18/03/2015
1er album de McCartney : McCartney
Il a dû cogiter longtemps avant de trouver le titre. L’album McCartney paraît en 1970, en même temps que Let it be, le dernier disque des Beatles. A cette occasion, Paul annonce la séparation du groupe, qui s'est produite en fait six mois auparavant. On dira alors que Macca est à l’origine de la rupture, mais il expliquera « Je n'ai pas quitté les Beatles. Mais personne ne veut être celui qui annonce que la fête est finie. »
Après la fin difficile du groupe légendaire, McCartney se réfugie dans sa maison en Ecosse, avec sa femme Linda qu’il a épousée en 1969, et leur premier enfant, Mary. Il imagine ces chansons, en jouant lui-même tous les instruments. Cela se ressent dans la simplicité des arrangements "maison", reproche que l’on peut faire à cet album intimiste. Il fait également tous les chœurs avec Linda. Il lui apprend à jouer du clavier pour l’accompagner. « Elle est une épaule sur laquelle se reposer, un deuxième avis, et une photographe renommée. Plus que tout cela, elle croit en moi, constamment. »
McCartney lui consacre ainsi la première chanson de l’album, The lovely Linda, et la plus belle, qu’il joue à tous ses concerts, Maybe I’m amazed. On l’entendra forcément au stade de France en juin :
Maybe I'm amazed at the way you love me all the time
Maybe I'm afraid of the way I love you
Maybe I'm amazed at the the way you pulled me out of time
You hung me on a line
Maybe I'm amazed at the way I really need you
Baby I'm a man and maybe I'm a lonely man
Who's in the middle of something
That he doesn't really understand
Baby I'm a man and maybe you're the only woman
Who could ever help me
Baby won't you help me to understand
Maybe I'm amazed at the way you're with me all the time
Maybe I'm afraid of the way I leave you
Maybe I'm amazed at the way you help me sing my song
You right me when I'm wrong
Maybe I'm amazed at the way I really need you
A part Maybe I’m amazed, ma chanson préférée de l’album est Every night, une ballade toute simple que je chante très souvent. Je sévissais encore ce matin au travail, me croyant seule… Jusqu’à ce qu’un collègue surgisse de derrière une étagère : « mais c’est toi qui chante comme ça ?! J’ai cru que c’était un mec ! » Je me demande comment je dois le prendre. C’est vrai que je chante avec une voix plus grave, en imitant un crooner sur « believe mama ! » J’ai beaucoup de mal à interpréter des chansons de femmes. Je suis incapable de chanter du Mylène Farmer, sa voix est beaucoup trop aiguë ! Je suis un homme, je suis un homme, quoi de plus naturel en somme.
Every night I just want to go out,
Get out of my head
Every day I don't want to get up,
Get out of my bed
Every night I want to play out
And every day I want to do
But tonight I just want to stay in
And be with you.
Every day I lean on a lamp post,
I'm wasting my time
Every night I lay on a pillow,
I'm resting my mind
Every morning brings a new day
Every night that day is through
But tonight I just want to stay in
And be with you.
Believe me mama !
Autre chanson que je chante plusieurs fois par semaine, la plus triste de McCartney avec Here today (hommage à John Lennon lors de sa mort) : Junk. Je la chante aussi au boulot, mais si un collègue me surprend, je pense qu’il préviendra le chef « attention Papillote veut saper le moral des troupes. On va déposer un arrêt de travail pour dépression ».
Yvan Attal utilise cette chanson mélancolique dans Do not disturb, seul point que j’ai retenu du film.
J’aime aussi Teddy boy, composée comme Junk du temps des Beatles. (voir musique et paroles en lien), et Man we was lonely.
La pochette de l'album représente des cerises que l'on a trempées dans un bol de sirop (de sang ?) Elle fait référence à l'expression "life is a bowl of cherries" pour dire que la vie est belle, mais utilisée ironiquement par ces pince-sans-rire d'Anglais. On sent qu'avec la fin des Beatles, ce n'était pas une période facile pour McCartney. Il avait besoin de se retrouver dans l'intimité et la simplicité de sa famille, avec un album minimaliste loin des arrangements grandioses de Sergent Peppers par exemple.
