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23/06/2016

Le quiz on connaît la chanson de Polnareff, les résultats

michel polnareff,quiz on connaît la chansonUne chanson bonus était à retrouver dans le texte de présentation : « si il y a quelqu’un que ça intéresse, qu’il m’envoie son nom et son adresse, je lui raconterai l’histoire de l’homme qui pleurait sans espoir » : il s'agit de L'homme qui pleurait des larmes de verre, la chanson préférée de Polnareff, qu'il a carrément jouée deux fois lors de son concert de 2007 !
Les chansons sont à écouter en lien :

1 « Quand l’écran s’allume, je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu’on se dit avec les doigts
Et j’envoie dans la nuit un message pour celle qui
Me répondra Ok pour un rendez-vous »
Réponse : Goodbye Marylou

2 « Devant tant d’indifférence
Parfois j’ai envie de me fondre dans la nuit
Au matin je reprends confiance
Je me dis, je me dis
Tout pourrait changer aujourd’hui »
Réponse : Love me, please love me

3 « Il est des mots qu’on peut penser
Mais à ne pas dire en société
Moi je me fous de la société et de sa prétendue moralité »
Réponse : L'amour avec toi

michel polnareff,quiz on connaît la chanson4 « Il n’y a pas eu école ce matin
Il n’y aura plus d’enfance au jardin
Un oiseau de plus, un oiseau de moins
Tu sais la différence c’est le chagrin »
Réponse : Ça n'arrive qu'aux autres

5 «  Sur l’amour, sur l’amitié
Mon avis n’aura-t-il pas changé ?
Seront-ils à mon chevet
Lorsque sonnera l’heure de ma mort ? »
Réponse : Sous quelle étoile suis-je né ?

6 «  Il faisait nuit, quand elle est arrivée sur moi
J’ai vu seulement des yeux et des dents qui brillaient
J’aurais dû me méfier
Me faire assurer sur la vie, contre le vol et l’incendie
La grêle, la révolution, acheter un pistolet, un canon
Bref faire quelque chose, mais moi, j’ai acheté des roses, des roses ! »
Réponse : Hey you woman

7 « Caché dans le jardin, moi je serrais les poings
Je regardais danser Jane et son fiancé »
Réponse : Le bal des Laze

8  « Je t’ai rêvée, tu es venue
O mon enfant, mon inconnue
Je t’ai trouvée dans cette rue »
Réponse : Tous les bateaux, tous les oiseaux

9 « Si une heure un soir, on pouvait se revoir
Je dis des mots stupides et vides d’espoir
Il faut me pardonner, je ne me suis pas encore habitué
Il faut dire que tout change si rapidement
Je dois fermer les yeux pour te voir comme avant »
Réponse : Mes regrets

10 « Le temps a passé, seules restent les pensées
Et dans tes mains il ne reste plus rien »
Réponse : Qui a tué grand-maman ?

Suite du quiz bientôt

 

14/06/2016

Le quiz On connaît la chanson de Polnareff

compilation.jpgJe vous ai concocté non pas 10 chansons à retrouver comme d’habitude, mais le double ! Et oui, Polnareff en a composé plus d’une centaine et je les connais presque toutes, le choix était difficile. Mais je me console en faisant découvrir le reste au collègue des chansons, qui est évidemment ravi d’écouter mon chouchou tous les jours. (il m’a menacé de se plaindre aux syndicats et d’organiser une manifestation anti Michou)
Dans le lot, vous en connaissez forcément quelques-unes. Je vous dirais bien que le gagnant recevra des papillotes, mais c’est un cadeau de noël… Donc « si il y a quelqu’un que ça intéresse, qu’il m’envoie son nom et son adresse, je lui raconterai l’histoire de l’homme qui pleurait sans espoir »

1 « Quand l’écran s’allume, je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu’on se dit avec les doigts
Et j’envoie dans la nuit un message pour celle qui
Me répondra Ok pour un rendez-vous »

2 « Devant tant d’indifférence
Parfois j’ai envie de me fondre dans la nuit
Au matin je reprends confiance
Je me dis, je me dis
Tout pourrait changer aujourd’hui »

3 « Il est des mots qu’on peut penser
Mais à ne pas dire en société
Moi je me fous de la société et de sa prétendue moralité »

nos mots d'amour.jpg4 « Il n’y a pas eu école ce matin
Il n’y aura plus d’enfance au jardin
Un oiseau de plus, un oiseau de moins
Tu sais la différence c’est le chagrin »

