15/09/2011
Je me voyais déjà...
A 18 ans j'ai quitté ma province
Bien décidé à empoigner la vie
Le coeur léger et le bagage mince
J'étais certain de conquérir Paris
En juillet, j’ai enfin obtenu un entretien. Celui-ci a duré plus d’une heure et demie, ce qui est très bon signe. J’ai passé la deuxième étape du parcours du combattant, un test. J’attendais la réponse promise… six semaines plus tard. Faut pas être pressé…
La date de réponse arrivant à échéance, je n’avais toujours pas de nouvelles. Puis j’ai revu l’annonce en ligne… L’entreprise n’a même pas eu la décence ni le courage de me prévenir, et m’a fait poireauter et espérer pour rien, sans me donner la réponse pour le test, elle a peut-être même piqué les idées que je proposais si ça se trouve.
Quand une offre se démarque du lot, comme Aznavour : « je me voyais déjà… » J’imagine dans les moindres détails ce que sera mon quotidien dans la nouvelle entreprise : « j’aurai 40 minutes de transport avec trois changements, avec cette ligne je mets dix minutes de plus mais le trajet est direct, je peux me poser pour lire tranquillement, je pourrais faire le parcours rapide le matin pour me lever plus tard et l’autre le soir pour changer un peu. Je pense que je m’entendrais bien avec ce collègue mais j’ai un peu peur qu’il me drague, peut-être que celle-ci sera sympa même si elle a l’air superficielle, j’espère obtenir le bureau près de la fenêtre, le restau d’à côté propose une belle carte mais je préfère garder mes tickets pour faire mes courses… » (Rassurez-vous, je pense surtout aux tâches à effectuer pour le travail, mais c’est plus angoissant). Ça peut paraître niais, mais après 14 mois de chômage et de galères qui s’accumulent, si je n’y croyais pas encore, ma vie serait un enfer comme dirait Josiane Balasko. Je m’emballe et m’enthousiasme très vite, et c’est vrai que ces espoirs qui ne se concrétisent jamais me laissent terriblement déçue.
Mon coeur s'est aigri un peu en prenant de l'âge
Mais j'ai des idées, je connais mon métier, j'y crois encore
J’ai fait la tournée de toutes les boîtes d’intérim du coin. Quand j’étais encore sur Lyon, j’avais travaillé pour l’agence du quartier. La secrétaire n’avait même pas pensé à me demander un C.V, le lendemain même je bossais. Les gens riaient quand je décrivais mon activité, mais c’était un travail d’étudiant qui permettait de mettre des sous de côté. (J’en ai bien besoin maintenant que je vis sur mes économies depuis trois mois). Ce job consistait à… compter les voitures aux heures de pointe dans des carrefours encombrés, deux heures le matin et deux heures le soir. Il fallait se lever aux aurores, on se caillait atrocement l’hiver, posté sans bouger à des endroits très passagers, à respirer l’air pur des pots d’échappements, mais on amenait une couverture (je portais deux manteaux et deux paires de gants) et on papotait entre deux feux rouges. « 5,6,7 voitures qui tournent à droite… et qu’est ce qu’il t’a répondu ? 1,2,3 voitures qui tournent à gauche… Nan arrête j’y crois pas, il t’a dit ça ! Merde, la voiture rouge, elle a tourné où ? »
On m'a pas aidé, je n'ai pas eu de veine
Mais au fond de moi, je suis sûr au moins que j'ai du talent
Je cours le cachet, je fais du porte à porte
Pour subsister, je fais n'importe quoi
Je pensais bêtement que ce serait pareil à Paris, quelques années plus tard. J’ouvre l’annuaire, je liste toutes les agences d’intérim de l’arrondissement. J’imprime mes C.V, je calcule les itinéraires, je mets une jolie tenue sobre, je me rends à la première agence...
A suivre...
16:53 Publié dans Toujours, je suis au chômedu | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : chômage, pôle emploi, comment passer un entretien d'embauche | | Facebook
13/09/2011
Crazy, Stupid, Love.
