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12/01/2012

Portrait chinois (suite)

suisse-lac-montagne.jpg8. Si j'étais un pays :
Mémé ne quitte pas son patelin enfin voyons, jamais pris l’avion, cet engin de malheur qui vole sans battre les ailes. Mais j’ai souvent été en Suisse car mon frère habitait près de la frontière. J’ai de très bons souvenirs de l’immense rayon chocolat des supermarchés Migros. Les Suisses ne sont pas les derniers en fromage non plus (la tomme vaudoise, le vacherin, la raclette…) (j’arrête là avant d’être frustrée de ne pas en avoir sous la main).
Les paysages suisses sont splendides, j’adore la montagne, et là-bas elle se conjugue avec le lac Léman…

9. Si j'étais une ville :
Lyon, enfin. Pour les mêmes raisons que la Suisse, je trouve sinon qu’Annecy est une ville magnifique (elle possède également un super glacier artisanal qui propose d’immenses boules de sorbets et… non j’arrête là, c’est trop dur).

10. Si j’étais une friandise :
J’en ai déjà parlé, je déteste les bonbons. Sinon, du chocolat, une papillote de Lyon bien sûr. Mon frère m’en avait ramené pour le concert de Macca en 2009 : il avait débarqué à mon travail pour prendre les clés de chez moi, et accessoirement m’apporter 6 paquets de papillotes (4 kg). Que je n’ai pas partagés avec mes collègues bien entendu, les papillotes, ça se mérite, seuls les privilégiés y ont droit.
Pour le concert de cette année, rebelote, mais mon frère ne m’a apporté qu’un seul paquet. C’est la crise. En fait j’en avais commandé un autre, le spécial saveur noël, au chocolat à la cannelle et aux épices, mais ma mère s’est trompée et m’a acheté saveur Provence, au nougat (j’aime pas) pâte d’amande (beurk) chocolat blanc (sacrilège). Je ne vous raconte pas le drame. Survivre un mois avec un seul paquet de papillotes. Je n’ai partagé mon précieux trésor qu’avec une seule amie triée sur le volet. En 2011 j’ai réussi à faire durer mes 4 kg de papillotes jusqu’en mars, j’espère réitérer cet exploit.

11. Si j’étais un péché capital :
Euh… ce n’est pas évident ? L’estomac sur pattes choisit la gourmandise bien sûr.

12. Si j’étais une matière à l’école :
Le français, seule matière qui m’intéressait avec l’histoire. Le sport à l’école m’a traumatisée (J’ai raconté ici).

13. Si j'étais un sport :
Je détestais le sport à l’école, mais j’aime en faire seule ou avec un ami, en papotant. J’adore le badminton, taper comme une folle dans le volant et le voir monter très haut dans le ciel. Je suis aussi très forte en ping-pong et je déteste perdre (la seule fois où un type m’a battue, je n’ai plus retouché une raquette pendant trois ans).

14. Si j'étais une marque de vêtements :
Je fais attention depuis toujours à ne pas porter de marques. Ce n’est même pas ma famille qui m’a influencée, j’ai trouvé ça toute seule. J’estimais mes camarades complètement crétins de seriner leurs parents pour avoir les dernières baskets nique ta reum à la mode. A l’adolescence, tous les ados se damnaient pour avoir une paire de docteur Martin. Au final, ils étaient tous sapés à l’identique, c’était risible. Ils chouinaient quand les godasses se trouaient irrémédiablement au bout d’un certain temps. J’ai acheté une imitation à 123 francs en 1998, elle est toujours impeccable, « inusable » comme dit ma mère. Je la mets encore à la cambrousse. La lecture de No logo de Naomi klein a renforcé mon idée de ne pas acheter de marques.

15. Si j'étais un parfum :
Comme je l’ai déjà écrit, je n’ai jamais porté de parfum, l’odeur me donne systématiquement mal à la tête. A la limite, je tolère les parfums pour hommes, mais ceux pour femmes sont souvent trop sucrés. Et les plus connus, les n° trucs par ex…une horreur.

amour-cage-fleur.jpg16. Si j'étais une couleur :
L’orange, même si je ne porte jamais cette couleur. (J’aurais l’impression d’être un plot de sécurité ambulant). Ma mère m’a composé à noël dernier un vase avec des fleurs de lanterne, (ou amour en cage) mes fleurs préférées pour leur couleur. J’aime les contempler, comme les feux de cheminée, fascinants. L’orange offre un parfait mélange entre le jaune, le soleil rayonnant, et le rouge de la passion. On dit que c’est la couleur des épicuriens, de l’énergie et de la créativité. En majorité les gens préfèrent le bleu, couleur apaisante, à l’inverse l’orange pour moi est stimulant. Dans mon studio, le mobilier, la vaisselle et la déco sont rouges, orange ou en bois clair.

17. Si j'étais un moyen de communication :
Le pigeon voyageur. Non, le SMS. Comme j’ai toujours peur de déranger en téléphonant (tomber au mauvais moment ou passer trop de temps à parler car je suis un tantinet bavarde) je préfère envoyer des textos. Les gens ne sont pas obligés d’y répondre. Ce qui me coupe paradoxalement du monde : certaines personnes, je ne les ai jamais appelées…

18. Si j'étais un personnage de Harry Potter :
Sûrement pas Hermione, trop sûre d’elle et donneuse de leçons. Ron peut-être, réservé et pudique, (par ex il ne veut pas avouer ses sentiments pour Hermione et la rabroue). il se montre parfois colérique et impulsif, il reste dans l’ombre du héros et de ses frères, plus talentueux que lui…

Si elles ne l’ont pas déjà fait, je refile le tag à Le chat masqué, Electra, Gribouillette, Lalydo,  et M*… S’il vous intéresse, n’hésitez pas à me prévenir.