25/05/2014
A la télé cette semaine : Kick-Ass, The descent, L'arnacœur...
A la télé ce soir sur Numéro 23, Beignets de tomates vertes. Pendant les années 30 dans un village du sud des Etats-Unis, deux femmes se rebellent contre une société et des hommes trop violents. L’une quitte son mari qui la bat, l’autre soutient la cause des Noirs. Ensemble, elles décident de prendre leur destin en main et de s’en sortir par elles-mêmes, en ouvrant un restaurant. 50 ans plus tard, une dame âgée raconte les souvenirs de ces deux amies à une femme qui leur ressemble et qui les prendra en modèle (Kathy Bates, toujours parfaite). Une histoire sensible et émouvante.
A la même heure sur HD1, Insomnia de Christopher Nolan (Batman). En Alaska, en voulant viser un meurtrier (Robin Williams), un flic insomniaque (Al Pacino) tue par erreur son coéquipier. Il fait endosser cette mort par l'assassin, mais celui-ci a été témoin et commence un chantage… Un film à l'atmosphère particulière, dont l'original, norvégien, était encore plus troublant.
Lundi sur W9, un film d’action déjanté que j’aime beaucoup, Kick-Ass. Un adolescent ordinaire, un père et sa fillette, malgré leur absence de supers pouvoirs, décident de devenir des héros justiciers. Je m’attendais à un film d’action pour gamins, un peu bête. Pas du tout.
Kick Ass est drôle, manie l’humour noir et absurde avec finesse. J’adore la scène du « Tu voudrais quoi pour ton anniversaire ? - Une Barbie et un petit poney. Mais non je rigole, un flingue ! » Le film livre un vrai scénario, avec de multiples rebondissements, une mise en scène efficace et des acteurs excellents (surtout Chloé Moretz, « the it-girl » et son « big daddy » Nicolas Cage). Le début de Kick-Ass, qui montre avec humour et justesse les affres de l’adolescence, me fait penser aux prologues des films de Spiderman, quand on voit le héros batailler avec son quotidien (ces passages réalistes sont d’ailleurs mes préférés). Même si la fin cède aux techniques de films d’actions violents, elle est tournée avec tellement de virtuosité, d’humour et de détachement que je l’ai appréciée, alors que je n’aime pas les films d’action. Une bonne surprise. (Enfin, pas tant que ça, car j'avais déjà beaucoup apprécié Stardust et Layer cake du même réalisateur).
Sur Arte, soirée comédie italienne avec Le pigeon et Divorce à l’italienne.
Si au lieu de rire vous préférez frissonner, ne ratez pas le très flippant The descent de Neil Marshall, à 22h30 sur RTL9. Surtout si vous avez des tendances claustrophobes comme moi (on ne me fera jamais plus rentrer dans une grotte !)
Mercredi sur France 4, L’arnacoeur. Le scénario est original, bien ficelé et surtout on rit de bon cœur et on ne s’ennuie pas. La fin m’a quand même déçue (attention, ne pas lire les prochaines lignes si vous n’avez pas vu le film). Aucune personne censée ne plaquerait le mec idéal, gentil, intelligent, cultivé, beau gosse, patient et compréhensif (« tu m’as trompé avec le garde du corps à la veille du mariage, je te pardonne, tu es chamboulée par l’idée de te caser, c’est normal… »). Personne ne quitterait cet homme pour un type qu’on connaît à peine, dont on ne sait strictement rien et qui en plus est super laid. FIN DU SPOILER
Je ne comprends pas pourquoi Romain Duris a été choisi pour jouer les séducteurs. Ses affreuses dents, ses petits yeux plissés quand il sourit le rendent vraiment moche je trouve (vous avez vu sa photo ?!). Même Vanessa Paradis le dit dans le film quand elle le regarde sourire niaisement : « vous avez vraiment l’air con ».
