28/03/2017
Le quiz On connaît la chanson de Renaud le rebelle : les résultats
Les chansons-réponses sont en lien rose en vidéo :
1) Un côté blanc, un côté noir
Personne n’est tout moche ou tout beau
Moitié ange et moitié salaud
Et c’est ce que nous allons voir
Docteur Renaud, Mister Renard
2) Col en léopard, homologué chez SPA,
Monoï et Shalimar, futal en skaï comme Travolta
Qu'est-ce qu'elle vient nous frimer la tête ?
Non mais elle se croit au palace !
J’peux pas saquer les starlettes ni les blondasses
Réponse : Marche à l'ombre
3) Car aucune femme sur la planète
Ne sera jamais plus con que son frère
Ni plus fière, ni plus malhonnête
A part peut-être...
Miss Maggie
4) J'espère au moins que là-haut
Y'a beaucoup moins de salauds
Tu nous laisses avec les chiens
Avec les méchants, les crétins
Réponse : Putain de camion (en hommage à Coluche)
5) Je ferai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien me lâcher la grappe
Réponse : Dès que le vent soufflera
6) Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant
Pulvérisés sur l’autel
De la violence éternelle
Réponse : Manhattan Kaboul
7) A chaque fois qu'il culbute une collègue de bureau
Ou qu'il va se faire une pute, ce ringard, ce blaireau
Il dit que c'est pas tromper, que c'est juste pour l'hygiène
Mais que si sa femme l'imitait, il l'assommerait à coups de beignes
Le jour où les cons seront cuisiniers, c'est lui qui préparera les sauces
Mon beauf
8) Il se recrée l'Indochine
Dans sa petite vie de peigne cul
Sa femme sort pas de la cuisine
Sinon il cogne dessus
Réponse : Dans mon HLM
9) Je sais, ton père est patron
Faut pas en faire un complexe
Le jour de la révolution
On lui coupera que la tête
Réponse : Camarade bourgeois
10) Ils font la fête au mois de juillet,
en souvenir d'une révolution
qui n'a jamais éliminé
la misère et l'exploitation
Ils s'abreuvent de bals populaires,
de feux d'artifice et de flonflons,
ils pensent oublier dans la bière
qu'ils sont gouvernés comme des pions
Réponse : Hexagone
11) Ma plume est un peu assassine
Pour ces gens que je n’aime pas trop
Par certains côtés j’imagine
Que je fais aussi partie du lot
Réponse : Les bobos
12) Après moi qui viendra ?
Après moi c'est pas fini
On les a récupérés
Oui, mais moi on m'aura pas
Je tirerai le premier
Et je viserai au bon endroit
J'ai chanté dix fois, cent fois
J'ai hurlé pendant des mois
J'ai crié sur tous les toits
ce que je pensais de toi
Société, tu m'auras pas
13) Mais je ne vous ai jamais oublié
Et pour ceux à qui j'ai manqué
Vous les fidèles, je reviens vous dire merci
Vous m'avez manqué vous aussi
Trop content de vous retrouver
Je veux continuer nom de nom
Continuer à écrire et à chanter
Chanter pour tous les sauvageons
Réponse : Toujours debout
Vous pouvez relire ici mon billet sur la tournée de Renaud et sa chanson Toujours debout
Bravo à Agoaye et Akem Syl qui ont trouvé toutes les réponses !
Prochain quiz bientôt !
19:39 Publié dans A vous de jouer ! Les quiz, On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : renaud, chanson française, quiz chanson | | Facebook
24/03/2017
Les films vus en 2016, fin : les rencontres avec les acteurs
- La tour 2 contrôle infernale de Eric Judor
J’admets que je me souviens mieux de la rencontre avec Eric et Ramzy que du film en lui-même. Les deux comiques ont fait leur show, en enchaînant les vannes, en se taquinant : « va regarder le site « pas de répartie.com ! » qui est devenu une de mes répliques depuis. Toujours rebelles, ils bondissaient dans la salle, s’asseyaient à côté de nous et interpellaient les spectateurs qui voulaient rester discrets… Ils se sont pliés de bon cœur à une séance photo. J'ai de super clichés des acteurs qui m'entourent les épaules. Eric faisant des grimaces et me vannant : « alors t’es libre ce soir ? », Ramzy qui me caresse le dos de haut en bas « mmh mais oui » et moi toute rouge entre eux « mais qu’est-ce qu’ils font ? » Des deux compères, je regardais lorsque j'étais ado la série H, et plus récemment, j'ai adoré Platane de Eric, surtout la première saison.