Bande annonce du film et interview de Steve Carell♥♥ ici.
Après 25 ans de mariage, Cal (Steve Carell) apprend que sa femme (Julianne Moore) l’a trompé avec un collègue (Kevin Bacon). Le couple se sépare, Cal noie son désespoir en traînant dans les bars. Il se fait repérer par Jacob, (Ryan Gosling) dragueur invétéré qui va lui enseigner ses techniques de séduction, avant de lui-même succomber au charme d’une ravissante jeune femme (Emma Stone). Parallèlement, le fils de Cal est amoureux de la baby sitter, qui elle, préfère Cal…
X aime Y qui aime Z, un imbroglio amoureux classique mais qui fonctionne toujours. Le film est réalisé par John Requa et Glenn Ficarra. On retrouve ici leur style, la douce folie de leur précédent film, I love you Philip Morris, (avec Jim Carrey et Ewan McGregor).
Crazy, Stupid, love est présenté comme la meilleure comédie romantique de l’année, qui révolutionne le genre. N’ayant vu aucun film de ce style au cinéma en 2011, je ne peux pas en juger, mais je pense que cette comédie sentimentale est largement au-dessus du lot habituel. Les dernières que j’ai vues, sur Canal + , n’étaient pas terribles, stupides ou vulgaires (La proposition, L’abominable vérité, All about Steve, La copine de mon meilleur ami…) (si vous avez aimé ces films, vous allez adorer crazy stupid love en comparaison).
Crazy stupid love est plus intelligent, plus drôle, plus déluré, plus acide. Il tend plus vers les comédies de Judd Apatow, avec lequel Steve carell a d’ailleurs tourné. Le film réserve des moments cultes (lorsque tout l’open space voit le héros pleurer et pense qu’il a un cancer : « c’est bon, youpi, c’est juste un divorce ! »). Une scène de « révélation » est vraiment réussie et tordante.
On ne peut pas toutefois parler de révolution, car on retrouve les ingrédients habituels du genre : la morale qui prime, et surtout, la scène finale larmoyante, où tout le monde fait son mea culpa en public. Les Américains font-ils vraiment ça, exposer leurs problèmes les plus intimes et s’excuser pour leur comportement passé, sur une scène, avec un micro, devant une centaine de personnes, pendant des moment totalement inappropriés, des évènements officiels comme ici une remise de diplômes (pour le brevet !! ouarf!) ? Ou bien c’est juste dans leurs films, particulièrement les comédies sentimentales ? Non parce que c’est inquiétant quand même ce manque de pudeur...
Le film livre une magnifique brochette d’acteurs, avec en tête le toujours génial Steve Carell♥♥, à l’aise dans tous les registres. On retrouve le charismatique Kevin Bacon (Mystic river, Hollow man, JFK…) la splendide Julianne Moore (Les fils de l’homme, The hours, Hannibal...) un peu sous-exploités, on ne les voit pas assez à l’écran. Une qu’on voit partout en ce moment en revanche, c’est Emma Stone ( au ciné le 26 octobre pour La couleur des sentiments, que j’ai vu aussi, j’en parlerai bientôt)
Steve Carell♥♥ est vraiment l’un des meilleurs comiques américains de notre époque (la pince sans rire série The office, l’excellent malgré son titre atroce 40 ans toujours puceau). Il joue à merveille le type timide, romantique, à côté de la plaque. A priori il est présenté comme un loser. Il a un look normal un peu ringard, il n’a couché qu’avec une seule femme avec laquelle il est resté marié pendant 25 ans, il exerce un boulot administratif peu attrayant… Pourtant, il me séduit beaucoup plus que le modèle qu’il suit, Jacob /Ryan Gosling.
