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18/04/2015

Lost river de Ryan Gosling

lost river au moins christina elle est belle pas comme l'autre moche.jpgAux Etats-Unis, à Lost river, une ville ruinée par la crise des subprimes, une famille tente de gagner assez d’argent pour conserver sa maison. La mère (Christina Hendricks, la secrétaire aux gros seins de Mad Men) accepte un travail étrange proposé par son banquier, attiré par son physique plantureux. Le fils (Iain De Caestecker, Ryan Gosling en plus jeune) vole du cuivre dans les immeubles abandonnés pour le revendre, mais il fait concurrence au truand de la ville, qui veut sa peau. Il est amoureux de sa voisine. Ensemble, parviendront-t-il à lever la malédiction qui pèse sur Lost river, cette ville engloutie par les eaux ? Voir bande annonce en lien.

Lost river, la ville abandonnée, le paradis perdu, évoque Détroit, où le film a été tourné. Il débute comme un documentaire, avec une interview des vrais habitants. Faute de travail et d’argent, la population fuit ce paysage de désolation : entreprises, écoles et zoo fermés, commerces pillés, maisons incendiées. Une apocalypse qui m’a mis en rage (comme toutes les injustices) : comment une ville prospère comme Detroit, capitale de l’automobile, a-t-elle pu  devenir ce champ de ruines ? Comment a-t-on pu laisser faire les banquiers rapaces ? Le début du film m’a rappelé les excellents documentaires Cleveland contre Wall street, Inside job, et même les investigations de Michael Moore.

matt lambros.jpgRyan Gosling ne souhaite pas réaliser un documentaire réaliste, mais un film très esthétique, à la lisière du fantastique. Ses prises de vues m’évoquent les photographies de théâtres en ruine de Matt Lambros, que l’on peut observer à la galerie Sakura à Bercy village.

Comment trouver de la beauté dans la déchéance, comment renaître de ses cendres, comment rebâtir sur des ruines : voici les thèmes principaux du film de Ryan Gosling.

C’est le grand méchant loup, le banquier qui a ruiné la mère et veut la croquer, qui lui propose un emploi. Elle est seule pour s’occuper de ses enfants, elle paraît si fragile... On tremble pour ce joli chaperon roux… Je trépignais encore d’énervement en la voyant accepter le job sans même savoir de quoi il s’agissait, la voir se jeter dans la gueule du loup, au sens propre comme au figuré : la porte de son travail représente la bouche d’un monstre. Je craignais le pire : la prostitution…

lost river eva mendes trop moche.jpgMais la mère arrive en fait dans un théâtre. Sur scène, une femme (Eva Mendès, encore plus laide et grossière que d’habitude avec un maquillage bleu sur les paupières) joue sa propre mort, devant un public hilare et assoiffé de sang. Les spectateurs reportent leur colère et frustration dues à la crise financière. La femme qui rit de sa fausse souffrance fonctionne comme une catharsis. Sauf que la mère, elle, subit ce rôle… Dans une mise en scène éprouvante, elle fait semblant de découper son beau visage. Plus tard, elle sera enfermée dans un carcan transparent sans pouvoir bouger, et le méchant loup pourra l’observer et faire ce qu’il veut : beau symbole de ce que doivent subir certaines femmes asservies. Ryan Gosling évoque peut-être aussi les stars médiatiques (comme lui ?) qui sont vues comme de beaux objets au service d’un public déchaîné.

Lost river distille donc un certain malaise. J’aurais aimé savoir dès le début qu’un espoir était possible, (oui je vous spoile un peu, mais c’est pour votre bien !) car j’ai vécu le film comme un cauchemar qui prend aux tripes : je savais à l’avance ce qui allait se passer et j’attendais avec angoisse que le couperet tombe.