Chansons de l’album McCartney :
The lovely Linda
That would be something
Valentine day
Every night
Hot as sun / glasses
Junk
Man we was lonely
Oo you
Momma miss america
Teddy boy
Singalong junk
Maybe I’m amazed
Kreen-Akrore
Et vous, appréciez-vous ces chansons ? Laquelle préférez-vous ?
Bientôt, deuxième album de McCartney en solo : Ram. Courage Electra, plus qu’une … vingtaine (niark niark)
22:47 Publié dans On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : mccartney, beatles, mccartney au stade de france | | Facebook
08/12/2011
Paul McCartney en concert à Bercy (2ème partie)
"Sitting In The Stand Of The Sports Arena
Waiting For The Show To Begin…"
On en était resté là : le parcours du combattant pour obtenir les places restantes. Trois heures seulement après la mise en vente, je peux uniquement acheter des 2ème catégorie « balcon, arrière scène, visibilité réduite ».
Allons-nous bien voir Paulo? Je sais juste qu’on sera sur le côté de la scène. Où exactement ? Il existe une grande différence entre les gradins, à 20 mètres de Macca, et les places en balcon, tout en haut, pourtant les sièges sont au même prix. Par quel numéro le balcon commence t-il ? Si c’est le n°1, ça sent le roussi (je suis en 84…)
Sur Internet je recherche pendant des heures des commentaires sur l’emplacement : « les balcons sont beaucoup trop haut » « les places en M (juste après les miennes donc) c’est une véritable honte de les vendre, on ne voit rien, on est tout derrière la scène etc… »
NOOOOOON !
Je tente alors d’échanger mes places assises contre la fosse. Cinq minutes après, j’ai déjà deux acheteurs potentiels, dont un qui me refilent carrément son nom et numéro de portable (je voudrais l’adresse et la carte bleue aussi ?)
Inquiète, avec mon frère on décide de poser directement la question à Bercy en nous rendant au guichet.
La caissière : « ah oui quand même… Donc pour voir les écrans géants, laissez tomber, impossible. Vous êtes dans le virage, un peu derrière. Vous verrez McCartney de haut. Elle plaisante : Vous pourrez constater s’il est chauve ou porte un postiche… (sur l'image, nos places sont au niveau gris au dessus des jaunes)
Mais c’est pas drôle ! On peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui ! On parle de Macca et moi là ! L’heure est grave !
- Puis c’est vrai que c’est plus sympa en fosse, on a une meilleure ambiance… Pas besoin de venir 6 heures à l’avance comme certains. Vous y croyez, des fans viennent dès 13 heures ?!! Sont fous les gens !
Confuse, je regarde mes pieds pour ne pas lui avouer que j’ai fait bien pire. Mon frère qui m’accompagne donne le coup de grâce :
- Oh ben ma sœur elle l’a déjà attendu dès 6 heures du matin devant l’Olympia ! »
La caissière me regarde comme une extra-terrestre. Je cherche mon vaisseau pour m’enfuir.
Caissière : « - Faut arriver au dernier moment et se mettre au fond. Tout le monde attend des heures pour s’agglutiner devant, alors qu’en prenant du recul on voit mieux et on a de la place pour danser (c’est EXACTEMENT ce que je disais à mon frère pour le convaincre).
- Mais c’est vrai qu’avec vos billets numérotés vous n’avez pas d’attente, c’est le seul intérêt. Puis par ce froid, ce n’est pas négligeable… Et vous savez à l’avance où vous allés être placés contrairement à la fosse… puis ya des mouvements de foule, on est serrés… non, je vous conseille les places assises, c’est plus sympa. »
Euh… elle ne se contredit pas un peu là ?
Mon frère, soulagé, s’en tient à la deuxième version qui conforte ses attentes (de pépé). Je ne retiens que le début confirmant mes pires craintes… (J’ai tendance à voir le verre à moitié vide...)