Déjà, je hais les dragueurs et les gens qui se la pètent. Dans un plan large et au ralenti, Jacob est présenté comme un exemple de look parfait. Or il porte un pantalon resserré aux chevilles (un slim on appelle ça ? c’est déjà moche sur une fille mais alors sur un homme…) Il associe sa tenue noire à des chaussures pointues (horreur) qui jurent complètement, marron clair couleur chiasse. (Ne me demandez pas le style des chaussures, vous savez que je déteste la mode). Bref, je croise un type comme ça, je rigole sous cape. En plus, la mâchoire légèrement prognathe et le menton en avant de Gosling lui donnent l’air un peu stupide je trouve. Ce n’est pas le type que j’aurais choisi pour incarner un tombeur. (voilà pour la partie « sisi, je suis une fille »)
Si vous voulez savoir si l’amour vous rend fou et stupide vous aussi, vous pouvez passer le test sur le site officiel ici. Un que l’amour rend vraiment comme ça, c’est McCartney. Après s’être fait plumer de la moitié de sa fortune par son ex, il se remarie, à nouveau sans contrat de mariage apparemment. Comme le parodie les Monty Python: How sweet to be an idiot…
Et vous, appréciez-vous Steve carell, les comédies sentimentales américaines ?
22:25 Publié dans On connaît le film | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : cinéma, crazy stupid love, steve carell, monty python | | Facebook
11/09/2011
A la télé cette semaine : Légendes d'automne, Rocky, REC, Chacun cherche son chat...
Ce soir, Direct 8 diffuse Légendes d’automne. Mon genre de prédilection, la biographie : le film relate le destin d’une famille dans le Montana, autour de la première guerre mondiale. Si vous aimez Et au milieu coule une rivière, ce film surfe sur son succès : il se situe dans la même région, à la même période, décrit aussi l’histoire de plusieurs frères et Brad Pitt y tient également le rôle principal.
A la même heure, France 4 diffuse Rocky, qui décrit un tout autre parcours. De la boxe avec Sylvester Stallone, je m’attendais à un film décérébré pour macho, mais j’ai été agréablement surprise : c’est en fait un drame social ! Le scénario écrit par l’acteur tient vraiment la route, avec un contexte bien ancré (des gens pauvres et un peu paumés dans le Philadelphie des années 70). On s’intéresse au parcours de ce grand gaillard au cœur tendre (« Adrieeeeeennne ! »). Il incarne en quelque sorte le rêve américain : comment un petit boxeur reprend confiance en lui, devient riche et célèbre en se battant contre le plus grand… A voir aussi pour la fameuse scène d’entraînement sur la musique gonna fly now.
Sur W9, autre bonne surprise : Hellboy. Une créature étrange, sorte de diablotin gentil, collabore avec le FBI pour empêcher Raspoutine ressuscité et de vilains nazis de libérer un démon guerrier. Malgré ce pitch qui laissait présager le pire, ce film fantastique est vraiment bien ficelé. Le réalisateur, Guillermo del Toro, aurait dû me mettre la puce à l’oreille : il est l’auteur de l’excellent Labyrinthe de Pan, qui fait partie de mon top 50.
Autre biographie, cette fois-ci un documentaire, à 22h10 sur France 5 : la tragique fin de Romy Schneider. On ne sait pas si elle s’est suicidée ou à fait involontairement une overdose de médicaments, qu’elle consommait à outrance pour son état dépressif. Son histoire m’avait horrifiée quand j’étais petite : son fils de 14 ans, en voulant escalader le portail de sa maison, s’est empalé sur les grilles… et Romy est morte un an après ce drame.
Mardi, direct star diffuse Chacun cherche son chat de Cédric Klapisch. En cherchant son chat qui s’est fait la malle, une jeune femme timide et solitaire rencontre enfin ses voisins. Une rafraîchissante comédie sentimentale, qui m’avait ravie quand j’étais ado. D’ailleurs, ça me fait penser que je n’ai pas raconté la suite de mes aventures avec mes voisins et leur paillasson de chat… l’ultime révélation a suivre prochainement sur vos écrans (d’ordi). (Quoique, je pourrais peut-être en faire un film aussi ?)