Beaucoup de femmes apprécient Duris car il a un côté artiste romantique, mais j’ai toujours pensé qu’au contraire l’acteur du Péril jeune tenait plutôt le rôle du loser à côté de la plaque… A part ça, c’est un très bon comédien, hein, mais son physique… Bref, l’attrait pour Duris est un mystère que j’aimerais éclaircir. Quant à Vanessa Paradis, elle était si belle adolescente à l'époque de Joe le taxi ... Là, avec ses joues creuses d'affamée, elle a quand même beaucoup perdu de sa superbe.
Jeudi sur NT1, The Mask. Jim Carrey, timide et rêveur, se transforme en personnage de cartoon exubérant dès qu’il porte un masque magique. J’étais ado à la sortie du film (1994) et je rêvais de pouvoir faire pareil. Depuis on peut dire que j’ai pris Jim Carrey comme modèle, puisque à la fac mon surnom était « la toon » et que son film Yes man fait partie de mes principes de vie. En plus on partage le même signe astro et le même ascendant, je dis ça, je dis rien : Jim Carrey, c’est moi. Je refais souvent la chorégraphie de Sancho le cubain, à voir ici.
A la même heure, un classique du western sur France 3 : Les sept mercenaires, remake des 7 samouraïs de Kurosawa.
Côté série, ne ratez pas la saison 2 de Real humans, encore meilleure que la première tous les jeudis sur Arte.
Pour les abonnés Canal+, je vous conseille Mud, Les fils de l’homme, Hannah Arendt, Mindscape, 40 ans mode d’emploi, Les gamins…
Et vous, appréciez-vous ces films ? Qu'avez-vous vu cette semaine ?
19:19 Publié dans A la télé cette semaine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : télé, cinéma | | Facebook
23/05/2014
Mémé a testé pour vous la grande culture : Le lac des cygnes
Le lac des cygnes, avec le ballet et l'orchestre du Bolchoï de Minsk
En avril, je décide que la culture n'appartient pas qu'à l'élite bourgeoise, et que moi aussi, je peux voir des ballets et des opéras sans que ça me coûte un bras. Il faut juste avoir de bons yeux pour voir de loin, et ne pas être trop gros pour s'asseoir sur les minuscules places du poulailler. Au théâtre de la porte saint Martin où nous avons vus (enfin, le sommet du crâne) Muriel Robin, les sièges en bois du poulailler sont encadrés de barres de fer et si petits que les types de plus de 80 kilos ne passaient pas. Celui qui a conçu ces planches fauteuils a dû penser que les pauvres sont maigres car ils n'ont pas de quoi se payer à bouffer (ils préfèrent vivre de spectacles et d'eau fraîche). Je fais 50 kilos, mon frère 10 de plus, et on était serrés comme des sardines. On a fini assis sur l'escalier, accoudés au balcon : on voyait mieux !
Pour le lac des cygnes, par chance, l'immense salle du palais des Congrès n'est pas complète, une ouvreuse nous propose donc de passer du dernier rang des gueux pour nous installer directement à la moitié de la salle ! Les enfants du paradis, des jeunes probablement étudiants fauchés ou chômeurs comme moi, rejoignent donc les vieilles trop maquillées, aux colliers de perles, boucles d'oreilles en or et parfum qui pue (ce n'est pas un cliché, dès que je suis bien placée dans une salle, ce type de vieille est là. Elle me poursuit.) J'ai envie de faire un grand sourire à ma nouvelle vieille voisine botoxée : "Salut ! je suis assise à côté de toi et pourtant j'ai payé ma place deux fois moins chère ! Niark niark !"
La culture appartient à l'élite, mais le lac des cygnes, même si mémé écoute surtout radio nostalgie, je connais les chansons principales : Daydream de Wallace Collection ! (Ce groupe des années 70 s'est inspiré du thème principal du ballet) Et on entend les mélodies de Tchaïkovski dans des films et des pubs ! Puis l'histoire, je connais aussi, j'ai vu le film Black Swan !