Le soir, veille du concert, à la fois excitée par l’évènement et inquiète de ne pas voir la scène, je ne m’endors pas avant 5 heures du matin. Il faut dire aussi que mon frère regarde des vidéos de Paul McCartney jusqu’à 3 heures… (et j’habite un studio).
Le jour J arrive enfin…
Je n’ai jamais vu de file d’attente aussi gigantesque, pour aucun autre artiste. Pourtant je passe 2 fois par semaine devant Bercy, où sont programmés des groupes très connus. La file longe la salle, le parc, pour revenir devant Bercy. Je calcule qu’elle doit faire au moins un kilomètre.
Comme j’ai des places numérotées, je peux arriver au dernier moment, 20 minutes avant. Je nargue double tous les gens qui se pèlent à attendre dans le froid depuis des heures pour entrer dans la fosse, et je me pointe comme une fleur devant l’entrée principale. Pendant la courte attente, j’entends un portable sonner avec la musique de Because (un peu morbide non ?) : « Oui je suis là ! A droite ! » Bon courage pour se retrouver dans une foule de 17 000 personnes.
Comme à chaque concert, je guette les journalistes du Petit Journal. Et cette fois-ci… Je les vois enfin ! Je ne m’approche pas trop quand même, je ne voudrais pas me ridiculiser devant la France entière (je le fais déjà assez toute seule) « une maman doit être fière de son bout de chou » comme disait Yann Barthès le 24 novembre avec les fans de Motörhead. Depuis, chaque soir je guette les images sur canal, mais comme Anne, je ne vois rien venir. Quoi, les fans de Macca ne valent pas les métalleux ? Pourtant certains ont aussi montré leur postérieur…
Je rentre dans le hall de Bercy… Notre porte d’accès se situe tout au fond, c’est exactement la dernière… J’ai peur… Je vais bel et bien me retrouver derrière la scène et je ne verrai pas Macca ! Puis je pénètre dans la salle…
Mais elle n’est pas si grande ! On n’est pas si haut, au deuxième rang en partant du bas ! Et on n’est pas vraiment dans le virage, ni derrière ! Et on a un petit écran juste en face de nous !
Je vais bien voir Macca en fait !!!!
La salle est remplie à ras bord. Je ne peux pas vous mettre de photos car mon nouveau téléphone portable pourri (oui Electra j’en parlerai !), qui indiquait une batterie chargée, s’est éteint dès le début le saligaud. (Je suis mieux située que sur la photo trouvée)
Une sorte de DJ diffuse des reprises marrantes des Beatles (je vous rassure, on n'a pas eu droit aux 3000 versions de Yesterday). Comme pour le concert de 2009, on s’amuse à reconnaître les célébrités. La dernière fois on était juste en dessous et on a pu les voir de près (mon frère était plus intéressé par la belle blonde qui accompagnait Patrick Bruel que par le chanteur). Ce soir-là, je sympathise avec ma voisine qui me prête gentiment ses jumelles. La pauvre n’avait pas calculé que j’étais venue avec toute ma smala et que mon frère allait squatter l’instrument un long moment à la recherche de la nouvelle star.
On reconnaît Lenny Kravitz, Laurent Voulzy, Marc Lavoine, Francis Cabrel, Calogero, Pascal Obispo, et aussi Bruce Toussaint, Guillaume Durand et certainement beaucoup d’autres. (J’espérais Yann Barthès, car il aime bien parler de Macca, et plusieurs fois sur le plateau du Petit journal, pendant l’attente dans le public, il diffusait du McCartney). A la sortie, mon frère a surpris Louis Chédid en train d’échanger son numéro avec Yves Duteil. Bref l’attente est amusante et on ne la voit pas passer. On sent l’excitation monter dans la salle, les gens s’agiter, siffler, chanter…
Puis les lumières s’éteignent…
Paulo va-t-il jouer les chansons que j’attends ? Va-t-il commencer par les mythiques Venus and Mars et Rock Show, idéales pour un début de concert : la première solennelle, la deuxième endiablée ?
Si vous ne cliquez pas pour écouter ces chansons formidables, je ne vous cause plus. Si vous n’aimez pas, vous êtes bannis du blog. (Je plaisante hein, Electra !)