Mercredi, Arte programme REC de Jaume Balaguero, qui m’avait déjà terrifié avec La secte sans nom et Darkness. Comme Le projet blair witch, ce film d’horreur est tourné caméra à l’épaule, sous la forme d’un faux documentaire. Sauf que contrairement à son prédecesseur, celui-ci fout vraiment les chocottes. Une équipe de télévision suit des pompiers appelés au secours dans un immeuble. Comme 24 heures chrono, on vit l’expérience en temps réel, ce qui permet vraiment de se plonger dans l’action. Tout est filmé à travers l’œil de la caméra et comme la journaliste, on a sans cesse envie de dire au caméraman : « Braque plutôt l’objectif de ce côté ! Derrière toi, j’entends un bruit ! » L’angoisse va crescendo au fur et à mesure que les personnages grimpent les étages... Si vous êtes amateurs de sensations fortes, je vous le conseille vivement, ainsi que les autres films du réalisateur.
Un vrai documentaire suivant une équipe de pompiers, c’était celui que proposait TF1 hier soir, sur ces deux Français prisonniers des tours du world trade center le 11 septembre. Certaines images étaient fortes (lorsque une tour s’écroule, créant un nuage de fumée) mais le traitement et les commentaires redondants, insipides et larmoyants gâchaient vraiment le tout. Du TF1 quoi…
Côté documentaire, toujours sur les 10 ans de l’attentat, cette semaine je regarderai plutôt celui de spécial investigation comme d’habitude : Le 11 septembre raconté par al qaida. Pour ceux qui ne captent pas canal +, France2 propose un documentaire similaire jeudi : Dans la tête d’al qaida.
Sinon, pour cette rentrée, petite nouveauté. J’évoque essentiellement pour cette rubrique les films des chaînes historiques et de la TNT. Or, je les regarde peu moi-même, les ayant déjà vus. Je me consacre en fait aux films de canal+ (je n'en parle pas puisque pour la plupart je ne les ais pas encore visionnés et parce que je considère que beaucoup d’entre vous ne sont pas abonnés). Or si je veux que canal me propose un boulot ou au moins une réduc sur mon abonnement (qui représente quand même un budget pour une chômeuse non indemnisée) je devrais peut-être plus parler des films de cette chaîne non ? (après 14 ans d’abonnement, je suis une peu longue à la détente).
Donc, je vous conseille sur canal + les séries Mad Men (jeudi) et Platane (lundi).
Sur canal+ cinéma♥♥♥, mardi soir à 20h45 : Piranha 3D d’Alexandre Aja.
Mercredi à 22h20, The killer inside me, l’adaptation du roman de Jim Thompson Le démon dans ma peau.
Jeudi Crime d’amour d’Alain Corneau.
Je ne suis pas abonnée à canal + family et décalé (mais j’ai canal + sport, vous pensez bien que je m’en contrefous).
Pour les chômeurs et insomniaques comme moi, les autres films intéressants sont diffusés à toute heure, mais là on va pas s’en sortir…
Voilà, vous pouvez allumer votre télévision et reprendre une activité normale, à ciao bon dimanche.
Et vous, connaissez-vous ces films ?
19:30 Publié dans A la télé cette semaine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : télé, cinéma, chacun cherche son chat | | Facebook
04/09/2011
A la télé cette semaine : 21 grammes, Elephant man, The big Lebowski, La cérémonie...
C’est la rentrée, le moment tant détesté. La fin des vacances, le retour des soucis et de la banalité du quotidien. Ces quinze derniers jours, j’étais dans mon patelin perdu sans ordinateur ni Internet. J’ai enfin pu me reposer l’esprit, chose que je n’ai pas fait depuis bien longtemps. Plutôt que de me préoccuper pour mes recherches d’emploi et mes dépenses d’argent, mes soucis principaux étaient de savoir si, avec les pêches du jardin, on faisait une compote ou un gâteau et si je jouais plutôt avec le chaton beige espiègle, ou si je caressais le chaton noir câlin. Des questions existentielles donc.