Évidemment, le ballet n'est pas tout à fait identique... Mémé ne comprend pas trop pourquoi on se trouve dans un château au début (c'est qui tous ces gens ? Ils sont où les cygnes ?)
Juste avant la représentation, on consulte un site qui indique une durée de spectacle de 4 heures. J'appréhende donc et essaie de m'installer confortablement sur mon siège (bien moelleux, pas comme au poulailler), dans l'intention de pioncer en douce pour que le temps passe plus vite (« tu me réveilleras quand les cygnes arriveront »). Mémé pique du nez lors du premier acte (j'y peux rien, à un moment le personnage est seul sur scène, la musique devient douce, avec de simples violons... ça endort). Le premier acte dure une heure ("c'est bien ça alors, 4 heures de spectacle, qu'est ce qu'il m'a pris de venir, quand je pense qu'il y avait Weeds sur Canal+") le second acte dure 30 minutes, et le dernier 15. Sont pas matheux. Finalement le ballet n'est long « que » de 2h30 avec les entractes.
J'ai toujours pas capté qui était qui (ils étaient au moins 60 là-dedans, avec les costumes et décors qui changent tout le temps, plus l'orchestre, je comprends que ça coûte si cher). J'ai pas trop compris ce qu'ils exprimaient en gigotant tout le temps (c'est un peu répétitif non ? Pourquoi ils ne se parlent pas tout simplement ? On comprendrait mieux ce qu'ils veulent dire. Un type m'exprime son intéret en gesticulant comme ça, désolée, je comprends pas. Et quand je m’adresse à quelqu'un je ne lève pas la patte, qu'est-ce que c'est que cette manie de faire des pointes ?)
Pourtant au final, j'ai bien aimé. J'avais même des frissons en écoutant le thème principal. Mais je vibrais plus pour le concert du nouvel an de l'opéra de Lyon, car l'orchestre n'était pas dans son trou, on l'entendait mieux. Comme quoi, même mémé peut apprécier la grande culture.
La prochaine fois, mémé vous racontera comment elle a testé l'opéra (je fais des rimes, c'est la frime).
17:16 Publié dans Je suis culturée, On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : musique, le lac des cygnes, sortir à paris | | Facebook
21/05/2014
Bilan "je suis culturée" d'avril
En mars j'ai voulu détailler directement mes sorties, mais j’en fais tellement que je n’ai même pas trouvé le temps d’évoquer les concerts et les livres lus… Alors je commence d’abord par les citations, les critiques viendront plus tard (ou jamais…) :
8 Films au cinéma :
- Libre et assoupi de Benjamin Guedj (voir mes critiques en lien rose)
- Dans la cour de Pierre Salvadori
- Tom à la ferme de Xavier Dolan
- Tout est permis de Coline Serreau
- We are the Best ! de Lukas Moodysson, sortie le 4 juin
- Charlie Countryman de fredrik Bond
- La voie de l’ennemi de Rachid Bouchareb
- The baby de Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett
Prochain film prévu : Amour sur place ou à emporter, sortie le 28 mai
36 films à la télé :
2 Coups de cœur Canal+ :
- No de Pablo Larrain, avec Gaël Garcia Bernal
- Hanna Arendt de M. Von Trotta
Prochain film prévu : Only god forgives de Nicolas Winding Refn
10 Documentaires :
2 Coups de cœur :
- Inégalité pour tous de Jacob Kornbluth
- This is comedy de Jacky Goldberg
- Un coupable idéal de Jean-Xavier de Lestrade
- Un coupable idéal, 10 ans après de Jean-Xavier de Lestrade
- La maison de la radio de Nicolas Philibert
- Marguerite Duras : Ecrire et La mort du jeune aviateur anglais de Benoît Jacquot
- Juliette Gréco, l’insoumise d’Yves Riou et Philippe Pouchain
- Romy Schneider, un portrait en trois actes de Frederick Baker
- Nostradamus
Prochain documentaire prévu : Mourir pour la patrie, de l’école aux tranchées
3 pièces de théâtre, one man show :
- Antoine Duléry fait son cinéma, Grand Point Virgule, jusqu’au 6 juin
- Mangez-le si vous voulez, d’après Jean Teulé
- Les uns sur les autres avec Agnès Jaoui
Prochain One man show prévu : Julie Villers, je buterai bien ma mère un dimanche
2 ballets et opéras :
- Le lac des cygnes, avec le Ballet et l'Orchestre du Bolchoï de Minsk.