Puis lorsque la jolie voisine (Saoirse Ronan, Lovely Bones, The grand Budapest hotel) apparaît, je comprends que l’amour et la jeunesse apporteront le renouveau. La jeune fille évoque la malédiction de Lost River, bâtie près d’un ancien village submergé pour faire un barrage. Le film montre que les hommes créent leur propre malheur en détruisant leur environnement. Le passé, les ruines des mondes engloutis doivent refaire surface pour construire l’avenir…

L’espoir vient également, cocorico, du petit frenchie du film, Reda Kateb ! Il est le seul homme bienveillant et protecteur avec la mère et ses enfants. Lors de l’interview, l’acteur nous explique qu’il était très étonné d’avoir été sélectionné « je ne pensais pas que Ryan Gosling connaissait mon existence ! » L’acteur-réalisateur l’avait en fait découvert dans Un prophète et Zero dark thirty,  où il interprète des truands. Avant le formidable Hippocrate où il joue un gentil et humble médecin, j’identifiais bêtement Reda Kateb à ses rôles de méchant et je ne l’appréciais donc pas spécialement... Ryan Gosling n’a pas fait cette erreur. Reda Kateb m’a émue : une journaliste l’a félicité pour son rôle dans L'astragale actuellement en salles, et il est devenu rouge pivoine ! Trop chou, il est timide le petit ! Puis il est venu à la présentation avec son chien, et quelqu’un qui aime les animaux est forcément bien. (les critères papillotiens : des critères universels).

lost river.jpgRyan Gosling avoue s’être inspiré du théâtre français du grand guignol pour ses spectacles macabres. Il m’a surtout fait penser au Silencio et à l’univers étrange de David Lynch, mais aussi à Dario Argento et ses giallo sanglants et colorés. Le réalisateur estime plutôt avoir tourné un « conte de fées sombre » ou un « dark goonies ». Euh ? Comparer le glauque et complexe Lost river à cette comédie d’aventure pour enfants qu’est Les goonies !
On sent aussi que l’acteur s’est inspiré des réalisateurs qui l’ont fait tourner : surtout Nicolas Winding Refn et son bizarre, sanglant et esthétique Only god forgives, ou encore les drames réalistes de Dereck Cienfrance comme The place beyond the pines.

Pourtant Ryan Gosling digère ses nombreuses références pour livrer un film personnel. Lors de la rencontre, il nous révèle : « Cette histoire est similaire à celle de la ville où j'ai grandi. (…) Encore aujourd'hui, l'idée que j'ai pu me baigner dans une rivière au-dessus d'une ville engloutie continue de me mettre mal à l'aise. » Pour le rôle principal, il nous avoue s’être inspiré de sa mère, qui a bataillé pour l’élever seule, lui et son frère. Il nous explique également : « À l'occasion d’un tournage, j'ai découvert Détroit, cette ville m'a profondément marqué. »

La bande originale est aussi soignée, angoissante et onirique que les images, avec par exemple cette chanson de Chromatics, qui a également composé pour Drive : Yes. Ou bien celle chantée par la jeune actrice du film, Tell me.

Lost River ne laisse pas indifférent. Il attirera les midinettes et adolescentes fans de Ryan Gosling (je n’en fais pas du tout partie évidemment, hum). Pourtant il risque de les décevoir par sa noirceur et son côté expérimental. Surtout, Ryanou ne joue pas dedans ! M’enfin, c’était pourtant un très bon argument pour doper les ventes !

 

17/04/2015

Rencontre avec Ryan Gosling

lost river,ryan gosling,ryan gosling est tout de même bien choupinou(voir début ici).
Jour J de mon rendez-vous galant avec Ryanou. J’arrive avec 15 minutes d’avance (effort surhumain). Je constate que la salle est déjà pleine, et largement remplie de filles. Uniquement présentes par intérêt cinéphilique certainement. Comment ça, j’ai des concurrentes ? Ce n’est pas un tête-à-tête amoureux ?
Sur mon fauteuil, je trouve un cadeau, un T-shirt du film. Quel charmant garçon ce Ryan, je suis sûre qu’il l’a cousu lui-même, avec amour, de ses petites mains made in Taïwan Gosling, rien que pour moi… et les 100 autres nanas.