5 «  Sur l’amour, sur l’amitié
Mon avis n’aura-t-il pas changé ?
Seront-ils à mon chevet
Lorsque sonnera l’heure de ma mort ? »

6 «  Il faisait nuit, quand elle est arrivée sur moi
J’ai vu seulement des yeux et des dents qui brillaient
J’aurais dû me méfier
Me faire assurer sur la vie, contre le vol et l’incendie
La grêle, la révolution, acheter un pistolet, un canon
Bref faire quelque chose, mais moi, j’ai acheté des roses, des roses ! »

7 « Caché dans le jardin, moi je serrais les poings
Je regardais danser Jane et son fiancé »

8  « Je t’ai rêvée, tu es venue
O mon enfant, mon inconnue
Je t’ai trouvée dans cette rue »

9 « Si une heure un soir, on pouvait se revoir
Je dis des mots stupides et vides d’espoir
Il faut me pardonner, je ne me suis pas encore habitué
Il faut dire que tout change si rapidement
Je dois fermer les yeux pour te voir comme avant »

10 « Le temps a passé, seules restent les pensées
Et dans tes mains il ne reste plus rien »

A vous de jouer !
Suite et fin demain

 

03/09/2015

Quiz on connaît le film comique : Le cerveau, Le magnifique et L'incorrigible

cinéma, cinéma français, belmondo le cerveauRigolons un peu pour oublier la rentrée...

8 ) Associez la réplique au film correspondant, joué par Jean-Paul Belmondo :

A) « Il se passe que je vous emmerde monsieur. Vous, votre affreux boudin de femme, et votre sale chat. »
B) « Et Bob Saint Clar, pagayant comme un fauve… »
C) « Bebel : Moi aussi, j'ai longtemps été seul. J'ai eu une jeunesse atroce dont j'aime mieux pas parler. Un père alcoolique, maman usée par les lessives... Je la revois dans la forêt couverte de givre, ramassant du bois mort, moi accroché à ses haillons...
- Vous étiez combien chez vous ?
- Boh... Au moins quinze.
- Quinze ?!
- Et puis des hommes ont commencé à défiler à la maison. Des militaires, surtout. Faut dire que maman était très belle. Vous l'auriez vue sur le grand escalier du vestibule, avec son boa autour du cou, en plumes de paon...
- Un boa pour ramasser du bois, c'est pratique ça...
- Non mais alors si vous m'interrompez tout le temps, moi je perds le fil ! »

a) Le magnifique de Philippe de Broca
b) Le cerveau de Gérard Oury
c) L’incorrigible de Philippe de Broca

Réponse : A )b ; B)a ; C)c

cinéma, cinéma français, belmondo le cerveauMémé radote, mais pour ceux qui ne me lisent pas depuis le début (alors infidèles, on s’en va sans dire au revoir ?) Je suis obligée de vous présenter encore Le magnifique, qui a inspiré OSS 117 comme je l’expliquais dans mon dernier billet, par exemple avec cette scène de la piscine.
Belmondo joue un homme falot et discret, qui mène une vie solitaire et grise. Il est un petit écrivain de romans d’espionnage, tyrannisé par son éditeur et secrètement amoureux de sa voisine. Il se venge dans ses livres en transposant sa vie idéale : il s’y voit sous les traits d’un grand agent secret charismatique. Son éditeur est l’infâme Karpov et sa belle voisine est folle de lui…
Gage de qualité, le scénario est signé par de Broca (L’homme de Rio) Jean-Paul Rappeneau (Le hussard sur le toit, Bon voyage) et l’inévitable Francis Veber (Le dîner de cons, La chèvre, bref toutes les bonnes comédies françaises.) 
Evidemment, je m’identifie au personnage, mais dans la version « du quotidien », François Merlin. Pas en super héros Bob Saint Clar comme le fait un certain DJ prétentieux. Comme François Merlin, j’adore réécrire ma vie, imaginer après la bataille ce que j’aurais pu répondre si j’avais osé faire preuve de répartie. Je rectifie ensuite sur le blog en détournant avec humour mes déboires. J’invente aussi des scénarios, que j’imagine en détail la nuit quand je n’arrive pas à dormir, mais que je ne prends jamais la peine de réaliser… Dommage, car je trouve parfois des situations et dialogues cocasses, et quand je vois certains films, j’interpelle le personnage « m'enfin ! pourquoi tu ne dis pas ça plutôt ? Rah si tu suivais mon scénario n°238 imaginé la nuit dernière entre 2 heures et 4 heures du matin… »