Plutôt que de me dire : « on est dimanche, je vais passer ma journée derrière l’ordi à écrire mon article télé de la semaine » je me promenais dans la nature, oubliant complètement les problèmes technologiques, puisque sans ordinateur ni même téléphone portable (on capte mal dans un trou). C’est pourquoi aujourd’hui je n’ai pas trop le goût d’écrire et de reprendre les vieilles habitudes.
Cet été n’a pas été riche en films, dans mon patelin je n’ai pas Canal+, alors je regardais surtout les documentaires de la 5 et d’Arte. J’espère néanmoins que vous n’avez pas raté quelques excellents films comme Les fils de l’homme (avec Clive Owen♥♥) ou Les incorruptibles.
Ce soir, je vous conseille le film 21 grammes d’Alejandro Gonzalez Inarritu, le réalisateur qui décline de plus en plus. Son premier film étant l’excellent Amours chiennes, son dernier et quatrième, le très médiocre Biutiful. 21 grammes est son deuxième, il est donc encore très bon. Comme dans ses autres films, le réalisateur mêle plusieurs personnages, à priori opposés, mais qui vont se retrouver liés par des coups du sort. Que signifie le titre, 21 grammes ? Ce serait le poids qu’un corps perd au moment de la mort. Est-ce le poids de l’âme ? Quand je l’ai vu en salles, un silence religieux régnait, interrompu par des reniflements. Un film choc et intense, une tragédie sur le deuil, le remords, le destin…
Lundi, france 4 rediffuse le grand classique du western spaghetti, Il était une fois dans l’ouest de Sergio Leone, avec la sublime musique d’Ennio Morricone. Quand j’étais petite, les longueurs et silences me gênaient un peu, et je ne comprenais pas pourquoi la réplique « puisque tu m’as appelé par mon nom » entraînait une si grave conséquence…
Jeudi, soirée Chabrol sur France 3, avec Bellamy et La cérémonie. Dans ce dernier, on retrouve Sandrine Bonnaire en analphabète honteuse et réservée, et Isabelle Huppert en postière révoltée. Le film s’inspire du célèbre faits-divers des sœurs Papin, des domestiques ayant assassinées leurs riches employées dans les années 30. Comme souvent, Chabrol se moque de la bourgeoisie sur fond de lutte des classes.
A la même heure sur direct star, deux films cultes : The big Lebowski des frères Coen. Le duc est un glandeur tranquille et affiché, qui passe son temps à boire et à jouer au bowling. Mais de dangereux malfrats le confondent avec un bandit et lui réclament une somme colossale. Le paresseux va devoir rompre avec sa léthargie habituelle pour se sortir du pétrin.
Tout autre style, Direct star enchaîne avec le chef d’œuvre de David Lynch : Elephant man. Ce film émouvant retrace l’histoire vraie et incroyable de Joseph Merrick, qui vécut en Angleterre dans la seconde partie du 19ème siècle. Il était atteint d’une maladie rare qui déformait atrocement son corps. Son père l’expulsa et il se retrouva exposé cruellement dans une fête foraine, où un médecin humaniste le vit et le recueillit. Le pauvre être rejeté, abandonné, fut alors accepté dans les grands salons londoniens par la reine elle-même.
Côté documentaire, la semaine est marquée par les 10 ans de l’attentat du world trade center (et l’attentat de Pinochet contre Allende le 11 septembre 73 ?). Je ne raterais pas comme d’habitude la nouvelle enquête de Paul Moreira♥♥♥ « islam, antéchrist et jambon-beurre », lundi sur canal +. Sinon, je vous conseille un documentaire que j’ai déjà vu : « qui a tué Massoud ? » ce soir sur France5 à 22h.
Voilà, vous pouvez allumer votre télévision et reprendre une activité normale. A ciao bon dimanche.
Et vous, avez-vous vu ces films ? Qu’avez-vous regardé cet été ?
18:15 Publié dans A la télé cette semaine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : télé, cinéma, programmes tv, lynch, chabrol, paul moreira, rentrée scolaire | | Facebook