Le film passe… (j’en parlerai demain). On attend la star. Il a du retard, le taxi est coincé dans les bouchons. Ah ben ça, si il avait emprunté le métro comme tout le monde, on n’aurait pas de problème. Non, il ne créerait pas une émeute dans ce lieu public. Ou il pourrait venir en vélib. Parce que dans Paris, en vélo, on dépasse les autos, à vélo dans Paris, on dépasse les taxis.
« Ryan nous fait savoir qu’il sera là dans 4 à 9 minutes précisément »

15 minutes plus tard, toujours rien. Il a pris la Lost river, il s’est perdu en canoë sur la Seine.
Je profite de l’attente pour régler les détails des tâches confiées par mes copines :
« je compte sur toi pour faire des photos !
- avec Ryan et toi !
- et un autographe !
- et un bisou ! »

Je ne suis pas Tom Cruise, je voudrais bien accepter les missions impossibles (surtout le bisou) mais je peux au moins remplir la première. Facile, je vois très bien la scène, je suis à 10 mètres. Je prépare mon cadre. Tout est parfait.

ryan gosling elysée.pngRyanou arrive enfin. Aaaah, il est trop chou, avec son sourire malicieux, ses yeux rieurs, sa dégaine toute simple mais si sexy… Je me retiens avec peine de ronronner, courir me frotter à lui… Je dégaine comme tout le monde mon portable. Je vois tous les écrans autour de moi présenter des images et vidéos parfaites. Les miennes aussi. Beau cadre, on voit très bien Reda Kateb, son chien (oui, il est venu avec son chien !) Ryan et sa chemise de bûcheron entrouverte sur un torse magnifiquement bronzé, musclé et… (bon j’arrête)…et son beau visage… blanc. Mais tout blanc. Rien, aucun trait, comme une vidéo floutée. Un fantôme. (un ange ?)

Sur 45 minutes d’entretien, j’en ai passé 43 à fixer mon écran de portable en grommelant « mais qu’est que c’est que ce bin’s ?! Pourquoi ça marche pas ! Pourtant j’ai bien fait tous les réglages, et si j’appuie là… ah non ça efface tout, et ici… »

Ne me demandez pas ce que Ryan Gosling a dit, j’en sais rien, je n’ai pas écouté, trop concentrée sur ma mission impossible. (mais vous pouvez entendre l'entretien en lien).
Ma voisine sainte Lexou a eu pitié et m’a refilée gentiment des photos (la première du billet). A ma décharge, elle a aussi essayé d’en faire avec mon portable et a obtenu le même résultat que moi. Alors hein, c’est pas vrai, ne m'appelez plus Gaston Lagaffe, c’est pas de ma faute ! C’est juste parce que je suis un chat noir ! Et parce que le vendeur de portable m’a encore roulée en repérant mémé nulle en nouvelles technologies : 
« J'ai besoin d'un portable qui fasse de supers photos, c’est très important.
- J’ai justement le produit idéal, prenez cette daube qui ne coûte que 12 millions ! » (pour mon ancien téléphone qui m’a lâché prématurément, son collègue m’avait tout de même dit « mais qui vous a vendu ça ? on vous a pas dit que c’était de la merde ?! »  Je me suis fait un plaisir de lui lancer devant sa nouvelle cliente pigeon : « AH AH ! C’EST VOUS !!!  Exactement le 23 novembre ! Et vous m’avez dit ces mots précis : « vous ne le regretterez pas !!»)

Avec Ryanou, je n’ai donc pas eu de photos, ni d’autographe, ni de bisou. Il s’est enfui comme un voleur avec ses gardes du corps.
Je reste persuadée que si j’avais pu l’atteindre, il aurait eu le coup de foudre et immédiatement plaqué Eva Mendès pour moi.
Evidemment.