cinéma, cinéma français, belmondo le cerveauL’incorrigible, du même réalisateur, avec le même acteur, est dans le même genre que Le magnifique et réalisé deux ans plus tard (1975). Belmondo y incarne Victor, mythomane et beau parleur, qui escroque les riches. Il prévoit un nouveau coup, voler un tableau célèbre. C’est sans compter sur une éducatrice chargée de le surveiller, qui ne croit pas à ses histoires…
Les dialogues sont signés Audiard :
« Elle te siffle pas encore, mais ça viendra. Elle a capturé un lion pour en faire une descente de lit. »

Bébel/ Victor sort de prison et se fait passer pour un riche aventurier :
« Dur, très dur ! Cinq heures d'avion, six heures de chameau, huit heures de train, j'arrive d'Addis-Abeba !
- Je sais, ton avocat m'a dit. Tu as reçu mes colis ?
- Oui. Vois-tu l'homme ne vit pas seulement de conserves ! Durant ces années j'ai longuement réfléchi. Je me suis dit : Victor qu'as-tu fait de ta jeunesse ? Après quelles chimères cours-tu ? À vouloir saisir l'insaisissable, ne risques-tu pas de perdre l'essentiel ? Jetteras-tu enfin l'ancre, vieux coureur de savane ? »

« Ta vie court comme une eau vive ! Tandis que la mienne fuit comme un vieux robinet. »

« Y'a peut-être une belle affaire. Je connais un mec qui cherche un bateau. Tu pourrais peut-être lui vendre le tien.
- Mais je n'ai pas de bateau moi...
- C'est pour ça que c'est une belle affaire ! »

cinéma, cinéma français, belmondo le cerveauLe cerveau offre non seulement un festival de gags, mais aussi de superbes chansons (l’émouvante Cento Giorni, que je connais par cœur "la corsa della vita per me si è gia fermata negli occhi tuoi"). Je chante l’excellente «Who’s got a computer for a mind? The Brain ! Who’s got an IQ like an Einstein ? The brain ! » dès qu’une idée lumineuse me vient à l’esprit (c'est-à-dire pas souvent).
C’est encore un « feel good movie » comme on dit maintenant, qui enchaîne les répliques hilarantes, que je cite à tout bout de champ et dont peu de gens saisissent la référence (j’aime me prendre des flops) :
Par exemple quand on ne répond pas à un bonjour : « coucou ? coucou ! ben pourquoi il dit plus coucou ! »
Et cette scène :

cinéma, cinéma français, belmondo le cerveauBébel, mielleux : - Allôoô ?
Voisin : - C'est bien au monsieur Anglais du 6ème que j'ai l'honneur de parler ?
Bébel, horripilant : - Ouiii ?
Voisin : - Je suis à bout, Monsieur. Qu'est-ce qu'il se passe chez vous ?
Bébel : - Il se passe que je vous emmerde, Monsieur. Vous, votre affreux boudin de femme, et votre sale chat.
- Vous savez à qui vous parlez ?!
- Au gros tas que je croise tous les jours dans l’escalier.
- Mais je vais vous monter vous corriger, je vais monter !
- Mais bien sûr montez-donc ! Espèce de lavette, pauvre type, cornichon, dégonflé !»