- Les Capulet et les Montaigu, opéra Bastille
Prochain concert prévu : Kill the young
5 Livres :
- Demande à la poussière de John Fante
- Mon chien Stupide de John Fante
- Capitale de la douleur de Paul Eluard
- Cessez d'être gentils, soyez vrais de Thomas D'Ansembourg
- Opération bonheur de Gretchen Rubin
Prochain livre prévu : Bandini de John Fante
Et en avril, je n’en ai pas parlé :
- Riche, pourquoi pas toi de Marion Montaigne
- Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson
Et vous, qu’avez-vous vu ou lu dernièrement ?
21:04 Publié dans Je suis culturée | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : cinéma, télé, culture, théâtre, que faire à paris | | Facebook
19/05/2014
Toute ascension vers un endroit merveilleux se fait par un escalier en spirale
J'étais dans mon trou perdu sans Internet, mais les gagnants ont pu être prévenus dès le lendemain de la fin du jeu « libre et assoupi ». En effet, miracle ! Mémé nulle en nouvelles technologies possède un téléphone portable avec Internet ! Pas un aïe phone ni un strawberry bien sûr, faut pas trop m'en demander. Juste un appareil compris dans le forfait et avec encore un clavier à touches.
On capte mal dans le trou perdu, j'ai mis 13 minutes à me connecter à ma messagerie, et deux heures pour envoyer les mails aux gagnants... Qui sont donc Laura, Betty, Grégory, Moussa et Sandrine.
Merci aux nombreux participants. Une grande majorité a trouvé les bonnes réponses au quiz, même la deuxième question très difficile, vous êtes vraiment forts. Je rappelle le Quiz On connaît le film :
- Dans quel film Félix Moati a-t-il joué et a-t-il été nommé comme césar du meilleur espoir masculin ?
Il s'agit de Télé gaucho ; la réponse était dans le texte.
- La nouvelle bannière de mon blog est tirée d’une de mes comédies préférées, avec Patrick Dewaere évidemment, j’en ai souvent parlé ici. Quel est ce film ?
Coup de tête ! Certains ont proposé Série Noire. C'est en effet un des films avec Dewaere que je préfère, mais pas franchement une comédie... A l'époque de sa sortie, les critiques de cinéma conseillaient : « si vous êtes sous Prozac, mieux vaut s'abstenir » Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir. Si j'adore ce film, il laissait un message négatif sur une bannière de blog : « vous qui entrez ici, perdez tout espoir ».
D'accord, j'aime bien écrire des rubriques nécrologiques. Je conseille parfois des documentaires « qui donnent envie de se réfugier dans une grotte » (on est empoisonnés par les pesticides dans nos aliments, le lobby des médicaments, les documentaires sur la crise, le chômage, les guerres, le nucléaire, on va tous crever !) J'aime parfois des films tristes avec des musiques mélancoliques. J'ai longuement parlé de faits énervants, le chômage, les lettres de motivation laissées sans réponse, les offres de travail révoltantes, pôle emploi qui laisse les chômeurs sans ressources (six mois sans indemnités pour moi) mon conseiller que je n'ai vu qu'une seule fois en... 7 ans. Il suit 256 chômeurs, qu'il est censé rencontrer tous les mois... Comment peut-il le faire ? On m'a attribué un nouveau conseiller l'année dernière pour ma dernière période de chômage. Je ne l'ai jamais vu, il n'a jamais pris contact avec moi. J'ai juste constaté que le nom avait changé en consultant mon dossier, pas un courrier pour le signaler, rien.