Bémol rassurant : je trouve qu'il s'habille mal. Le gilet de vieux sur la photo d’hier ou la chemise de bûcheron que mémé daltonienne ne peut pas décrire (je la vois verte et kaki mais je suis sûre que vous allez encore me dire que je me trompe).

Demain, enfin la critique du film Lost river.

Petit quiz On connaît la chanson à retrouver dans le texte

 

15/04/2015

Ryan Gosling se marie…

ryan gosling.jpg…Avec moi.
C’était juste pour voir si ce titre allait provoquer un pic de connexion.

Je reçois ce mail :
« Invitation pour une projection privée du film Lost River, en présence de Ryan Gosling et Reda Kateb. Si vous souhaitez obtenir plus d’infos, merci de me renvoyer un message »
Pour la première fois, ni la date ni le lieu ne sont précisés. Pourtant même si je dois travailler le jour J, je réponds oui en 2 secondes trente, sans même lire la fin du texte, en m’arrêtant aux mots « en présence de Ryan Gosling ».

J’empoigne mon portable et envoie à tous mes contacts, même ceux que je n'ai pas vus depuis 2 ans, même ma propriétaire et le plombier… (non je déconne) sans phrase de préambule :
« hiiiiiiiiii (avec 200 « i ») je vais rencontrer… RYAN GOSLING !!!!! (avec 2000 points d’exclamations) ♥♥♥ (et tous les émoticônes cœurs avec flèche et fleurs présents sur mon téléphone).

Toutes mes copines répondent :
« HIIIIII LA CHANCE !!!!! Je veux un autographe !!!!!! ♥♥♥ RYAN !!!!!!»
« HAAAAA LA CLAAAASSE !!!!!! Fais des photos !!!!! ♥♥♥»      

Seuls les garçons, ces êtres étranges, envoient des sms succincts comme :
« cool. »
« sympa. »
Ce sont rien que des jaloux.

Le deuxième mail de confirmation précise : merci de ne pas en parler sur les réseaux sociaux. »
Les 2 millions de contacts sur mon téléphone, c’est bon, ça compte pas comme réseau social ?

Le message ajoute : « Les questions devront porter uniquement sur le film »
Ah non mais désolée, je n’ai qu’un seul et unique sujet à aborder avec Ryanou, un sujet primordial qui éclipse tous les autres, qui nous empêche toutes de dormir, qui bouleverse le monde, qui mérite que je me lève avec mon micro et que je lui lance à travers toute la salle de cinéma :

cinéma, ryan gosling, ryan gosling et Eva mendès, ryan gosling avec eva mendès, qu'est ce qu'elle a de plus que moi, ryan gosling est tout de même bien choupinou« Ryanou chéri, qu’est-ce que tu fous avec Eva Mendès ?! Et tu lui as fait un gosse en plus ! Elle est moche, elle a un regard dur, des traits grossiers ! Puis elle a 7 ans de plus que toi ! Alors que nous deux, mon Ryanou d’amour, on a le même âge à peu près, c’était parfait ! Nan mais qu’est-ce qu’elle a de plus que moi franchement !!! »
C’est vrai quoi, on se demande.
Vous constatez que contrairement aux garçons envieux de Ryanou (parce qu’il é trô bô) je ne suis pas du tout jalouse d’Eva Mendès, je n’observe qu’un simple constat objectif.

En même temps, pour une fois que ce n’est pas un vieux bedonnant qui se tape une bombasse qui pourrait avoir l’âge de sa fille, on ne va pas se plaindre. Ça donne de l’espoir à toutes les cougars. Je vais m’incruster aux fêtes de mon neveu :
« t’as quel âge toi ? 23 ? Comme moi ! Du Malibu orange ? Ah non ça me rappelle une soirée de 2004 où j’en ai trop bu. Comment ça en 2004 j’avais 12 ans ? Mais non j’étais à la fac et… ah si… mais j'étais précoce ! Oui bon, j’étais précoce mais après j’ai redoublé 11 fois ! Danser ? ok mais c’est quoi cette musique de sauvages, mettez-moi radio nostalgie !»