j’ai parodié cette scène en répondant à une des sociétés qui harcèlent les petits vieux, plus influençables, plus faibles, ou en manque de compagnie, ravis d’avoir un interlocuteur et qui feront tout pour entretenir la conversation et faire plaisir. Certains téléphonent à ma mère pour lui vendre leurs saloperies inutiles, ou pire, l’escroquer (« on est l’entreprise arnaque qui veut se faire passer pour votre banque, on a bien votre numéro de compte qui commence par le 000, mais on a effacé malencontreusement la suite ? »)
Elle n’est pas née de la dernière pluie et ne répond jamais à un numéro inconnu, et en plus, elle est sourde comme un pot et n’entend pas le téléphone. Mais moi, il me réveille tous les matins de mes vacances. Et il ne faut jamais réveiller un chat qui dort (ici, la scène complète de "Pompon le chat et de la "sacré garce de panthère !" Dans la réalité, je me suis arrêtée au « ouiiiii » mielleux, sans les insultes.... Mais  l’arnaqueur lui, n’a pas hésité. Il m’a fait tout son speech pourri et quand il s’est rendu compte que je me foutais de sa gueule, il m’a crié « va te faire foutre ! » et a raccroché. Il n’a plus appelé alors qu’il téléphonait trois fois par jour depuis des mois. En général, ces gens-là appellent d’une plateforme où leurs communications sont surveillées et enregistrées par leur supérieur. Ce "cornichon" s’est peut-être fait virer, il se cherchera un vrai boulot. Et qu’on ne me dise pas « ya pas de sot métier, il faut bien travailler pour vivre, c’est juste un travail ». Non, on peut choisir de rester honnête. On n’est pas obligé d’arnaquer et harceler les petits vieux sans défense ni les gens en général. 
(Moi aussi je peux me la jouer Bébel)

 

30/08/2015

Quiz on connaît le film comique : OSS 117

cinéma, OSS 117, comédies françaises7) De quel film ces répliques sont-elles extraites ?  
« Ça va Hubert ?!
- Ça va oui, sauf que l’avion perd de l’altitude ! On file sur les arbres et je n’aurai pas le temps de sortir les trains d’atterrissage.
- Mais y’a quoi qui va ?!
- Ce qui va, c’est que je suis là ! 
- Oh mon Dieu ! 
- Merci ! »

« Oh pardon, je suis affreusement maladroite. Apparemment je vous ai éclaboussé.
- Mais je vous en prie. D'ailleurs ne dit-on pas qu'une femme qui éclabousse un homme, c'est un peu comme la rosée d'une matinée de printemps ? C'est la promesse d'une belle journée et la perspective d'une soirée enflammée.
- Quel réveil !
- Je n'y suis pour rien. C'est l'inexpugnable arrogance de votre beauté qui m'asperge. »

« Dolorès, je vais être un petit peu brutal mais si jamais il devait se passer quelque chose entre nous... Il m’est impossible de m’engager avec une femme. Avec moi, les histoires d’amour ne s’écrivent pas dans le temps, ce sont des histoires courtes, compactes, passionnelles. D’aucun ont des aventures... Je suis une aventure. »

« Je suis ravi d’avoir une secrétaire aussi ravissante que vous !
- Je ne suis pas votre secrétaire.
- Mais vous êtes la secrétaire de qui alors ?
- Je suis colonel de l’armée israélienne, et l’idée est que nous travaillions ensemble. D’égal à égal.
- On en reparlera quand il faudra porter quelque chose de lourd. »

« Finalement, cette bande de hippies est plutôt sympathique, une fois passée la barrière de l'hygiène s'entend. Enfin, que voulez-vous, c'est la jeunesse. Tôt ou tard, la vie se chargera de leur couper les cheveux. »

cinéma, OSS 117, comédies françaises

cinéma, OSS 117, comédies françaises

Il s’agit du film OSS 117, Rio ne répond plus, de Michel Hazanavicius. Réalisateur du multi récompensé The artist, mais  surtout, auteur de sketches pour Les nuls, et du cultissime La classe américaine, le grand détournement qui reprend des scènes de films américains en changeant les dialogues. Notamment les hommes du président avec Robert Redford et Dustin Hoffman♥ 

« J’ai ma liberté d’expression capillaire, ça te défrise ? »

Comme à son habitude, dans OSS 117, le cinéaste fait l’éloge du 7ème art en parodiant cette fois-ci les films d’espions.
Mes neveux ont vu les deux OSS une vingtaine de fois et connaissent les dialogues par cœur, mais sacrilège, ils n’avaient jamais vu le film et le personnage qui a inspiré Hubert Bonisseur de la Bath’ et Jean Dujardin : j’ai nommé mon film culte, Le magnifique, avec Jean-Paul Belmondo/Bob Saint Clar. J’ai vite rectifié ce cruel manque à leur culture, que dis-je, à leur survie, et ils ont évidemment adoré Le magnifique (sinon c’est simple, je les déshéritais).

La prochaine fois, suite du quiz comédies françaises avec… Le magnifique justement.

Ah, sacré Hubert, toujours le mot pour rire, ah ah !