- Un homme à la hauteur de Laurent Tirard
Une comédie avec de bons acteurs, mais un scénario pas à la hauteur justement, qui ne tient pas sur la longueur. A la fin de la séance, Jean Dujardin et Virginie Efira sont venus échanger sur le film. On pouvait faire des photos à la sortie, mais devant un décor de ciel vide, quel intérêt ? Ce n’est que le lendemain qu’on a appris qu’en fait les acteurs se laissaient photographier avec les spectateurs, on était juste partis trop tôt…
- Arrête ton cinéma ! livre de Sylvie Testud et film de Diane Kurys
L’actrice voulait réaliser son premier film, mais s’est heurtée à deux productrices foldingues (ici représentées par les excellentes Balasko et Zabou). Le film livre une instructive et drolatique plongée dans l’envers du décor du cinéma. On regrette cependant la fin peu crédible et quelques scènes trop poussées. Décrire la réalité suffisait, car elle dépasse la fiction. Sylvie Testud et Diane Kurys (Diabolo menthe) nous ont parlé de leur expérience dans un lieu étonnant : une salle de projection dans le superbe palace Le royal monceau. La grande classe !
- Pattaya de Franck Gastambide
Deux amis un peu limités veulent partir en Thaïlande pour trouver des filles faciles. Pour payer le voyage, ils inscrivent à son insu un type de leur quartier au championnat de boxe des nains… Le premier quart d’heure qui résume la relation amoureuse puis la rupture du héros est excellent, très drôle et pertinent. Ensuite, l’humour est parfois trop absurde et surtout trop scato, dommage. Franck Gastambide est venu nous voir à la fin : le mec est bien plus subtil que son film !
- Dans les forêts de Sibérie de Safy Nebbou
Voir mes articles et mon mariage ma rencontre avec Raphaël Personnaz en lien.
- Cigarettes et chocolat chaud de Sophie Reine
Pour une fois, je n'ai pas l'air d'une alcoolo sur ma photo avec Camille Cottin lors du cocktail de présentation du film. Mais du coup je n'étais pas assez soûle pour oser aborder Gustave Kervern et lui demander à lui aussi une photo souvenir...
17:54 Publié dans On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, cinéma français, comédies françaises | | Facebook
19/03/2017
Star Wars, épisode 172
- Star wars, le réveil de la force de JJ Abrams
Ne me demandez pas le combientième c’est, quand l'histoire se déroule… Je mélange toutes les époques. J’ai cru qu’il était la suite du dernier sorti en salles (le 28 e ?) Quand ils partent à la poursuite de Luke Skywalker, j’ai cru qu’ils le cherchaient… bébé. C’est seulement après 45 minutes, quand Harrison Ford, 73 ans, apparaît tout ridé tout flapi, que j’ai pensé « mais qu’est-ce qu’il fout là ? Mais alors Luke est vieux aussi ! Mais ça se passe quand ? »
Han Solo reste mon chouchou : j’étais invitée à l’expo star wars, où on pouvait définir selon sa personnalité quel personnage nous ressemble : toutes les filles étaient princesse Leia, mais moi j’étais solitaire, battante et blagueuse comme le contrebandier. Harrison Ford a pris cher (la seule scène où il court : papi frôle la crise cardiaque). Le pire est quand même pour Carrie Fisher, devenue une baleine et... morte à noël. Quand leur fils enlève son casque et révèle sa gueule de mérou, la salle entière a éclaté de rire. Quant au scénario, il ressemble beaucoup, surtout le début trop long et prévisible, à celui de l’épisode … Euh, je ne sais plus lequel.