« Sitting in the stand of the sports arena
Waiting for the show to begin… »
« The lights go down, they’re back in town, OK
Behind the stacks, you glimpse an axe
The tension mounts, you score an ounce ole
Temperatures rise as you see the white of their eyes ! »
McCartney arrive sur scène ! La foule l’acclame, l’applaudit, je hurle de mon cri le plus suraigu !
Et là, Macca joue Hello Goodbye. Je la déteste. Déçue et énervée, je prends mon sac et je m’en vais.
Nan je déconne !
Suite et fin (enfin !) demain…
21:38 Publié dans On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : mccartney, mccartney à bercy, musique, beatles, yann barthès, petit journal de yann barthès | | Facebook
01/11/2011
You never give me your money (encore...)
"You never give me your money
You only give me your funny paper
And in the middle of negotiations
You break down..."
J'espère que McCartney jouera cette chanson magnifique et que j'adore au concert de Bercy !
Je ne vous ai pas raconté les dernières blagues de pôle emploi ?
Après le problème informatique qui bloque mes allocations pendant six mois, demandant des appels chaque semaine, des visites en agence, des lettres avec A/R (merci encore à Electra pour ses précieux conseils), des réponses contradictoires, un accueil condescendant, ou sympathique mais impuissant de pôle emploi, bref, énormément de stress et de manque d’argent pendant la moitié de l’année dernière, je perçois enfin mes allocations. Pour deux ans, comme l’est écrit noir sur blanc sur les avis de situation que j’imprime chaque mois. La hache semble enterrée.
Pourtant trois mois plus tard, Pôle emploi reprend les hostilités. Il me signale comme une fleur que mes allocations se terminent en juin dernier, comme si c’était prévu depuis le départ. Je pense à une énième erreur, mais après rectification, non, pour une fois, il ne se trompe pas. J’ai 15 jours pour fournir toutes mes fiches de paie depuis 10 ans, pour calculer si j’ai le droit à une petite aide pour les chômeurs longue durée. Comme dans le film Mammuth, j’entame un long périple pour retrouver mes ex employeurs, qui ne me fournissaient pas tous des fiches de paie. Je vous ai fait deviner le nombre de copies, trouvé finalement par Tardis girl : 114.
Pour avoir le droit à l’aide, il faut cumuler un certain nombre d’heures de travail. Je reprends mes 114 fiches de paie et j’additionne toutes les heures. Puis je résume et classe avec des trombones pour faciliter la tâche à Pôle emploi, surtout pour leur éviter encore une connerie. Corvée qui me prend deux jours, car je vérifie consciencieusement, mais le compte est bon comme disait Patrice Laffont (oui Romejko présente l’émission depuis les années 90, mais mémé nostalgie est resté bloquée dans les années 80). J’ai travaillé assez pour obtenir une allocation.
Je vais à pôle emploi avec mon épais dossier sous le bras.
Conseiller : « Oh là là mais c’est quoi tout ça ?!!!
Moi : baoum (bruit de la pile de documents sur le comptoir) - voilà ! Vous inquiétez pas, j’ai tout bien préparé pour que le travail soit moins long pour vous, c’est bon j’ai mes 1825 heures de travail et même largement plus, haha ! (Je triomphe)
- ah mais c’est pas 1825 heures qu’il faut ! C’est 1825 jours ! (Je m’effondre)
bon, vous aurez la réponse la semaine prochaine."
Trois semaines plus tard, je reçois une lettre. Négative. Il me manque six mois de travail pour bénéficier de l’aide. Habituée à ces erreurs, je retourne quand même à pôle emploi, pour vérifier ce que les employés ont calculé. J’en étais sûre, ils ont oublié de me compter des fiches de paie! Et comme par hasard, pile les six mois qui me manquent pour bénéficier de l’allocation !
Conseiller : « Ramenez nous les 6 mois oubliés et on recalcule ça dans la semaine
Moi : - simplement les six mois? Je ne vous ramène pas tout le dossier et les 114 fiches de paie ?
