment, instructif et émouvant. Ne le ratez pas.
Je rappelle que vous pouvez toujours gagner des places de cinéma pour Belle et Sébastien ici.
17:07 Publié dans On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : cinéma, mandela, mandela film, idris elba | | Facebook
13/12/2013
Belle et Sébastien : 10 places de ciné à gagner !
Belle, tu es si belle
Qu'en te voyant, je t'ai aimée
Belle, que j'aime tant
Depuis longtemps, je t'attendais…
Au début j’ai pensé : « bah, Belle et Sébastien, c’est pour les gamins ». Mais ça, c’était avant. Pourtant, que la montagne est belle, comment peut-on s’imaginer… La protection des innocents, de la nature, des animaux, les paysages grandioses et magnifiques, et Belle, tu es si belle… Je n’aurais jamais cru, vraiment, mais j’ai chougné comme une madeleine en réécoutant la chanson de mon enfance. De notre enfance ! On connaît le dessin animé des années 80. On connaît la version de 1965 de Cécile Aubry, avec son fils le trognon Mehdi dans le rôle titre (Sébastien, pas le chien). L’acteur joue d’ailleurs dans ce nouveau film de Nicolas Vanier (Le dernier trappeur, Loup). Je vous laisse découvrir en lien la bande annonce, ainsi que le synopsis :
Ça se passe là-haut, dans les Alpes. Ça se passe là où la neige est immaculée, là où les chamois coursent les marmottes, là où les sommets tutoient les nuages. Ça se passe dans un village paisible jusqu'à l'arrivée des Allemands. C'est la rencontre d'un enfant solitaire et d'un chien sauvage. C'est l'histoire de Sébastien qui apprivoise Belle. C'est l'aventure d'une amitié indéfectible. C'est le récit extraordinaire d'un enfant débrouillard et attendrissant au cœur de la Seconde Guerre Mondiale. C'est l'odyssée d'un petit garçon à la recherche de sa mère, d'un vieil homme a la recherche de son passé, d'un résistant a la recherche de l'amour, d'une jeune femme en quête d'aventures, d'un lieutenant allemand a la recherche du pardon. C'est la vie de Belle et Sébastien.
On connaît tous Belle et Sébastien. Je pensais l’avoir oubliée, mais vous ne le répéterez pas, j’ai un peu honte, ma gorge s’est serrée en redécouvrant Belle et son histoire… Pourtant je suis un chat, quel comble. Je crois que même le plus dur des durs fond comme la neige sur les Alpes en se rappelant son enfance… Et les animaux sont toujours attendrissants : je peux voir sans fléchir des films d’horreur ou violents, les soldats mourir dans Danse avec les loups, mais je suis toute émotionnée quand on menace le loup Chaussette !
Je vous propose donc d’être émus à votre tour, ou de passer le relais à vos enfants, en leur faisant découvrir Belle et Sébastien version 2013. Pour cela Gaumont vous fait gagner 10 places, 5 invitations pour 2 personnes. Il suffit juste de déposer un commentaire sous cet article en écrivant que vous participez au jeu. Si vous pouvez, partagez le lien sur Facebook et Twitter. Cliquez éventuellement en dessous sur le bouton rose Hellocoton « j’aime » (qu’on me fasse gagner des places de cinéma).
A vous de jouer, vous avez jusqu’à mercredi 18 décembre minuit pour tenter votre chance, et les résultats seront publiés jeudi à midi. Les gagnants seront tirés au sort. Les billets sont valables dans tous les cinémas de France, à toutes les séances. Le film sort en salles la semaine prochaine. Un beau cadeau de noël.
Oui, c'est encore mieux qu'un souvenir d'enfant
C'est un coin de bleu dans l'univers des grands
Oui, ça va plus loin que le bonheur du jour
Belle et Sébastien c'est une histoire d'amour !
(Dites donc, mais que veulent dire ces paroles ? Déjà Denver, c’est mon ami et bien plus encore…)
Résultats du tirage au sort de jeudi. Les gagnants sont :
Audrey
Titine
LMO
Amélie
Anacoluthe.
N'hésitez pas à retenter votre chance pour le film de Stephen Frears, Philomena, billets à gagner à partir de ce weekend !
18:34 Publié dans On connaît la chanson, On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (45) | Tags : belle et sébastien, cinéma français, concours places de cinéma à gagner | | Facebook