J’ai bossé sur une convention Star Wars et j’étais ravie de l’ambiance bon enfant, avec des pères de 45 ans qui étaient plus excités que leurs gamins et voulaient me racheter mon badge star wars comme si c’était un talisman. J’ai récupéré plein de goodies et je les ai donnés au gosse que je gardais à l’époque. Je suis sûre que j’aurais pu les revendre et m’acheter un duplex à Paris avec. Mais j’ai conservé un T shirt « convention star wars, j’y étais ! »
- Star Wars rogue one de Gareth Edwards
J'étais déjà perdue avec le précédent... J'avais enfin compris où on en était, je vais voir celui-ci, mais ce n'était pas la suite de celui que je venais de voir ! M'enfin mais arrêtez de nous embrouiller ! La salle était pleine, mais on était que 3 filles, sans doute traînée de force par leurs petits copains "si tu viens pas, je te quitte". Ôtez-moi un doute : si ce film s'appelle "one" c'est parce qu'on va encore en avoir un autre après ? Mais ils s'arrêteront jamais ? C'est bien joli, les paysages incroyables, les bébêtes étranges, les grosses machines et les sabres lasers... La magie fonctionne toujours. Mais le scénario... Toujours les mêmes ficelles, le film met plus de temps à décoller que le faucon Millenium de Han Solo. On a l'impression qu'à l'avenir, pour le Star wars 219, Disney va se dire :
"Les gars, ça fonctionne toujours autant, ils achètent toujours des places et des figurines, on engrange un max de thunes, faut continuer !
- Mais là on a plus d'idées ! Qu’est ce qu'on pourrait faire ?
- Un préquel du sequel du reboot de la suite du remake !
- Attend je comprend pas, tu parles du stars wars 17 ou du 26 ?
- Non, on pourrait reprendre 2 minutes du 8ème film, tu sais à la scène 328, Harrison Ford revient à la base. Carrie Fisher lui demande si tout s'est bien passé mon canard à la praline, et il répond qu'il a dû buter 2/3 stormtroopers pendant le trajet. Eh ben j'ai une super idée : on pourrait faire un film sur ce trajet qu'on a pas vu !
- Tu crois que le public va marcher ?"
Eh oui...
Suite des films demain
20:30 Publié dans On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, star wars | | Facebook
17/03/2017
Les films de 2016 : Carol, Ave César, Dr Strange
- Carol de Todd Haynes
Dans le New York des années 50, une jeune employée ingénue et modeste rencontre une femme mondaine plus âgée qu'elle et en instance de divorce. Elle est impressionnée par son charisme, l'autre apprécie sa fraîcheur et sa naïveté de fille qui n'a rien vécu. Contre toute attente, elles se lient d'amitié, et plus encore… Mais cela reste impensable à cette époque : quoi, une femme qui veut s'imposer, divorcer, et en plus en aimer une autre ?
Élégant est le mot qui caractérise ce film : les belles robes, les tenues guindées, les permanentes impeccables, pas un mot plus haut que l'autre… Mais c'est aussi son défaut : un peu académique, il manque de chaleur et de passion. Une histoire d'amour impossible et un mélo dans la lignée de Loin du paradis, du même réalisateur.
- Ave César ! des frères Coen
Pendant l'âge d'or de Hollywood, la journée chargée d'un employé de studio : il s'occupe d'une starlette dont il doit cacher la grossesse pour qu'elle continue à plaire à ses fans, d'un jeune premier du western qui veut s'imposer dans la comédie romantique, et de la star d'un péplum qui se fait enlever par des communistes en plein Maccarthysme !
Les frères Coen et l'envers du décor de Hollywood : tout pour me plaire. Pourtant, petite déception avec ce film trop fourre-tout, qui se contente d'être une succession de sketchs et de stars (Clooney, Scarlett Johansson...) Ave César n’atteint pas la profondeur de A serious man ou The barber, ni l’humour déjanté de Big Lebowski ou Burn after reading.
- Docteur Strange de Scott Derickson
Un brillant chirurgien mégalo ne peut plus opérer suite à un accident. Pour retrouver ses capacités, il rejoint une obscure secte au fin fond du Népal. Mais celle-ci lui apprend que son rôle n'est pas de briller dans les revues médicales et les soirées mondaines, mais de sauver le monde, en toute simplicité.
Un film qui lorgne du côté d'Inception (les immeubles qui se tordent) pseudo mystique, beaucoup trop alambiqué et trop long. Je préfère Benedict Cumberbatch en Sherlock Holmes, avec une pipe et un chapeau plutôt qu'une cape rouge, car là il est beaucoup trop strange !
Suite des films demain avec les Star Wars
17:47 Publié dans On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cinéma | | Facebook