Conseiller (horrifié) : - non merci ça ira, on les a déjà enregistrées ! "
Je triomphe à nouveau, tout le long du chemin qui me ramène chez moi.
1 heure plus tard, en étudiant plus précisément le papier, je m’aperçois en fait que je n’ai pas six mois de fiches de paie, mais 5 mois et… quinze jours… Et pendant les 15 jours restant, j’ai fait de l’intérim journalier, qui ne m’a pas transmis mes salaires (mais mes contrats, non valables pour pôle emploi). Il me faut 5 années de travail pour avoir l’aide, et il ne me manque que 10 misérables jours de travail pour en bénéficier… Je reporte quand même mes papiers, espérant que pôle emploi fera enfin un geste.
1/2 heure plus tard, je dépose délicatement comme des pétales de fleur mes six petites fiches de paie.
Conseiller : " - Mais vous ne ramenez que ça ?!
Moi : - Ben faudrait savoir !
- Ah non, il nous faut tout !
- Mais vous aviez dit que c’était bon ! Que vous aviez déjà enregistré le reste !
- Oui mais non, ramenez tout !
- Les 114 feuilles ?!!
- Les 114 feuilles !
Bon, ben le temps de faire un deuxième aller retour, je reviens dans une heure trente à peu près… Heureusement que j’aime bien marcher… (j’y vais à pied)
Pourtant, j’ai passé la soirée à retrier mes fiches de paie. Je les avais bien classées, archivées par années et employeurs, trombonisées, postitées avec soin (oui j’invente des mots et alors) tout cela pendant des heures, mais pôle emploi me les as toutes rendues dans le désordre, sans tambours ni trompettes sans trombones ni post it.
Le lendemain, je retourne à pôle emploi. Cette fois je m’imagine balancer mes 114 fiches de paie à la gueule de l’employé (toujours le même) mais je ne voudrais pas les retrier encore…
Conseiller : " -Pas de souci, on vous calcule ça dans la semaine !
Moi : - Et si je n’ai pas le droit à l’aide et que je ne trouve toujours pas de boulot, qu’est ce que je fais ?
- Vous demandez le RSA…
-Je peux le faire tout de suite ?
- Ah ben non, faut attendre qu’on ait tout recalculé.
- Mais ça va prendre plus de temps qu’une semaine, comme d’habitude… et je n’ai plus de ressources du tout depuis plus de deux mois !
- Vous inquiétez pas, le RSA est rétroactif."
Un mois plus tard, toujours sans nouvelles, résignée, je ne vais pas à Pôle emploi, mais au RSA.
RSA : - "ça fait longtemps que vous êtes sans ressources ?
Moi : - ben, trois mois...Pôle emploi m’a dit d’attendre sa réponse, mais c’est plus possible là…
- Han ! Mais fallait venir tout de suite ! Le RSA n’est pas rétroactif !!! En plus là je peux pas vous prendre de rendez-vous avant le mois prochain, alors ça vous fait 4 mois d’allocations en moins…"
Enfin, on peut même dire 6, car deux mois après je n’ai toujours obtenu aucun versement.
Misère misère ! raaah !
C’est toujours sur les pauvres gens
Que tu t’acharnes obstinément
Et vous, des soucis avec Pôle emploi ou l'administration ?
18:50 Publié dans Toujours, je suis au chômedu | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : pôle emploi, chomage, travail, allocations, mccartney, mccartney à bercy | | Facebook
15/10/2011
Paul McCartney en concert à Bercy !!!
Flew in from Miami Beach BOAC
Didn't get to bed last night
On the way the paper bag was on my knee
Man, I had a dreadful flight
I'm back in the USSR
You don't know how lucky you are, boy
Back in the USSR !
Been away so long I hardly knew the place
Gee, it's good to be back home
Leave it till tomorrow to unpack my case
Honey disconnect the phone
I'm back in the USSR
You don't know how lucky you are, boy
Back in the US
Back in the US
Back in the USSR !!!
Après Back in the USSR…
BACK IN BERCY !!!
MACAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!
21:19 Publié dans On connaît la chanson | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : paum mccartney concert à bercy, mccartney, beatles, back in the ussr | | Facebook