Tu vois bien Ryanou : sortir avec une vieille peau comme Eva Mendès, ce n’est pas possible !

 Suite demain

 

12/04/2015

Jauja avec Viggo Mortensen, places de ciné à gagner

jauja.jpgUn avant-poste reculé au fin fond de la Patagonie, en 1882, durant la « Conquête du désert », campagne génocidaire contre les Indigènes de la région. Les actes de sauvagerie se multiplient de tous côtés. Le Capitaine Dinesen (Viggo Mortensen) arrive du Danemark afin d’occuper un poste d’ingénieur dans l’armée argentine. Il est accompagné de sa fille de 15 ans. Seule femme dans les environs, elle met les hommes en émoi. Elle tombe amoureuse d’un jeune soldat et tous deux s’enfuient. Le Capitaine s’enfonce dans le territoire ennemi pour chercher le jeune couple.
JAUJA est l’histoire de la quête désespérée d’un homme pour retrouver sa fille, une quête solitaire qui nous conduit dans un lieu hors du temps, où le passé n’est plus et l’avenir n’a aucun sens. Voir bande annonce en lien.

Le titre du film tire son nom d’une légende : Les Anciens disaient que Jauja était, dans la mythologie, une terre d’abondance et de bonheur. Beaucoup d’expéditions ont cherché ce lieu pour en avoir la preuve. La seule chose que l’on sait avec certitude, c’est que tous ceux qui ont essayé de trouver ce paradis terrestre se sont perdus en chemin.

C’est après le meurtre d’une amie proche que le réalisateur, Lisandro Alonso, décide de réaliser ce film : « elle a été assassinée loin de là où elle était née (…) Étrangement, je sens que ce travail a pris une tournure irréelle comme pour m’aider à penser le monde et le temps que nous habitons, et la façon dont nous disparaissons pour inexplicablement revenir, par des voies mystérieuses. »

jauja viggo cheri.jpgLe réalisateur est Argentin, mais il fait appel pour le rôle principal à Viggo Mortensen, qui possède la double nationalité américaine et danoise. Dans JAUJA, l’acteur parle danois et espagnol.
J’adore ce type, capable de s’adapter à tous les genres et cultures : il parle français dans Loin des hommes qui se déroule en 1950 dans l’Atlas algérien, il joue un Russe dans Les promesses de l’ombre de Cronenberg. J’ai d’ailleurs eu l’occasion de le rencontrer pour la sortie du film A history of violence, de Cronenberg également. Je m’attendais à voir le roi du Seigneur des anneaux, et j’ai vu arriver un gars tout simple, avec un pauvre t-shirt informe jaune poussin! Mais Viggo est la classe incarnée, l’habit ne fait pas le moine.
Il est aussi charismatique dans Appaloosa(sur France2 ce soir), une sorte de western comme JAUJA et se déroulant à la même période. Dans l’éprouvant La route, comme dans JAUJA, Viggo Mortensen traverse un territoire hostile et fait tout pour protéger son enfant.

Bref, j’adore cet acteur et je trouve qu’il choisit bien ses films, je ne doute donc pas de l’intérêt de JAUJA. Le film sort en salles le mercredi 22 avril. Il a été présenté à Cannes dans la sélection Un certain regard.

J’ai le plaisir de vous faire gagner en partenariat avec LE PACTE 5X2 places pour voir JAUJA. Pour cela, il suffit de répondre à ces deux questions (réponses dans le texte) :

- D’où vient le nom du film ?
- Dans quels films de David Cronenberg Viggo Mortensen a-t-il joué (il en existe trois mais citez-en au moins deux)?

Envoyez vos réponses avec vos noms et coordonnées postales par le lien « me contacter » sous la photo du chat noir. Vous avez jusqu’au mercredi 22 avril 20 heures, jour de la sortie du film. Jeu qui se limite à la France métropolitaine.

A vous de jouer !