Oui, j'aurais pu proposer Série noire en nouvelle bannière de blog. Mais dans la vie faut pas s'en faire, ces petites misères seront passagères, tout cela s'arrangera. J'ai préféré mettre Coup de tête, mon film culte de Jean-Jacques Annaud. Une autre série noire, mais prise sur le ton de la comédie. Patrick Dewaere y incarne un sympathique perdant (François Perrin, comme souvent avec le scénariste Fancis Veber). Il décide de quitter son village pour tenter sa chance dans une grande ville « Je me suis dit : j’ai réussi à être le dernier à Trincamp, avec un peu d'ambition, je réussirai bien à être le dernier à Paris ». Mais il est accusé à tort d'agression...
Le héros rejoint la femme riche qu'il est censée avoir agressée. Elle ne le reconnaît pas. Pourtant il a travaillé pour elle, lors de l'un de ses énièmes petits boulots : il était serveur pour sa fête d'anniversaire. Dans l'extrait que j'ai choisi comme photo pour ma nouvelle bannière, il explique (regardez, à 38 min 50 du film !) : « J'étais beau pourtant, dans mon costume blanc. Un peu le style agent secret, James Bond (…) Si j'avais été une femme, je serais immédiatement tombée amoureuse de moi ». Il fanfaronne devant la glace. Il emprunte ensuite le grand escalier de la demeure, tel un lord. "on s’est croisés comme dans les films. Je descendais l’escalier, et vous montiez à ma rencontre." Il regarde la jeune femme, fier comme un paon, mais elle le redescend brutalement sur terre en lui lançant un condescendant : « vous pouvez commencer à dresser le buffet... »
Il en conclut : « J’étais certainement plus beau que James bond, mais personne ne m'a remarqué, et je sais pourquoi : parce que j'étais du mauvais côté du buffet. »
Vous conviendrez que l'image de ma nouvelle bannière me correspond bien... La personne et son reflet (personnage ?) dans le miroir (le blog ?). J'aurais aussi pu choisir comme bannière François Merlin devant sa machine à écrire, qui réinvente sa vie. Une image issue d'une autre de mes comédies préférées : Le magnifique. François Merlin s'imagine sous les traits du magnifique Bob Saint Clar dans les romans d'espionnage qu'il écrit. Son éditeur qui l'exploite est transposé en espion « l'immonde Karpov ». Sa charmante voisine dont il est secrètement amoureux mais qui ne le remarque pas est folle de lui dans ses romans...
Ça ne signifie pourtant pas que je réinvente ma vie sur le blog ! Tout ce que je raconte est vrai...
La nouvelle bannière montre bien sûr toujours des papillotes, (mon nom de chat) des chocolats (l'alimentation de base de l'estomac sur pattes) de Lyon (ma ville d'origine) de noël (ma date de naissance) qui comportent des citations. J'en ai toujours dans ma poche et cette année j'ai réussi l'exploit de les faire tenir jusqu'à Pâques, jusqu’à ma poule en chocolat cachée dans le jardin. Voici les deux phrases extraites de ma dernière papillote de l'année :
"Apprends à vivre comme si tu devais vivre pour toujours et vis comme si tu devais mourir ce soir" (proverbe tibétain)
"Toute ascension vers un endroit merveilleux se fait par un escalier en spirale" (Francis Bacon)
Parlant, non ?
Un grand Merci à Mélanie pour la réalisation de la bannière (vous vous doutez bien que mémé Papillote nulle en nouvelles technologies n'a pas su faire : quand j'ai allumé Photoshop pour effacer un mot, j'ai carrément gommé toute l'image)
Petit quiz On connaît la chanson : quelles sont les deux chansons citées dans le texte ?
21:19 Publié dans Mémé et la technologie, On connaît la chanson, On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : télé, cinéma, patrick dewaere, coup de tête le film | | Facebook